Archives quotidiennes : 28-avril-2014

Le voyageur dans le temps de Bralorne

Avec appareil photo

Transcription

Comment la réouverture d’un pont a-t-elle pu, il y a 70 ans, connecter le futur et le passé ?

1940, Bralorne, Colombie-Britannique.

Une violente inondation vient d’emporter le pont South Fork.

Ce pont est une artère vitale qui mène à l’une des mines d’or les plus prospères du Canada. La mine de Bralorne attire des milliers de rêveurs en quête de prospérité. Bientôt, elle attirera un rêveur d’un autre temps…

C’est en grandes pompes que le pont ouvre de nouveau, en 1941.

70 ans plus tard, une photo en noir et blanc de l’événement soulève une énorme controverse.

Ce cliché montre une foule d’hommes et de femmes qui portent des vêtements de l’époque – habits, robes, imperméables et chapeaux de feutre. Rien de surprenant.

Toutefois, en y regardant de plus près, un homme ressort du lot.

Ce qui le distingue, c’est son allure branchée, ses lunettes fumées, sa coupe de cheveux, son T-shirt à logo sous une veste à capuchon et l’appareil-photo qu’il tient. Il a l’air tellement moderne !

Surnommé le « voyageur dans le temps », ce phénomène a déclenché en 2010 un million de requêtes sur Internet. Plusieurs se demandent ce qui l’a amené à Bralorne. L’or ?

Pour voir cette photo du voyageur dans le temps, visitez museevirtuel.ca et cliquez sur « Histoire de savoir ».

Dites-nous pourquoi cette histoire est importante… histoire de savoir !

http://www.museevirtuel-virtualmuseum.ca/sgc-cms/nouvelles-news/francais-french/?p=1332

Un voyageur temporel dans un film de Chaplin ?




Un jeune cinéphile du nom de George Clarke a révélé cette information sur YouTube, après avoir étudié pendant un an quelques secondes de film trouvées dans les bonus d’une édition DVD du Cirque de Chaplin.

Cette image montrant une personne utilisant ce qui semble être un téléphone portable, provient d’un extrait du making-of du film The Circus de Charlie Chaplin tourné en 1928.
Extraite des bonus du DVD, cette vidéo montre de banals passants devant le Manns Chinese Theatre à Hollywood.En regardant de plus près (et au ralenti), on peut donc voir une personne utilisant un objet très anachronique pour l’époque, un “téléphone cellulaire”.

Dans une séquence montrant des passants déambulant dans les rues de Hollywood en 1928, on aperçoit une femme (selon Clarke mais il pourrait aussi s’agir d’un homme) marchant la main près de son oreille et bougeant les lèvres. Conclusion immédiate de monsieur Clarke : elle parle dans un téléphone portable, et est donc la preuve irréfutable que les voyages dans le temps sont possibles. Non, elle ne se grate pas l’oreille, ne se protège pas du soleil, elle est en pleine conversation téléphonique sans fil. A qui parle-t-elle ? Via quelles types d’ondes ? Peu importe, l’image est là, incontestable et c’est très surprenant !
La posture du passant, de ses gestes, de l’expression de son visage est effectivemen troublante.



De plus, pour l’époque, dans le cadrage de la figuration de film, pour la fluidité de la scène, on ne pourrait comprendre ce type de comportement où un passant s’arrête au beau milieu de la rue et le producteur aurait du envisager de refaire la scène. Il y a alors deux possibilités. Soit il ne s’en est pas aperçu. Soit il était parfaitement au courant de ce qu’il faisait et c’est un clin d’oeil de sa part mais il aurait fallu de sa part une sacré imagination ou une inspiration qui lui serait venu d’ailleurs…

Certains commentateurs ont évoqué l’explication d’un genre de dispositif d’aide auditive qui existait à l’époque, mais on
ne comprend alors pas très bien avec qui il pourrait être en conversation.

Le camp des sceptiques mentionne cet appareil portatif pour malentendants fabriqué en 1925, le Western Electric Model 34A “Audiphone” Carbon.

On évoque aussi l’invention de M.Mac Farlane de Philadelphie, dès 1918, a combiné un poste radiotéléphonique portatif qui, constitué surtout par un audion, à la fois transmetteur, récepteur, et amplificateur, se loge dans une seule boite. L’antenne portative est faite de trois cylindre de cuivre. la boite qui peut se porter en bandouliere et renferme une pile et un audion, qui est un generateur a haute frequence. dans la journée, la porté de l’appareil peut atteindre les vingt kilomètres. (source:” la science et la vie ” n°46 septembre 1919 (nom d’origine de l’actuel “Science & Vie”)
On peut également pense à un problème dentaire

D’autres crient au canular s’appuyant sur l’ombre “étrange” que projette le personnage sur le mur. Selon eux, un petit malin aurait modifié les images par ordinateur.
Dans quel but ? La piste de la publicité virale pour un fabriquant de téléphone portable est avancée, mais semble peu probable, en effet ce serait se donner beaucoup de mal pour une faible retombée.Peut-être s’agit-il d’une petite blague des techniciens ayant travaillés sur cette édition DVD.Il faudrait savoir pourquoi ces images figurent dans le bonus dvd et non dans le film lui même, savoir par exemple elles ont pu avoir été rajoutées par la production dans le but de créer le buzz ? Voici la vidéo de Georges Clarke qui commente (en Anglais) la séquence en question. La piste la plus probable dans cette direction, serait selon eux le lancement d’un festival de cinéma par le découvreur de cette vidéo.

Déplacer le curseur à 3 min 20s environ pour visionner la séquence :

http://www.planete-revelations.com/t3522-un-voyageur-temporel-dans-un-film-de-chaplin-andrew-carlssin-voyage-dans-le-temps-et-delits-dinities

L’Homme vitrine

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La langue de l’amour est morte. Et dans la fébrilité inconsciente de la chair aux enchères, la pauvreté de plastique, de gadgets, d’immolation continue, la vie est une sorte de terre cuite derrière une vitrine astiquée où tous les pantins sont à vendre pour un job.

Les cerveaux sont moulés.

Usinés.

Pas plus « profonde » et monocolore qu’une Ford-T sociale. Machiné. À la chaîne. Figés.

« Vos enfants sont les enfants de la Vie », disait Khalil Gibran. Ils sont maintenant les enfant des états. Ils sont peut-être si affamés de leur BIG MOI qu’ils vendent leur cerveaux aux états. Fiers à bras, fiers à neurones.

Notre petit penseur ne sait pas qu’il est pensé. Il est ciselé aux doctrines martelées incessamment, abonné à tout le frelaté qu’il avale chaque jour. Il est pourrissant, mais vivant. Soutenu par les « spécialistes », cette horde de zombies calcinés au savoir scientifique, vendeurs de salades mondialistes.

Imbriqué dans toutes les formes de contrôles numérisés, se débattant dans le grand filet des technologies, – à la fois s’y baignant de plaisir -, sans savoir nager dans l’océan de la Vie.

Le petit simiesque est « écoutatif ». On ne lui parle pas de réalité, ni d’Histoire, ni de philosophie, pour décoder l’image du monde, de sa venue sur Terre, de son essence.

Plus de passé, un présent contaminé par la destruction du passage des autres, des sociétés, des guerres, etc. Non. Notre nature est désormais d’être un fonctionnaire aux mains javellisées qui a «  une vision du futur ».  On a barbouillé l’image de la trajectoire de l’humanité, caviardé le passé, embrumé le présent. Il ne reste que le futur incertain mais prometteur par la chimie des nouvelles molécules et l’espoir de trouver de l’eau sur Mars alors que l’Afrique en manque.

Il n’est plus inspiré… Il est respiré jusqu’à son dernier souffle. Déryhtmé. Sa vision est celle d’un aveugle guidé par des chiens.

Détêté. Le dépoisson… Issu de l’eau, on lui bouffe la tête pour qu’il ne se serve plus de la structure cachée et lumineuse de son entièreté liée à la  grandeur des ondes vibratoires camouflée sous ce montage de chair.

C’est maintenant une machine, un montage plastique.

Pourvu qu’il serve!

C’est sans doute le plus étrange des nègres concocté par le besoin fourbe et matérialiste des fabulateurs à formules répétitives.

Quand on a vendu son corps, on a vendu son âme. Nous sommes dans une ère de décapités à coups de sabres roses. À coups de discours aux phrasés des langues de lames aiguisées de leur spécialité.

La vente de « certitudes » des corporations est maintenant une sorte de monoxyde de carbone hypnotique mais vraiment efficace.

Nous vivons de la mort du vivant. Les plantes, les forêts, les terres, les pays, les « idées ».

La Vie est une vente de feu…

Allumez! avant d’éteindre…

Gaëtan Pelletier

Avril 2014