_
HANNIBAL
Mais derrière un sourire carnassier aux dents blanches, une politesse raffinée, se cache un implacable criminel amoral qui ne connaît ni pitié, ni remords. En effet, avant d’être arrêté en 1980 par Will Graham (un profiler que ce génie machiavélique aidait dans l’établissement du profil psychologique d’un tueur qui n’était autre que lui-même). Hannibal Lecter Wiki
Du sapin au cercueil
L’expression très québécoise « se faire passer un sapin » a trois sens possibles
1 : Se faire vendre du bois de sapin, qui fissure au séchage, pour du bois d’épinette, beaucoup plus résistant
2 : Se faire vendre une épinette pour un sapin de Noël (plus courant en ville)
3 : Sentir le sapin » signifie être proche de sa mort, car les cercueils étaient surtout faits en bois de sapin. Gamma Force
Les sociétés démocratiques sont en train de se faire infiltrer une moisissure par sa manière de manipuler «l’argent». Les banques étasuniennes afficheraient des profits… Obama, le nouveau magicien d’Oz?
Se faire vendre un sapin fendillé, ou une épinette pour un saper, passe encore…
On se croirait en 1930 dans un système de désinformation. Le problème actuel n’est pas que nous manquons d’information, elle est seulement éteinte, écrémée, falsifiée, soit d’ignorance ou par crainte de toucher des sujets tabous.
De sorte que le 1930 est toujours là…
À force de cultiver la vente de sapin, l’on risque de se retrouver au tombeau.
La falsification est devenue un sport de riches.
Obama et tout son entourage de Jésus de plâtre peuvent bien essayer de nous leurrer avec des manœuvres pour nous faire croire que l’argent coule, mais leur système n’est qu’une mare qui se nourrit de son eau.
Les noces de Cana
« Or il y avait là six jarres de pierre, pour les purifications des Juifs, contenant chacune deux ou trois mesures. Jésus dit aux serviteurs : « Remplissez d’eau ces jarres ». Ils les remplirent jusqu’au bord. Il leur dit : « Puisez maintenant et portez-en au maître d’hôtel ». Ils lui en portèrent. Quand le maître d’hôtel eut goûté l’eau devenue du vin – il en ignorait la provenance, mais les serveurs la savaient, eux qui avait puisé l’eau – il appelle le marié et lui dit : « Tout le monde sert d’abord le bon vin et, quand les gens sont ivres, alors le moins bon ; toi, tu as gardé le bon vin jusqu’à présent ».
« Tel fut le commencement des signes de Jésus ; c’était à Cana de Galilée. Il manifesta sa gloire, et ses disciples crurent en lui ».
La foi qui nivelle les montagnes
Étymologiquement, « foi » provient du latin fides et se rattache à une racine indo-européenne bheidh « avoir confiance » .
C’est cette confiance qui est ébranlée depuis des décennies. Mais au moment où le peuple découvrira que la mariée couche les acteurs d’une pègre étatisée, il se pourrait que le monde change ce dit modèle parfait. Car aussi grassement qu’il est nourrit, le peuple s’endort comme après un long repas lardé et suintant.
Les porcs ont toujours l’air en santé…
Le mariage de la finance et de la politique – dans son flirt avec la malhonnêteté – va finir par faire du mariage entre le citoyen et ses dirigeants élus démocratiquement (sic), le grand divorce.
Quand les dés sont ronds
Drôle de jeu et de chausse-trappe. Les grands du monde ont du modeler le dé en l’arrondissant pour qu’il roule sur une table déjà ronde : la Terre. Tout le monde a des billes en dessous des pieds.
C’est l’État de soulerie : c’est l’état dans lequel on garde le peuple en le gavant de mensonges. Car le le temps des miracles n’est qu’un leurre.
De sorte que l’humain n’est plus qu’une oie.
Après s’être fait déplumer et charcuté par les bouchers du capitalisme, ceux-ci n’étant pas intéressés à perdre leur dinde, se livrent à des recours qui nous font loucher, comme ces jongleurs à balles des cirques. Rien de moins… On se renvoie l’argent, comme pour nous bluffer du nerf optique, l’un vers l’autre.
Du ping-pong harvardien…
Ces sieurs ont la cote…
Les clowns doctorisés
On a saigné le consommateur, mais on espère qu’il donnera du sang à la Croix-Rouge.
En attendant – les jongleurs constatant la gravité de la «maladie» du patient- se promènent dans nos dortoirs avec une flopé de Dr Patch-Adams .
« Patch » Adams est aussi actif dans le social, il est non seulement un citoyen diplomate mais aussi un clown professionnel, un artiste et un auteur. Chaque année il organise avec un groupe de volontaires un voyage en Russie où déguisées en clown ces personnes apportent de l’espérance et de la joie aux orphelins, patients et aux gens. En 1998, il se rendit aussi en Bosnie, un pays de la péninsule balkanique déchiré par la guerre.
Véritable révolutionnaire dans sa façon d’appréhender le monde, il estime que c’est par l’amour et la compassion autant que par la médecine dite conventionnelle qu’il convient d’apporter du soin aux personnes malades. Il est auteur d’un manuel pour visiter les personnes en souffrance qui est intitulé « docteur tendresse » Wikipedia
Malheureusement, une fois le Dr épluché de sa bonté apparente, il ne reste plus que la cerise du nez rouge et les grimaces pour nous divertir.
En attendant que la santé revienne, pas la nôtre, la leur…
C’est bien là le drame. Comme mes arrière grands-parents : on soignait les porcs pour les manger.
Eux, pensaient avoir affaire à un docteur tendresse…
Nourrir, c’est faire vivre un peu…
Mais, en vérité, c’est Hannibal qui veut nous bouffer.