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La sécurité Vista

Au grand menu Microsoft j’avais déjà goûté à cet infect ME. Monsieur était instable… Instable comme un faux mari coureur de jupons. Il n’arrêtait pas de flanquer son erreur 32. Le cœur du programme m’avait-on dit.

Les OS de Microsoft c’est comme le pain dans les magasins : le plus simple est le meilleur, mais le meilleur n’y est pas. Le sac est surpeuplement coloré et la mode est au pain mou. Comme le citoyen Québécois. Tout mou, qui a besoin de se faire griller dans un grille-pain pour se roidir.

La première fois que j’ai mis les neurones dans le système, j’avais les yeux d’un loucheur qui regardait deux belles filles.

Et pour ce qui est de la sécurité, il n’a pas son pareil : on se croirait dans un poste de police.

Vous voulez entrer un petit programme? M. Vista est précieux et plisse des yeux.

  • Oui, je le veux
  • Non, je ne veux pas installer ce programme

Et vous cliquez….

  • Êtes-vous sûr de ce que vous faites?
  • Oui.

Et si on continue la méthode Vista, si sécuritaire, on pourrait faire un dialogue avec cet OS qui sourcille à chaque clic.

Vous installez un programme.

  • Vous ne pouvez l’installer sans l’autorisation du propriétaire.

Je change de fichier en l’envoyant dans un ailleurs.

  • Êtes-vous sûr de vouloir l’installer?
  • Oui, j’abandonne… ( second choix)
  • Avez-vous consulté votre femme? ( Nouveau Vista)
  • Non.
  • Avez-vous consulté un expert? Ce programme contient un fichier douteux.
  • Non
  • Voulez-vous quand même l’installer?
  • Oui.
  • Cliquez ici pour l’installation. Cliquez ici pour revenir à Vista.
  • Installation.
  • Vista ne peut pas installer le programme, celui-ci étant lié à XP.
  • Voulez-vous que Vista fasse une recherche sur le Net?
  • Non.
  • Voulez-vous que Vista cherche sur votre ordinateur?
  • Non.
  • Voulez-vous que Vista cherche sur le Net?
  • Oui.
  • Pendant que Vista fait sa recherche, vous pouvez visiter les merveilleuses améliorations que Vista vous apporte.
  • Non.
  • Écrivez dans la case ici présente ce que vous voulez faire?
  • Je voudrais aller pisser.
  • Cette réponse vous a-t-elle satisfaite?
  • Non, mais je suis soulagé.
  • Vista a détecté un composant douteux. Acceptez-vous ce composant?
  • Oui.
  • Êtes-vous certain?
  • Oui.
  • Vista a détecté un fichier douteux. Voulez-vous continuer l’installation du programme?
  • Oui.
  • Avez-vous déjà téléchargé ce programme avant?
  • Oui.
  • Oui, je le connais ou Non, je ne le connais pas.
  • Je le connais.
  • Êtes-vous sûr de ceci? Vista vos propose d’abandonner l’installation de ce programme. Inscrivez le nom du programme pour que Vista puisse faire une recherche sur le Net.
  • Vista.

Le carburant rose des Morlocks

George les écoute et en conclut qu’après une longue guerre nucléaire, un groupe d’humains survivants a décidé de vivre dans les cavernes. Ils sont devenus les Morlocks qui élèvent maintenant les Élois comme du bétail afin de leur servir de nourriture. La machine à explorer le temps

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J’ai toujours pensé que le but de la vie –  le véritable but – était pour un « monde » meilleur, ce qui signifie orienté vers le mieux être des humains.

Les humains…

C’est une étrange notion aujourd’hui. Parler d’humains. C’est simplement parler de nous, d’un je et d’un nous. Car, au fond, nous sommes les mêmes.

I am he
as you are he
as you are me
and we are all together.
John Lennon

Ces petites lignes de John Lennon dans I am the Walrus étaient insignifiantes, déconnectées de la réalité dans les années 60. Sans doute issues d’une petite poussée d’une drogue de l’époque.

Mais c’était peut être là la vérité… Confus, biscornu, Lennon s’était donné pour but de chanter une chanson sans désir de plaire, disant détester les belles lignes mélodiques. Sorte de refus premier de ses succès antérieurs.

Sommes-nous si différents?

Au grand voyage de l’égo, il peut sembler que… oui. Au grand voyage du temps, nous le sommes dans notre unité de couleur d’âme.

Les barbares célestes

Les grandes organisations –ONU, OMS, toutes, toutes, sont trouées, gangrenées par la corruption. Ces gens-là, dirigeants, « importants », supérieurs souffrent d’un cancer d’orgueil en croyant que ces accès à des postes hauts- gradés, font d’eux des gens de mission. Des gens biens…

Puisque tout est devenu « mondialiste » ou globaliste, imaginez l’orgueil d’être à la tête de des monstruosités!

Des dieux de carton…

En apparence, l’être humain est le but… Cette bienséance, ce velours, ces grandes virées élogieuses – égotiques – s’octroient un certain pouvoir divin puisque la Terre est encore le centre de l’Univers.

Il faut lire les textes de cette grandeur sur- affichée pour se rendre compte qu’il ne s’agit là qu’une liste d’épicerie de papier de bureaucrates.

Gouverner pour soumettre les humains. Gouverner pour trahir. Souvent sans réelle conscience.

En face d’une masse humaine, on rétrécit celle-ci à un troupeau brouteur, parfois dangereux pour la planète.

La lunette des « grands »

La foi de ces grands consiste à croire et à vendre qu’un modèle éléphantesque est une réussite. Si la réussite est dans le modèle, la perfection de la structure, le but reste la perfectibilité de la structure. Plus on améliore une structure, plus naît le crédo d’une réussite.

Mission accomplie pour eux.

Dans cette perspective, la lunette a plus d’importance que ce que l’on peut voir  au bout.

L’hyper technologie, dans tous les domaines, les amènent à ces conclusions et nous amènent à les croire.

Puisqu’aucun humain n’a pu faire autant de magie en l’espace d’un siècle…

Veau d’or.

La machine à explorer le temps

Du point de vue spirituel, l’être humain est une machine à explorer le temps. Une machine charnelle, souffrante, aimante, simple, dans un monde complexe.

C’est là le but de la vie : vivre des expériences.

Or, le but de plus en plus avoué, est que la race humaine est une nourriture nécessaire à avaler pour faire vivre cette illusion de « grandeur ». Et ceux qui ont de grandes missions y croient.

Toute technologie, dans sa multitude d’expression, sous toutes les formes de sciences, ne sont que des bouffées d’air qui font enfler encore et encore l’illusion matérialiste que l’on peut contrôler.

Modifier la structure d’une variété de maïs pour en produire une nouvelle,  est fort enivrant.

Le problème survient au moment où l’on se rend compte qu’elle détruit la matière au lieu de la parfaire. Et l’humain du même coup… Puisque c’est lui le cobaye d’un temps, d’une période.

Le sens de la vie

La vie n’est qu’une expérience dans une matière brute. Je parle de la vie des âmes venues sur Terre pour se parfaire, se modifier, mais dans une structure déjà livrée, parfaite, du moins, dans sa base.

Le reste est accessoire.

Tuer pour vivre est devenu une manière « normale » de vivre. L’humain, selon le territoire qu’il habite, n’est plus que la valeur de ce qu’il a dans le sol, sous son pied, ou dans sa folie à produire plus que ses besoins. Voire certains luxes. Ce qui n’est pas un tort en soi. Nous avons tous droit à une certaine aisance. Encore cette « survenance » du problème de ceux qui veulent tout.

Alors là, l’humain est une matière aplanie, aussi insignifiante que ce dit or noir exhumé pour la « bonne marche des machines ».

Énergie.

Tous les moyens mènent à la fin

Cette méprisante attitude est née il y a longtemps. Sauf qu’aujourd’hui, demain, et plus tard, ces légions affineront leur « habileté » à menotter la liberté humaine.

Comprenez que toutes les orientations actuelles n’ont qu’un but :

Faire de cet or rose une source de richesse.

Pour la richesse.

Non retournée…

Le carburant rose est né.

Et le but des convertis est de convertir encore pour créer davantage de ces sans-âmes.

Ceux qui pensent que la matière est tout. Que la Terre est tout.

C’est le syndrome de l’acarien qui se demande s’il y a une vie en dehors du matelas…

Pauvres nous…

Du chien lobotomisé au mouton électrique

Dans ce roman, hommes et androïdes se confondent si bien qu’il devient difficile de distinguer les êtres réels et leurs simulacres. Les androïdes rêvent-ils de moutons électriques?

( Philip K.Dick)

***

Dans l’Histoire de l’humanité, la plus grande constante a été l’art de peaufiner la création des pauvres, de les entretenir, et mieux encore, de les multiplier.

Probablement que l’Homme (sic)  a passé du singe à l’homo-debout en prenant conscience qu’en prenant toutes les bananes, tous les autres singes allaient le regarder , la langue longue, bavant,  comme un chien qui détient  un squelette d’Halloween.

Un grand parleur qui sait peu, semble en savoir beaucoup plus qu’un cultivé timide.

Et ceux qui ont une tribune « officielle » sont devenus de faux dieux de cette ère de moutons électriques élevés et sculptés   sortes de statues de par leurs statuts.

La connaissance du bien et du mal

C’est bien là la saveur du 21e siècle où la servilité passe par la propagation du faux savoir de plus en plus affiné et sournois, au ras des rats des d’égoûts – celui dévié vers un seul but, la manipulation et l’engrangement de l’avoir, des fortunes irraisonnables.   Savoir en   en lamelles – tranché finement,  qu’on fait avaler aux enfants, couches par couches, juste après la couche. Plus ils sont roses, plus ils sont une bonne  pâte à modeler.

Plus le savoir est concentré et canalisé.

The goal is money…

I shot the Sheriff

But I didn’t shoot the Deputy, dit la chanson. ( Bob Marley)

C’est pourquoi on blâmera Obama pour la chute de l’empire étatsuniens, alors qu’il n’est qu’une statuette de paille d’une panoplie de financiers qui rotent leur argent à force d’en manger…sur le dos du mouton des moutons.

Du genou à la tête

La connaissance du mal a depuis longtemps  penché dans  le camp du diable . Elle est intrinsèquement liée à une ignorance totale du fonctionnement de base de la nature humaine et dénuée de toute vision cosmique, mais surtout d’absence  d’honnêteté de   ceux qui s’achètent des fioles de sang bleu. Les démons se reproduisent entre eux.

L’hypocrisie, chez les simples d’esprits cravatés est un ersatz à leur intelligence. Un peu plus de vice… Encore plus de vice. Et toujours plus de vice…

C’est ainsi qu’on en arrive  à  assassiner des  humains… debout.

Le grand progrès actuel est de détruire la vie de quelqu’un en gardant son corps intact. Pas de cadavre… La mort intérieure. Comme l’invention de la torture du psychisme- la grande découverte du 20e siècle…  Le supplice de la goutte et autres « inventions » pour cacher l’apparence de destruction.

Avant,  on leur écrabouillait  les genoux à coups de marteaux.

Le prisonnier peut maintenant  sortir d’une  prison militaire comme s’il était allé chez le coiffeur, le masseur ( tout doux, tout doux), et le conseiller en lingerie.

Le citoyen-bûche

C’est là  l’eugénisme du 21e siècle : la chambre à gaz est  le résultat d’une surchauffe de l’activité économique pour un « humain » transformé en  bûche alimentant  « l’industrie de l’argent ».

Une bûche qui en bûche un coup, se sentant responsable du « mauvais rendement » et de la lente décrépitude du mode de vie occidental. Une responsabilisation cultivée…

C’est un fouet invisible pour le rameur de la galère.

Un jeu de cartes.

La société est un jeu de cartes où les valets veulent devenir des rois et des as.

C’est la basse  fin finauderie  de cet art d’user de cette faiblesse du grand creux de l’âme humaine. Notre chien ne se contente pas d’un os : il veut le squelette au complet.

Assassiner des points d’interrogation, ou les diluer, est un puissant instrument de contrôle.

Alors, on cultive les points d’exclamation dans l’âme des humains. Il faut les rendre fiers de tuer, fiers de servir, fiers de travailler 12 heures par jours.

La cause, la grande.

La fierté hydroponique.

Le pâtamodeleur

–          L’État a le contrôle de la connaissance.

–          L’État fait de nos enfants des graines à la méthode Monsanto.

–          L’état accuse le citoyen de la pauvreté de son pays

–          Le citoyen mendie piteusement à l’État

On en arrive à une panoplie de lobotomisés fiers de conduire les serfs vers un « monde meilleur »…

L’éloge du Pedegree

On a toujours cultivé les médailles et les honneurs. Les chiens aiment bien les médailles…Mais pas vraiment, puisque c’est le maître qui en profite…  Il n’a pas conscience de la servilité dont il est victime par la manipulation du maître : car c’est ce dernier qui possède les biscuits et contrôle  la « pauvre » intelligence du chien.

La différence entre l’attitude des États et les conducteurs de traîneaux à chiens et que le conducteur aime ses chiens.

Pavlov avait bien raison… La technique est même  applicable aux employés souvent haut-gradés à qui il suffit d’injecter des connaissances « techniques », bien cloîtrées, sans souci d’intégration d’ensemble. Le maître-chien.

Intelligent,  selon les critères qu’on lui a accordés, spécialisé dans sa bulle d’actions, c’est un génie à  canne blanche… Un non-voyant qui coure des neurones, c’est dangereux..

Il n’y a pas pire que les titres pour faire d’un citoyen un bœuf. Monsieur s’est fait fumer comme un crapaud. Tout bouffi, bien « pouvoiré », il a un petit côté Dieu et le sang bleu comme l’encre de son stylo. Ou de sa cartouche d’imprimante…à liens

Le citoyen mendiant

C’est ainsi que l’État à fait du citoyen un petit chien à queue basse à l’impression d’être en lambeaux, sans abris, et s’en va, timide, demander à l’État un salaire, des conditions de travail, un petit bonheur tout piteux,  sa soupe populaire.

C’est gênant d’aller quêter tout l’argent qu’il  a donné…

Le peuple n’est pas assez « instruit » pour comprendre, ni n’a le temps de faire un doctorat en « complotisme ».

C’est un ignare souterrain…

C’est ainsi, que tranquillement, l’État et sa panoplie de compagnies créatrices d’emplois copain-copain ont réussi à produire un mouton électrique in vitro.

« C’est nous qui savons! » Un « sur-nous » de fonctionnaires et de soldats de l’État.

Et pour en ajouter, on le peut maintenant le conduire à distance et l’enfermer dans un travail dit gratifiant. Voilà les infirmières, les médecins, les enseignants, bref, tous les travailleurs soumis au règne des tyrans invisibles   pour « sauver » leur  pays…

Le Moyen-âge cellulaire avec contrôle à distance

Le Roi étant mort, il s’est transformé dans un semblant de démocratie en sculptant des petits rois qui n’ont qu’un but : tout avoir.

Ce qui est tout de même frappant, c’est le fabricant de moutons électrique n’est même pas conscient qu’il est un chien attaché à un traîneau.

Finalement, il n’y a jamais eu autant de serfs.

On a réinventé la précarité…

C’est le Moyen-âge électronique…

Structure du Moyen-âge

C’est ainsi qu’était la structure sociale du Moyen-âge.

Un seigneur donne un fief à son vassal:
Le fief est la garantie de fidélité du vassal envers le seigneur
Le fief est la source de revenu pour le seigneur.

Il y deux types de terres sur un fief : la réserve seigneuriale et les tenures

Droits seigneuriaux :     monopole des armes
perception de taxes
justicier

Devoirs des paysans:    redevances en produits agricoles
cens: (monnaie) pour la location du moulin, du four, du pressoir, etc.
corvée : nombre de journées à exécuter des travaux pour le seigneur

Aspect social

Les paysans devenus tenanciers composent 90% de la population.
Les descendants d’esclaves sont devenus des serfs.
Les serfs ont moins de droits et ils payent des taxes spéciales.
La croissance agricole améliore leur sort, mais leurs conditions demeurent précaires.

Finalement, rien n’a vraiment changé…

Mais, merci Seigneur! Le spectacle est de toute beauté…

Cheney a vraiment un beau costume…

Et pour l’avenir des U.S.A

A BEAUTIFUL MIND :-)

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Bush

EN COMMENÇANT PAR LA FAIM…

John D Rockefeller

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« Contrairement à la croyance populaire, l’idée d’une race nordique dominatrice n’était pas seulement un fantasme nazi. Ses origines s’enracinent dans les États-Unis du XXe siècle. »

Les «grands» de ce monde ont de grandes idées… Ces mythomanes fortunés n’ont de limites que leur égo boursoufflé et leur penchant à se prendre pour des dieux… On ne peut, après voir épluché la couverture de ces «fruits» de la Nature Humaine, ne plus rester aveugle des buts louables camouflés sous d’autres qui le sont moins.

Les grands de ce monde, déshumanisés, «pouvoirés», finissent par perdre leur couverture quand on les sort de leur lit après avoir jeter un œil en arrière sur l’Histoire.

Demain est un autre jour… Mais les préparatifs, sous couverts de bonté, ont préparé un repas peu copieux pour l’être humain normal, qui a le droit de jouir de la vie et de cette planète autant, sinon plus qu’eux.

Hitler est un salaud reconnu…

Qu’en est-il des autres ?

Rockefeller fut un grand philanthrope. Après avoir amassé une fortune équivalente à 200 milliards de dollars, il est considéré comme l’homme le plus riche des temps.

Il laissa un héritage… À la mesure de sa fortune, de ces ambitions, et de ses vues. Ces «hissés» à la hauteur de «dieu» aboutissent à des projets et des idéologies pour le moins surprenantes.

Dans une série de deux articles, François Marginean, trace un portrait de l’eugénisme.

L’eugénisme d’Hitler fut financé dans une large mesure par la même Fondation Rockefeller qui construit aujourd’hui une «réserve de semences du jugement dernier» afin de préserver des échantillons de chaque semence présente sur notre planète. A présent, ceci devient vraiment intriguant. La même Fondation Rockefeller créa la pseudo-science de la discipline de la biologie moléculaire dans leur poursuite incessante visant à réduire la vie humaine à la «définition d’une séquence génique» qui, espéraient-ils, pourrait alors être modifiée dans le but de modifier les caractéristiques humaines à volonté. Les scientifiques de l’eugénisme d’Hitler, dont beaucoup ont été tranquillement amenés aux États-Unis après la guerre afin de poursuivre leurs recherches biologiques eugénistes, ont jeté une grande partie des bases du génie génétique des diverses formes de vie, soutenues ouvertement en grande partie jusqu’au sein du troisième Reich par les généreuses bourses de la Fondation Rockefeller. Eugénisme et l’agenda de dépopulation mondiale, François Marginean

Voici quelques buts avoués à travers l’Histoire de ce «grand homme» et de sa descendance.

« John David Rockefeller III grandit dans un milieu malthusien d’eugéniste et de théoricien de la race tels que Frederick Osborn, Henr Fairchild et Alan Gregg qui tous appartenait à la fondation Rockefeller. pour John David Rockefeller III, il semblait naturel que lui et ceux de sa classe décidassent quels éléments de la race humaine devaient survivre, pour jouir d’une « vie conforme à ce que nous souhaitions qu’elle soit ». Pour eux, il s’agissait simplement de sélectionner les meilleurs éléments du troupeau humain pour en améliorer la race. »
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« Dès la première guerre mondiale, des noms tels que Rockefeller, Harriman, le banquier JP Morgan, Mary Duke Biddle de la famille des producteurs de tabac, Cleveland Dodge, John Harvey Kellog de la fortune des céréales, Clarence Gamble de Procter & Gamble, étaient tous à l’origine du paisible financement de l’eugénisme, la plupart en tant que membres de la Société eugéniste américaine. Les mêmes furent à l’origine d’expériences de stérilisations forcées sur des « personnes inférieures » et de diverses méthodes de contrôle démographique. »

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« Pendant plus de 34 ans, Alan Gregg dirigea la division médicale de la Fondation Rockefeller. Inconnu du monde extérieur, il est vraisemblable qu’en plus de trois décennies, il ait eu plus d’influence sur la vie et la mort sur cette planète que Josef Staline et Adolf Hitler réunis. »

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« Dès l’origine, la Fondation Rockefeller s’était focalisé sur la réduction systématique de la population des races « inférieures ». L’une de ses première dotations fut attribuée en 1923 au Conseil pour la Recherche en Sciences sociales, dans le dessin d’étudier les techniques de contrôle des naissances. »
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« L’eugénisme était une pseudoscience. Le mot, inventé en 1883 en Angleterre par Francis Galton, cousin de Charles Darwin, est mentionné dans « L’origine des espèces », ouvrage par lequel celui-ci avait imposé ce qu’il appelait « l’application des théories de Malthus à tout le royaume végétal et animal ». Mais peu avant sa mort, Malthus avait répudié sa propre théorie démographique. »
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« Contrairement à la croyance populaire, l’idée d’une race nordique dominatrice n’était pas seulement un fantasme nazi. Ses origines s’enracinent dans les États-Unis du XXe siècle. »
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« En 1904, le Carnegie Institute d’Andrew Carnegie créa l’imposant laboratoire de Cold Spring Harbor, l’Eugenics Record Office, sur la très prospère île de Long Island, à côté de New York. Des millions de cartes de groupes sanguins, d’Américains ordinaires, furent rassemblés afin d’organiser la complète suppression de lignages réputés inférieurs. le terrain de construction de l’institut fut donné par le magnat du chemin de fer, E. H. Harriman, zélote de l’eugénisme.
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Les Asiatiques, Noirs et Hispaniques à la peau sombre, mais aussi les malades et les retardés, étaient réputés inférieurs par rapport aux normes eugéniques « d’amélioration de la race ». Le but de ce projet de mise en carte était de recenser les lignages de sang inférieur pour leur faire subir ségrégation et stérilisation permanente en vue d’éradiquer la lignée.
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La Fondation Rockefeller en fut rapidement l’un des contributeurs financiers les plus généreux. Elle déversa des centaines de milliers de dollars dans divers projets eugénistes et démographiques. »
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« En 1927, la Cour suprême autorisa la stérilisation coercitive de centaines de citoyens américains ou leur persécution en tant qu’êtres inférieurs. Un hôpital psychiatrique de Lincoln, dans l’Illinois, nourrissait ses nouveaux patients avec le lait de vaches tuberculeuses. […] La Californie était l’État modèle en matière d’eugénisme. Sous l’égide d’une loi promulguée en 1909, tous les déficients mentaux furent stérilisés avant d’être libérés. Tous les criminels trois fois condamnés pouvaient être stérilisés à la discrétion du médecin consultant. La Californie stérilisa ainsi 9 782 personnes, notamment de nombreuses femmes classées « mauvaises femmes », dont beaucoup avait été contraintes à la prostitution. »
***
« L’enthousiasme des Rockefeller pour l’eugénisme ne s’arrêta pas aux côtes américaines. Pendant les années vingt, l’argent de la Fondation joua un rôle majeur pour financer l’eugénisme allemand. De 1922 à 1926, celle-ci alloua, par le biais de son bureau parisien, la somme incroyable de 410 000 $ à plusieurs centaines de chercheurs allemands. En 1926, elle accorda la somme de 250 000 $ pour créer à Berlin, l’Institut impérial wilhelmien pour la psychiatrie, ce qui correspond à 26 millions de dollars de 2004, somme inouïe dans l’Allemagne de Weimar dévastée par l’hyperinflation et la dépression économique. »

***

« Le psychiatre en chef de l’Institut impérial de l’époque était Ernst Rüdin, achitecte du fulgurant parcours du programme hitlérien d’eugénisme médicalisé systématique. En 1932, la nomination de Rüdin comme président de la Fédération eugéniste mondiale, fut financée par la Fondation Rockefeller. Dans son programme fondateur, cette association appelait à la liquidation ou la stérilisation des personnes dont l’hérédité constituait un « fardeau public ». »
***

« À la fin des années trente, l’institut, dirigé par Rüdin, avait reçu des « cervelles par lots de 150 à 200 » prélevées sur les victimes du programme d’euthanasie nazi, mené à l’hôpital d’État du Brandebourg. La recherche neurologique profitait des expérimentations nazies sur les Juifs, les Tziganes, les handicapés mentaux et les autres personnes jugées « défectueux ».

L’argent de Rockefeller était la base du financement de l’eugénisme dans sa forme la plus pure. »

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« Rüdin dirigea également le programme nazi et fut en 1933, l’un des premiers architectes de la loi en faveur de la stérilisation eugénique forcée. […] Sous l’empire de la sa loi, quelques 400 000 Allemands diagnostiqués maniaco-dépressifs ou schizophrènes furent stérilisés de force, et des milliers d’enfants handicapés simplement tués. »

« Hitler écrivait à l’eugéniste américain Madison Grant pour le féliciter personnellement de son ouvrage de 1916, « Le Déclin de la grande race », dans lequel Grant déplorait que «l’Amérique fût infestée d’un nombre grandissant de personnes faibles, diminuées et mentalement handicapées de toutes les races… » […] En saluant Grant, Hitler saluait un frère d’arme, le cofondateur de la Société eugéniste américaine. Vers 1940, des milliers d’Allemands des hospices de vieillards et d’établissements psychiatriques furent systématiquement gazés. […] Leon Whiteney, secrétaire exécutif de la Société eugéniste américaine financée par Rockfeller, déclara, à propos des expériences nazies : « Alors que nous tournons autour du pot, les Allemands appellent un chat, un chat. » »

« En mai 1932, la Fondation Rockefeller adressa ce télégramme à son bureau parisien, qui canalisait les fonds vers l’Allemagne : « Réunion du comité exécutif de juin : neuf mille dollars sur une période de trois ans pour l’institut KWG d’anthropologie pour la recherche sur les jumeaux et les effets sur la descendance de substances toxiques. Cela se passait une année avant qu’Hitler ne devienne chancelier. »

« À la grande satisfaction de von Verschür, le Dr Mengele, son assistant de toujours, fut affecté après mai 1943 à la direction du camp de concentration d’Auschwitz, où il fut surnommé « l’Ange de la mort » et connu pour les expériences mortelles qu’il menait sur les prisonniers. Désormais leur expérience « scientfique » pouvait se poursuivre sans inhibition. »

« Le pragmatisme primant toujours sur les principes, la fondation Rockefeller ne cessa de financer l’eugénisme nazi qu’en 1939, quand les Nazis envahirent la Pologne. »

« En 1949, Otmar Freiherr von Verschür, médecin d’Auschwitz, fut nommé membre correspondant de la Société américaine pour la Génétique humaine, nouvelle organisation fondée en 1948 par les principaux eugénistes, camouflés derrière la bannière du terme moins infâme de génétique. […] Von Verschür devait une part importante de sa nouvelle identité remaniée, à la situation dont il bénéficia après la guerre au Bureau pour l’Hérédité humaine de Copenhague, nouvellement créé. la Fondation Rockefeller fournit le financement nécessaire à la fondation de cet établissement danois, où les mêmes activités eugénistes purent progresser plus tranquillement. Ce bureau pour l’Hérédité humaine reçut une lettre de von Verschür l’informant que les archives des recherches menées à Auschwitz avaient été transférées à Copenhague en 1947, au bon soin du directeur danois de l’institut, Tage Kemp. »

« En 1952, John D Rockefeller III était prêt pour accomplir le grand œuvre de sa vie. Il créa le Conseil à la Population de New York, pour promouvoir les études sur les dangers de la surpopulation et les problèmes connexes. »

Seed of Destruction2

Érasme et les financiers

Apparition de la monnaie de papier en Chine

En Chine42, la monnaie métallique apparut à la fin de l’époque Shang (XIIe siècle BC). Une monnaie de bronze fut coulée sous la forme des protomonnaies primitives qu’elle remplace progressivement (cauris, outils, monnaies-couteaux). Elle fut à son tour remplacée par le banliang, mieux connu sous son appellation malaise de sapèque, monnaie de bronze ronde percée d’un trou carré pour pouvoir les attacher en ligatures, imposé par l’Empereur Qin Shihuangdi, bâtisseur de la Grande Muraille. Il étendait ainsi au pays tout entier la monnaie du royaume de Qing apparue, elle, dès 370 BC.

La lourdeur des ligatures favorisa l’apparition d’un papier-monnaie. A la fin du VIIe siècle de notre ère, les grands commerçants prirent l’habitude de confier leur monnaie contre un bon émis par certains représentants du pouvoir impérial, à savoir le ministère des Finances, le bureau des Revenus Publics et le commissariat du Sel et du Fer. Le papier fut inventé en Chine vers 100 BC. Il était composé dans les premiers temps d’une pâte à base de bouillie de déchets de soie, puis mélangé à des fibres de mûrier et de bambou.

Les Chinois possèdaient aussi le secret des encres indélébiles, à base de noir de fumée. Ils ne mirent pas longtemps à inventer l’imprimerie en moulant des idéogrammes dans l’argile. En 650 AD apparait le premier « billet de valeur », le Pao-tch’ao, émis par la dynastie T’ang (618- 907 AD) : officiellement, il vaut 10 000 unités de cuivre. Marco Polo notera avec surprise dans sa Description du monde43 qu’à la fin du XIIIe siècle44, les Chinois faisaient déjà usage des billets de banque.

Et je vous dis que chacun prend volontiers un billet, parce que partout où les gens se rendent sur la terre du grand Khan, ils peuvent acheter et vendre, tout comme si c’était de l’or fin. Quand45 on part de Ciangan, on va trois journées par un très beau pays, où il y a maintes cités et villages de grande noblesse et grande richesse, qui vivent de commerce et de métiers… Ils ont papier de monnaie. Ils ont abondance de toutes les choses qu’il faut au corps de l’homme

Les propos d’un humaniste : Erasme

S’il est bien un auteur que plus personne ne lit et dont tout le monde parle, c’est bien le grand Erasme (1469 – 1536). Il est vrai que ses œuvres furent publiées en latin, peu traduites depuis car mises à l’index. Dans ses colloques (1518), il se montre à la fois humoriste et penseur, critique acerbe et indulgent de la nature humaine. Mettant en scène le l’art de mentir, Erasme choisit bien entendu des financiers46 :

PSEUDOCHEE – Je fais nombre d’affaires avec un tas de gens. J’achète, je vends,

j’engage, j’emprunte, je reçois en dépôt.

PHILETYME – Et ensuite ?

PSEUDOCHEE – Dans toute entreprise, je m’attaque de préférence à ceux que je peux

duper sans qu’ils me prennent sur le fait.

PHILETYME – A savoir ?



PSEUDOCHEE – Les sots, ceux qui ont la mémoire courte ou la tête légère, les absents et les morts.

PHILETYME – Il va de soi que les morts sont incapables de toute contestation.

PSEUDOCHEE – Si je traite quelque opération à terme, je l’inscris avec soin sur mes registres.

PHILETYME – Et alors ?

PSEUDOCHEE – Au règlement des comptes, je réclame du preneur une somme plus forte que celle qu’il a perçue. S’il est étourdi, c’est tout bénéfice pour moi.

PHILETYME – Et s’il découvre le pot-aux-roses ?

PSEUDOCHEE – Je lui soumets mon registre.

PHILETYME – Bon, mais s’il te démontre d’une manière irréfutable qu’il n’a pas touché ce que tu portes à son débit ?

PSEUDOCHEE – Je proteste tant que je peux, car, dans cet art, foin de toute vergogne

! Enfin, suprême recours, je n’ai qu’à inventer quelque défaite.

PHILETYME – Et si ta fraude est malgré tout mise en évidence ?

PSEUDOCHEE – Rien de plus simple, je rejette la faute sur mon serviteur ou sur une absence de mémoire. Le fin du fin est de mêler plusieurs comptes. La duperie est d’autant plus aisée. Ainsi par exemple, certains articles ont été barrés après payement, d’autres restent encore à régler. Je mélange le tout dans mes notes, comme si rien n’avait été rayé. Une contestation s’élève mais je triomphe le plus souvent, dussé-je me parjurer.

PHILETYME – Art admirable vraiment !


EMAIL À JÉSUS

 

Jésus3.1417@brûlemalle

Je ne sais pas trop qui tu es. Mais à ce que je peux voir, tes droits d’auteur sont bafoués. Tu devrais  en parler à Allah… Il doit bien y avoir une certaine consanguinité de lumière entre vous.

Vous êtes tous pour la paix, vous les dieux. C’est obsolète… Les américains mettent ton œuvre sur leurs fusils, et ton nom sur leur monnaie : In God We Trust. Et les autres s’attachent des bombes au ventre.

J’ai lu tous tes emails qui sont sur un blog nommé Bible.

Tu as beaucoup parlé d’amour. Ben, on dirait que tes  emails ont été bloqués sur un serveur. Un gros serveur!

Je ne sais trop ce que tu voulais dire par là, mais je pense que s’il y a de la lumière en chacun de nous, les civilisations, les pays, les finances, on dirait qu’ils auraient besoin de bougie pour s’éclairer. Et pour nous aussi…

Oui, je m’excuse de te tirer de ton bonheur et de ta paix éternelle, mais ici les secondes sont longues.

Je sais que tu ne reviendras pas.

Mais envoie cet email en une chaîne pour dire à tout le monde que la lumière du monde n’est pas sur un fusil, mais quelque part en notre âme.

Tu sais, il y a des jours ou je prie… Oui, encore. Mais je ne demande rien. Je demande seulement que dans tous les tisons d’étoile qui sont dans le ciel que – quand je les regarde – ils sont un peu de ton père. Et déjà qu’à les regarder c’est beaucoup.

Parlant des oiseaux, tu dis qu’ils ne sèment ni ne moissonnent.

Soit.

Mais fait une recherche sur les OGM.

Si tu tapes MONSATAN,  tu risques de te retrouver sur Monsanto. Si tes oiseaux mangent de ces graines, tu risques d’avoir des oiseaux qui marchent au lieu de voler.

J’espère que tu as un bon antivirus. Tu risques de te retrouver avec des fenêtres intempestives.

On te demandera de jouer au poker ou encore de parler à une fille aguichante. C’est pas Madeleine, c’est une sorte d’ombre de Madeleine.

Bon!

Je ne voudrais pas minimiser ton œuvre, mais si tu étais capable de multiplier les pains et les poissons, en ce moment, on fait déjà les deux. Même plus… On fait de l’argent invisible. Ça sert à faire des guerres… et à garder les gens pauvres dans la pauvreté.

Je ne demande pas de revenir, parce qu’il y a des décennies où c’est l’enfer ici.

Qu’est-ce qu’un dieu pourrait faire en enfer?

Mais nous on y vit…

Et on ne peut pas partir en volant.

DARWIN ET LES COW-BOYS

Déjà un peu évolué...

Déjà un peu évolué...

C’est un professeur d’études islamiques, Seyyed Hossein Nasr, qui a peut-être le mieux résumé l’enjeu de l’offensive créationniste en observant: «La théorie de l’évolution est le piquet de la tente de la modernité. Si elle tombait, toute la tente s’écroulerait sur la tête de la modernité.» (dans Science) La Presse, Mario Roy

 

Il est bien possible que l’Homme descende du singe. Toute la science est une série de copier-coller avec un nouveau fragment chromosomique : la vanité et la foi sans trop d’imagination ni d’ouverture d’esprits.

Mais le singe, pour en arriver là, devait être une guenon violée par un E.T. d’une grande intelligence… Il voulut connaître le mélange des émotions et du savoir.

La preuve la plus flagrante… Le banana-split

Ovni à bananes...

Ovni à bananes...

La banane et le vaisseau réunis. Inconsciemment, des millénaires plus tard, ce velu grisé de la matière, avait enfanté le prolongement de deux idées dormantes au fin fond de son cerveau.

Pendant des millénaires, ce demi-singe parlant, mais sans Blackberry, n’avait inventé que l’arc et la flèche. Ce qu’il avait fait de mieux… à part accrocher une pierre tailler à un bout de bois pour la guerre.

Cette invention est due au hasard : c’est en voyant un ami accroché à une liane, propulsé dans les airs  que surgit l’idée.

Et Dieu ?

Qu’on commence par le singe ou Georges W. Bush, ou le perce-oreille d’Ottawa, la palette de «Dieu» est énorme.

Ce qui m’étonne le plus c’est le premier homme qui a eu l’idée de tirer sur les pis d’une vache pour en voler le lait. Encore là, il n’eut pas l’idée de le pasteuriser…

Sa descendance – des banquiers, eurent eux aussi l’idée de mettre un prix sur une chose. Le troc était devenu fatiguant…

Arriva le plus grand singe de l’Histoire : celui qui décida d’engager quelqu’un pour tirer trois vaches.

Il le renvoya le lendemain en trouva un qui pouvait tirer quatre vaches en une heure.

Puis l’autre qui arriva un peu plus tard acheta et les hommes et les vaches et forma une compagnie : Cow-boy. Un mélange de la vache et du garçon de trait.

C’est bien le premier singe qui se questionna ce qu’il arrivait après la vie si jamais une pierre bien taillée lui fendait le crâne.

Les vendeurs de drogues se pointèrent.

L’invention de la roue propulsa toute cette fourmilière d’empotés visqueux jusqu’à la chaîne de montage.

Il passa de la grotte à Hollywood.

Puis tourna un film d’après le roman de Pierre Boulle : La planète des singes.

La cravate de soie termina ce chef d’œuvre de «Dieu» : si c’est à l’image de Dieu, alors Dieu est un bandit avec un troupeau de brebis.

Et les clercs se font distribuer des boutons d’or pour construire les clôtures.

Finalement, toute l’histoire se termine bien : les singes s’en vont dans les paradis fiscaux après avoir arraché la peau des petits propriétaires et épargnant.

Tout ça concentré dans une petite boule d’eau flottant dans l’espace.

«Que l’environnement change l’expression des gènes est exceptionnellement important étant donnée la condition très déséquilibrée de notre environnement!» – Janice Bailey, département des sciences animales de l’Université Laval

Me demande qui est déséquilibré dans tout ça.

Alors ni Dieu ni Darwin n’ont existé…

C’est pour ça qu’on est devenus crétinement vert en ne pouvant même plus jeter son dévolu…

 

Les zombies d’Al Capone

Un homme couché dans la boue, y gagnera un lumbago, tandis qu’une anguille ne se portera nulle part mieux que là.

Tchoang-tzeu

« Dans son essence, la création monétaire ex nihilo actuelle par le système bancaire est identique, je n’hésite pas à le dire pour bien faire comprendre ce qui est réellement en cause, à la création de monnaie par des faux-monnayeurs. »

Maurice Allais

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Vous mendierez tant

(Québec) Quelques jours à peine après avoir fait l’acquisition de l’usine Stryker Médical Québec, la multinationale de la sous-traitance Flextronics a asséné, mardi, un coup de massue aux 300 employés en leur annonçant que l’usine de L’Islet fermera ses portes d’ici deux ans et que les activités de fabrication de lits d’hôpital allaient être transférées au Mexique. Cyberpresse

Les mécaniciens  de la mondialisation s’en donnent à cœur joie : il n’y a plus d’humains, rien que des mouches qui n’ont d’autre choix que de  se coller  à la pourriture des États pour se nourrir au caca de l’entreprise mondialisée.

300 emplois dans un village de 3000 … âmes.

Pendant que qu’à l’Assomption, Électrolux s’apprête à déménager à…Memphis. La ville leur a glissé une belle enveloppe de plus  de 100$millions. Les travailleurs, au lieu de 20$ l’heure, auront 13.50$.

100$ millions et de surcroît  des « accommodements raisonnables »… On en devine les dessous : terrains, taxes, et toute la filière des aromates puants de la culture

Le travailleur-lavette

Nous voilà à l’ère du travailleur-lavette imbibé de la crasse répandue et organisée. Faites-moi rire quand on voit la GRC attraper un petit voleur, un minuscules aiguille dans la botte de foin d’un monde où la racaille est une filière de Capone clonés  se pourléchant   les babines à tordre la race humaine partout sur la planète.

On se fout de l’humain. C’est une abeille niaise dans un monde de fourriculteurs qui plantent l’argent là où ça les tente.

Pour qu’il pousse…

Le libre marché…

Électro-luxe

L’usine produit des électroménagers de cuisine et emploie environ 1300 personnes. Leur moyenne d’âge se situe à 48 ans et ils comptent 18 années en termes de moyenne d’ancienneté. Oui, il y aura un programme de reclassement selon les normes habituelles du gouvernement. Il s’agit du plus gros employeur privé de la MRC de L’Assomption. Hibernivore

Dans une société riche, qui finira par se retrouver à la rue quand le travailleur se retrouvera piégé comme un rat dans le grand labyrinthe des compagnies. Ce qui est déjà fait…

La main invisible n’est peut-être pas celle que l’on pense. Celle qui prend et qui ne donne rien, sauf du rêve…

La grande machination est une longue et savante distillerie à  vinaigre pour   humains.

Dire qu’on se penche sur les 40 anguilles en risque d’extinction, ou en danger de…  sous le prochain échangeur Turcot.

Le « monde »

La Terre?

C’est comme Chicago dans les années 30. Al Capone est bien vêtu…

Et c’est probablement lui qui mène le grand bal maintenant. Le banditisme mondialisé, enterré sous la paperasse, le grand jeu du Monopoly qui crée des échelles virtuelles, mais des serpents réels est en train de faire couler l’âme humaine.

La propagande des États est un amoncellement de fiel, d’acide, sournois, en train de déstabiliser la Vie. Même si on avait 1 mètre de dollars  sous les pieds, les carottes et les petits pois n’y pousseraient pas.

Avec tout ce que l’on sait sur la « manière dont fonctionne le monde », nous sommes victimes d’un énorme alambic qui est en train de reproduire ici et là le même modèle de zombie qu’on enfourne dans les pays sans avoir de réels pouvoirs.

En champagne électoral

Et les politiciens soûls sont des coulis de la petite bière quand on leur donne leur pourboire de 5% de pouvoir et qu’on engrosse leur vanité.

Les reste n’est qu’une culture de bulles. Champagne électoral.

Le monde est un champagne schizophrénique : ceux qui roulent sur les bulles et ceux qui sont noyés dans celles-ci.

La sociopathie est considérée comme un trouble de la personnalité dont le critère principal d’identification est la capacité limitée, pour les personnes montrant les symptômes du trouble, à ressentir les émotions humaines, aussi bien à l’égard d’autrui qu’à leur propre égard. C’est ce qui peut expliquer leur manque d’empathie  quand ils sont confrontés à la souffrance  des autres, témoignant d’une incapacité à ressentir l’émotion associée à l’empathie ou la souffrance. Wiki

Irak

Le bilan annuel pour les américains se décompose ainsi :

  • en 2003 : 486 morts et 2 416 blessés ;
  • en 2004 : 849 morts et 8 002 blessés ;
  • en 2005 : 846 morts et 5 947 blessés ;
  • en 2006 : 822 morts et 6 400 blessés ;
  • en 2007 : 904 morts et 6 103 blessés ;
  • en 2008 : 314 morts et 2 052 blessés ;
  • en 2009 : 149 morts et 693 blessés ;
  • en 2010 : 60 morts et 386 blessés au 8 décembre.

Pertes matérielles
Selon le magazine Raids[107], en mai 2006, on dénombrait dans les forces armées des États-Unis :

  • 2 400 morts et 17 469 blessés, dont 8 137 assez ou sérieusement blessés étant affligés de handicaps permanents, soit un total d’environ 20 000 soldats mis hors de combat, environ 12 % des effectifs engagés ; — avec les rotations, au total, plus d’un demi-million de militaires américains on fait un tour de service en Irak ;
  • 130 hélicoptères perdus, dont 14 CH-47 Chinook et 52 AH-64 Apache (plus de 56 millions de dollars l’unité), et 118 hélicoptères endommagés ;
  • sur 30 000 véhicules terrestres, près de 1 400 ont été détruits, dont 49 chars Abrams M-1 (142 endommagés) et 450 véhicules légers Hummer (430 endommagés).

Les pertes matérielles sont dues aux faits de guerre et accidents, mais aussi aux conditions d’utilisation (poussière, chaleur). On estime que la maintenance des hélicoptères a représenté, depuis le début des opérations d’Afghanistan en 2001, 2,6 milliards de dollars, et la maintenance globale pour 2006 est évaluée à 20 millions d’heures de travail.

Guerres  et guerres économiques, il  n’y a pas de propreté dans le grand alambic pour ces fabricants de mensonges affinés.

Le seul progrès du  21e siècle est d’avoir inventé des pauvres qui se croient riches ( dans une énormité de dettes ) qui  on peur de tout perdre.

Le stress, c’est le sang invisible des pays riches…

Stress professionnel : quels coûts ?

Le stress est la conséquence d’un nombre important de maladies cardiovasculaires, de dépressions et de troubles musculo-squelettiques (TMS).

Une étude de l’Inrs estime que le coût du stress professionnel a représenté au minimum 2 à 3 milliards d’euros en France en 2007 (dépenses de soins, absentéisme, cessations d’activité, décès prématurés).
L’étude n’a pas pris en compte la dimension du coût du stress pour l’individu à savoir la souffrance et la perte de bien-être (il est admis qu’ils peuvent représenter jusqu’à deux fois les coûts des soins et des pertes de richesse).

En Europe, le coût économique annuel du stress au travail dépasserait les 20 milliards d’euros.

Le BIT (Bureau International du Travail) estime que les pertes de qualité, l’absentéisme et le turnover résultant du stress représentent entre 3 et 4% du PIB des pays industrialisés. source

Bientôt, il n’y aura plus que deux classe : les « quêteux » et les riches.

Sauf ceux qui seront morts pour enrichir les vrais dirigeants d’un monde qui s’adonne avec succès à la culture des zombies.

Ceux qui nous « dirigent »….

Les deux richesses

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Voici un texte de Pierre JC Allard, tiré de NOUVELLE SOCIÉTÉ. C’est un texte capital pour un monde meilleur.

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Mais avant…

Le roi est mort… Vive les petits rois…

Je n’insisterai jamais assez pour affirmer qu’il y a une erreur monumentale dans la perception de notre société dite démocratique. C’est assez simple, on nous fait loucher…

L’une des bases, sinon la plus « fabuleuse », consiste à nous faire croire que le système actuel « permet » à n’importe qui de devenir riche… Dans la bonté, même…

L’autre erreur consiste à croire qu’il n’y a que deux voies : capitalisme, socialisme.

L’importance du texte de M. Allard est de nous démontrer que le système – est devenu une « monarchie multi-faces ». Une sorte d’ hyper-bourgeoisie  menaçante et contrôlant.

Il y a possibilité de créer un système qui puisse non seulement distribuer la richesse mais, surtout, de garder celle que l’on détruit actuellement sans regard humain sur le monde.

Nous sommes à ce point berné qu’on nous vend même l’idée qu’il n’y a pas d’autres issues, et qu’il faut s’accommoder de cet état.

Plus les « pouvoirés » ont de pouvoirs, plus ils tiennent à le garder. Plus les « pouvoirés » ont des esclaves pour garder leur richesse, plus ils vont les garder en esclavage. Car, sans eux, ils ne sont rien.

C’est là le commencement de la prise de conscience qu’ils ne sont rien sans le simple citoyen. Ils le cultivent… Mais le gardent maigre et apeuré… Le parfait esclave.  

Le vieux discours de la gauche et la droite est une sorte de Ford-T qui n’a plus sa raison d’exister.

On tourne en rond… Les mains liées. On nous fait simplement croire qu’il n’y a pas de solution. Il y en a. Mais pour débuter une action, la première chose est une prise de conscience.

Dé-voiler. Dessiller. Ouvrir l’esprit à une perception de la réalité cachée sous cet écran de fumée.

Nous sommes des esclaves aux idées liées… C’est pire que celle des mains.

Il n’y a pas que « deux richesses », il y a deux mondes : celui de l’État visible – qui n’a plus de réel pouvoir – celui de l’invisible. Celui des « pouvoirés » camouflés sous des acronymes dans une liste infinie et maquillée.

Satan

Bien maquillée. De toute beauté!

Dans un monde d’apparence, le néo-libéralisme est une putain bisexuée qui, en la regardant, nous laisse pantois.

On ne sait plus trop à qui on a affaire, mais on sait que les affaires sont de trop…

On cultive même les faux malheurs, on les crée également, tout simplement pour nous fabriquer une certaine forme de relativité.

Un tour de force : une relativité d’avoir, de bonheur, préfabriquée.

Satan s’est mis la queue au cou en forme de cravate…

 

Le postulat des « Deux richesses »

En s’acceptant « néo-libéral », le capitalisme garantissait sa survie. En plaçant un filet de sécurité sous le trapèze de l’initiative, le capitalisme devenait plus attrayant que le communisme ou le fascisme, ses deux rivaux immédiats. Le problème était posé, toutefois, de maintenir ce filet à un coût acceptable aux acrobates de la libre-entreprise. Comment donner de la richesse sans créer une inflation qui ruinerait tout le monde, comme on en avait eu l’illustration caricaturale dans l’Allemagne de Weimar ?

Le génie du système néo-libéral a été de faire clairement la distinction entre d’une part la richesse qui est composée des biens et services qu’on consomme et, d’autre part, la richesse symbolique, scripturale, qui n’est que du papier, mais qui a une valeur indiscutée réelle si on ne s’en sert que comme outil de pouvoir. De faire cette distinction, puis de comprendre qu’il n’y a aucun problème à donner plus d’argent aux riches, dans la mesure où la part des consommateurs n’en est pas réduite et où tout ce qui est produit peut donc toujours être vendu.

On ne peut déplacer l’argent « pour consommation » des travailleurs vers les riches sans rompre l’équilibre de la demande effective, mais on peut créer et donner aux riches une richesse symbolique « pour le pouvoir » . On peut en créer et leur en donner autant qu’il en faut pour les motiver et les garder heureux, sans aucun effet négatif apparent. On peut leur en donner des trillions. C’est donc ce qu’on a fait.

Pourquoi, avec tout cet argent qu’on crée et qui, par définition, ne peut correspondre à la production d’aucun bien réel, la valeur de l’argent ne plonge-t-elle pas tout droit vers zéro (0) ? Parce qu’aussi longtemps que ceux dont les besoins sont déjà satisfaits n’utilisent pas leur argent pour acheter plus, ils ne constituent pas une demande supplémentaire qui pourrait créer une rareté et faire grimper les prix. Or, évidemment, ils n’utilisent pas l’argent supplémentaire qu’on leur donne pour acheter plus, puisque leurs besoins sont déjà satisfaits. CQFD.

Qu’en font-ils de cet argent ? Ils l’épargnent, ils investissent, ils spéculent, mais ils ne le consomment pas. Aussi longtemps que les gagnants gardent leur argent dans un autre univers, qui n’est pas celui de la consommation, il n’y a pas de problème d’inflation. Donner un chèque d’un milliard d’euros qui ne sera pas encaissé ne changera rien à mes fins de mois. Quand il a l’assurance qu’elle ne sera pas consommée, l’État peut créer une richesse symbolique illimitée et la distribuer comme bon lui semble. Il lui suffit d’être bien prudent, pour que cette richesse symbolique qui ne correspond à aucune richesse réelle ne filtre pas vers ceux qui ont de vrais besoins et l’utiliseraient pour consommer.

Est-ce possible ? Oui, si on garde cette richesse « pour le pouvoir » et qu’il ne faut pas dépenser loin du monde ordinaire et donc sous une forme qui, en pratique, lui est inaccessible. Sous la forme de la valeur des titres boursiers, par exemple. Une valeur qui a si peu de liens avec la réalité qu’on pourrait un jour en supprimer pour 8 trillions de dollars (USD $ 8 000 000 000 000) après l’attentat du WTC – (USD $ 28 000 par tête d’Américain moyen !) – sans que l’Américain moyen ne s’en sente vraiment plus pauvre, ni que l’économie ne s’effondre sur le champ.

Il n’est pas sans danger de mettre de l’argent en circulation en prenant pour acquis qu’il ne s ‘égarera pas et ne sera pas dépensé. Un Gagnant peut venir spéculer sur le marché de la consommation, mettant son argent virtuel « pour le pouvoir » en conflit avec cet « argent pour consommation » qu’on donne au monde ordinaire. Il peut y avoir des bavures.
Sur le marché du pétrole, par exemple, on peut spéculer avec des moyens (relativement) modestes, car la vente à la pompe est bien proche de la vente « spot » à Rotterdam. » L’argent « pour le pouvoir peut venir s’encanailler avec l’argent pour la consommation et faire des bêtises. Des fripouilles peuvent manipuler, susciter, profiter des « événements » qui font bouger les cours, comme des guerres en Iraq, des révolutions au Nigeria, des coups d’État au Venezuela. Mais le système peut survivre à ces incidents, même si l’on ne peut, hélas, en dire autant pour tous ceux qui en font les frais.

Ces bavures n’empêchent pas que la cloison soit presque étanche et que la richesse symbolique soit pratiquement interdite de séjour au niveau de la consommation courante. On peut voir certaines extravagances de ceux qui ne sont pas tout à fait assez riches et n’ont donc pas encore absolument tout ce qu’ils veulent, mais ce sont des broutilles dans le contexte de l’économie globale. Tous les Cohibas, les Petrus, les Paradis, les Ferrari du monde ne représentent qu’un léger frémissement sur la courbe de consommation.

Même les industries dites « de luxe » vivent surtout des gens à revenus modestes ; il se boit plus de Champagne dans les mariages du monde ordinaire que dans toutes les noubas des parvenus d’Hollywood et tous les « jets » privés du monde ne valent pas le seul coût de recherche et développement d’un nouveau gros-porteur comme le A 380. L’industrie est pour la masse et les riches sont bien parcimonieux.

Les argents se mêlent peu. L’« argent pour le pouvoir » et l’« argent pour la consommation » peuvent dormir dans le même lit sans se toucher, et sans même une épée entre les deux. Il y a DEUX richesses. C’est ce qui rend possible tout le système capitaliste néo-libéral.

Pierre JC Allard