Archives de Catégorie: ÉCONOMIE

Peuplicides

La planètes des singes

L’homme est en train de s’oublier. Il est perdu dans le vaste magasin de jouets auxquels il accorde une importance démesurée.

On l’a programmé pour qu’il désire et que ses désirs soient illimités et son pouvoir d’achat limité.

C’est un gros nounours.

Il a délaissé son âme pour un amoncellement de choses inutiles.

Le cœur semble s’être soustrait, remplacé par l’illusion de l’immense machine techno-ploutocrate dont il devient lentement mais sûrement le grand  esclave tant rêvée par la multiplication exponentielle des compagnies créatrices de la plus étrange des dépendances.

LA FOSSE COMMUNE

Il est maintenant en train de creuser une immense fosse commune de plusieurs millions d’individus à laquelle suivra la fosse immense de milliard d’individus. Et il ignore que la fin de ce monde EST sa fin.

La loupe sur son nombril était là, dans ce petit ego engrossé par l’insignifiante clique dirigeante sans valeur à offrir à l’humanité qu’une brochette d’objets inutiles pour la vie d’une planète.  La politique a des visions de cent ans. L’homme d’affaire en a une d’un siècle.  La politique a des solutions dans les rencontres de salons planétaires vaines et stériles.

LE CŒUR DES SANS CŒURS

Nous voilà dans de beaux draps après avoir laissé les sans-cœur déjouer le pouvoir politique et s’emparer  des richesses des peuples. Qui donc les a laissé faire? Qui donc sont-ils ces êtres sans vision que nous avons le plus souvent élus?

Ils ont maintenant mainmise sur la planète. Ils décident de prolonger les poisons. Ils décident de vendre aux grandes trompettes insolentes des pubs bavardes et tricheuses, menteuses et « mitrailleuses » : plus il y en aura, plus on vendra. Et plus on achète, plus on jette. Ils produisent des objets, nous produisons des déchets.

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La magie étatique

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Peu importe ce que l’on fasse comme métier. S’il en existe encore. Car, en fait, nous participons tous à la grande tuerie mondiale en adhérant à toutes les falsifications politiques et des hommes d’affaires qui n’ont qu’un but: esclavager. Et une fois dépouillés  de tout ce que la Vie nous a réellement donné, nous n’avons plus de pouvoir sur rien. L’illusion est de croire que nous en avons. En fait, nous payons des aumônes à tous les petits mensongeurs qui font croire à la grandeur de tout ce qui es « BIG ». 

Nous sommes les soumis des soumis. Alors, le sens même des grandes causes finit par perdre tout sens. La seule cause est soi, et le seul moyen de défibrer cette monstruosité planétaire est par soi. 

Quand quelqu’un meurt, c’est une mémoire qui s’en va. Et c’est ainsi que l’Histoire, ses racines, sont oubliées. Et plus s’accentue cette vitesse vertigineuse de vivre dans une forme de surexcitation permanente, plus nous participons à ces vrilles toujours plus rapides. 

La vie, filtrée par l’État, abandonnée à l’État, comme si nous avions besoin d’un père pour nous dicter nos vues, nos visions, nous achetons vues et visions de l’État. 

Nous sommes simplement les spectateurs d’une magie des dirigeants qui applaudissons la brillance de nos chaînes. 

C’est l’ère de l’esclave  à « luxure contrôlée ». 

Gaëtan Pelletier 

La noyade des kapos

BRAZIL. Codajas. 1993.

 

Au cours des trente dernières années l’arsenal financier n’a pas cessé de peaufiner ses montages destinés à la dissimulation et au brouillage des pistes. Les sociétés-écrans ont vu leur nombre exploser, les prête-noms ont fait florès. Le néolibéralisme financier a son vocabulaire édulcorant : l’évasion de capitaux par le choix avisé de procédures légales de circulation de l’argent a été rebaptisée « optimisation fiscale ». Yann Fiévet 

La vie s’en va comme un accident au ralenti… Et l’imbécillité de l’obscurantisme est toute cachée derrières les dirigeants. Nul politicien, ni même économiste ne peut maintenant tracer un portrait « réel » de la situation planétaire. Nous avons perdu tout contrôle sur nos vies, et nous nous déployons avec joliesse – et bien hardie, quoique naïve – nos pancartes afin de  tenter de sauver cette société déchiquetée par les lions de la finance.

La berlue la plus totale! À se demander si nous ne sommes pas piégés comme des rats dans les égouts d’un monde toujours rapiécé comme jadis rapiéçait ma grand-mère, ses bas.

Dans un monde de « grands projets » – comme s’il se voulaient d’améliorer le monde,- nous nous retrouvons sous un amas d’avocasseries, de visions brouillées et de mensonges éhontés. Ford a créé la chaîne de montage, mais les économistes et les affairistes déshumanisés ont créée une machine à enterrer l’argent.

Pour en sortir, il ne faudra pas simplement prendre la Bastille, mais prendre la Terre qui appartient à tous.

Voulait-t-on vraiment nous sortir de la misère du défrichage de la terre, de la semence, de la dureté des climats, de la faim? On l’a fait pour nous enfoncer dans un misérabilisme soigné et parfumé. Une odeur de sainteté!… Mais, au fond, une puanteur extrême et une destruction lente mais « continue » de maman-Terre.

Les beaux mensonges!

Même si nous luttons contre le changement climatique, nous ne pouvons lutter contre l’avidité absurde du carnassier singe à cravate. L’invasion la plus barbare depuis la naissance de cette humanité est celle de l’actuel personnage qui a fabriqué le robot le plus nocif: le cryptage de l’économie.

Dès lors, il ne reste qu’une solution: diluer ce poison en divisant pour régner. Il faut fragmenter et se réunir en noyaux de résistance. Mais, étant donné qu’on nous a appris, et bien appris à être individualistes, nous avons perdu notre capacité à vivre en clans.

Nous avons la plus architecturale forme de propagande qui puisse exister: celle dans laquelle l’État est condensée en un Goebbels estampillé… La propagande, c’est l’école. La propagande c’est de croire que la réussite technique est un gage de réussite sociale. Que la réussite de quelques uns est la réussite de tous.

De tous les temps, il n’y a jamais eu autant d’esclaves, autant de manipulation, autant de chefs miteux.

Nous vivons dans une usine à transformer des humains en des bêtes de somme.

Mais le plus angoissant est de prendre conscience que ceux qui devraient nous faire prendre conscience ont perdu tout contrôle et tout portrait d’un monde  soufflé par la monstruosité d’un charabia dans lequel se tortillent dirigeants et kapos vertueux.

Gaëtan Pelletier

28 novembre 2014

Un dernier train pour Auschwitz

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Il y a ceux qui parlent tout le temps et ceux qui écoutent tout le temps. GP

***

On part pour un petit voyage planétaire. En train. Ils disent qu’on va prendre un bon repas de richesses et se doucher.

La vie est un long voyage qui a commencé il y a des milliers d’années. Le train roule toujours, et pour la première fois de l’Histoire, après les chapelets de mensonges, on commence à douter de la destination. Chacun d’entre nous n’était qu’un infime amas de cellules: ça a donné Mozart et  Donald Trump. Puis une pléiade de « penseurs allumés », qui hurlent des livres, des articles dans une sorte de prière parallèle: cessez de croire qu’on a trois planètes à consommer, etc. Il y a ceux qui parlent vraiment, avec de la beauté dans les dires et personne n’écoute. Il faut un certificat de « communication ». Estampillé par l’État.

C’est l’abrutissement continu. Le carnage planétaire est sans limite. Carnage du psychisme autant que celui des corps brisés et des esprits enveloppées dans des pilules pour palier au stress d’un modernisme clinquant.

Le petit frisquet automnal 

Au petit matin, je m’enfonce dans les bois, passe près des quatre ou cinq pommiers sauvages, et je marche avec un sac à dos lourd. Je marche une heure, enlève des têtes d’arbres cassées par le vent pour me tracer un sentier pour le ski de fond. Les corbeaux croassent et les quelques perdrix qui restent s’enfuient comme des poules à travers les bois. À part ça, c’est le silence total. Le progrès devait nous rendre heureux. Curieusement, c’est la marche dans cette petite jungle qui me rend heureux. C’est une potion magique de tranquillité, de curiosité enfantine, d’un voyage vers soi et vers les autres. Le quotidien des gens libres et qui savent l’être a quelque chose d’excitant. Comme dans les amours, ce sont les petits gestes qui gardent vivant cet amour. Le progrès à l’hélium est en train de nous vendre des merveilles qui n’existent pas, qui n’existeront pas puisqu’il n’a pas pour but de faire vivre la beauté dans les humains au lieu de les esclavager pour le profit.

Puis, de temps en temps je m’assois pour écouter un livre. J’ai le goût de comprendre, le goût d’apprendre. Mais de plus en plus, j’aime les livres simples, comme ceux de Rick Bass: Winter 

27 octobre

Je commence à me dissocier de la race humaine. Je ne voudrais pas passer pour un malotru – mais ça me plaît. Ça me plaît même tellement que ça me fait un petit peu peur. C’est un peu comme si en baissant les yeux vers ma main, j’y voyais pousser un début de fourrure. Je ne suis pas aussi atteint qu’on pourrait le croire. Winter, Rick Bass, 

Et d’autres, plus compliqués, mais Ô combien ouverts dans une vue d’ensemble de ce monde en une image:

« C’est à propos de ce monde que je veux chercher à cerner ce qu’il convient d’entendre par la responsabilité des intellectuels. Pour bien faire comprendre ce que cette question engage à mes yeux, je reprendrai une image à Michael Albert. Imaginons qu’un dieu, lassé de la folie des hommes, fasse en sorte que dans tout cas de mort qui ne soit pas naturelle, tout cas de mort qui résulte de décisions humaines contingentes, le cadavre de ce mort ne soit pas enterré et qu’il ne se décompose jamais mais qu’il soit mis à bord d’un train qui circulera indéfiniment autour de la planète. Un par un, les corps s’empileraient dans les wagons, à raison de mille par wagon; un nouveau wagon serait rempli à toutes les cinq minutes. Corps de gens tués dans des guerres; corps d’enfants non soignées et morts faute de médicaments qu’il coûterait quelques sous de leur fournir; corps de gens battus, de femmes violées, d’hommes morts de peur, d’épuisement, de faim, de soif, morts d’avoir du travail, mort de n’en pas avoir, morts d’en avoir herché, morts sous des balles de flic, de soldats, de mercenaires, morts au travail, morts d’injustice. L’expérience, commencée le 1er janvier 2000, nous donnerait un train de 3 200 kilomètres de long dix ans plus tard. Sa locomotive serait à New York pendant que son wagon de queue serait à San Francisco. Quelle est la responsabilité des intellectuels devant ce train-là ? »  Normand Baillargeon, TRAHIR , 2000.

Il apparaît alors que nous vivons dans un nazisme planétaire dirigeant notre monde vers l’éradication simple de notre nature humaine. En cela, le mot progrès – malheureusement confondu à celui des sciences ou se proclamant sciences – est devenu tellement incompris et brouillé  que les soudards continuent de construire le plus long  rail du monde. On ne sait où on va, mais on voyage . Il suffit de lire les journaux, d’écouter les politiciens, les économistes, les journalistes mous pour comprendre que la destination est trafiquée. On vend des billets sans noms.

Gaëtan Pelletier

Élections : Avant-après

Avant

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Après

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Covid’auto 2032 avec option auto-nettoyant

Auto du futur

jésus aurait changé l’eau en vin. Le grand bazar terrien des blattes métalliques est en train de changer les voitures fossiles en voitures électriques. Nous serons tous branchés et il faudra semer de l’asphalte partout, encore et encore. Il n’y a pas que les arbres que l’on coupera, que l’on abattra , mais les humains également.

En 2032, l’auto  pour faire face au variant Comengo, pendant la 44 ième vague,  sera équipée d’un système  auto nettoyant. Comme les fours domestiques actuels. En actionnant l’auto-nettoyant, la température à l’intérieur de l’auto grimpera à 500 degrés. Les portes se fermeront pour 20 minutes. Vous n’aurez aucun accès à l’intérieur de votre voiture. Certains humains, préoccupés, avalés par leur téléphone intelligent, oublieront sans doute leur bébé à l’intérieur.

Vous sortirez la jeune momie et vous pleurerez.

Mais, le gouvernement, dans son grand élan d’empathie vous remboursera pour la perte d’un « travailleur futur ». Car il faudra de la main-d’œuvre pour enrichir les capitalopiranhas qui vous aurons bâti un monde à leur mesure. Mais il vous nécessitera  un avocat pour défendre votre cause: un « gens » qui parle…

En attendant la fin des faux-cils, du maquillage-promesse de vos gouvernements, prenez soin d’aller pancarter pour vous plaindre de l’air, de l’eau, des salaires, des chaussettes et des hauts. Il se pourrait que l’avenir soit le four sans auto-nettoyant qui se pointe à l’horizon.

On vous dira que l’État les forcera à produire des autos électriques.

Vous verrez que le pouvoir de l’État n’est pas Total.

Que Dieu vous prothèse!

Gaëtan Pelletier

Anticipologue

( la preuve, écrit le 3 décembre 2021)

Black Friday /Vendredi noir

Black Friday (2019) Pieter Brueghel (1562)

Image

Échange

Nourrir dans l’indignité

 

Repas 2

Photo: viande hachée et brocoli. Au menu des CHSLD: Centres d’Hébergement et de Soins de Longue Durée ( Crédit photo, Jean Bottari, facebook. )

***

La machine à leurrer tourne à 12,000 tours-minute. Un vrai moulin de F-1.

Les politiciens sont comme les Ford-T : dépassés. Dépassés par ignorance, vivant dans leurs limousines, leurs réunions, et se noyant dans une bouteille d’eau. Le minus, champion de la formule creuse, est en train de laisser les gens aller vers l’absolue pauvreté. Et l’absolue pauvreté est déjà « sur les rails » ( beau cliché !). On ne répartit plus la richesse, on répartit les emplois. Du moins ceux qui restent. Ceux qui ne sont pas enfuis à l’autre bout du monde parce qu’un travailleur coûte trop cher. Si un travailleur coûte trop cher, demandez donc à votre ficelé politicien combien coûte un ignare aveugle. Ceux qui se lamentent dans une courte carrière – nantis du cerveau ( encore une notion à considérer), mais chiches de l’âme – ont le loisir de travailler servir leur pays et leurs citoyens. Déjà qu’il manque un as  à servir, c’est mal parti.  Ce doit être un lapsus…Une chose est sûre: on crée maintenant des mendiants dans tous les pays riches du monde. À commencer par le pénible États-Unis qui aura bientôt les moyens de se payer une Présidente. On a eu un noir. On aura une blanche. On a eu un des hommes. On aura une femme.

Tout pays confondu, la nouvelle monarchie planétaire est une bande de blattes INC. On n’y changera rien. Puisque le nombre d’imitateurs en files pour devenir riches, célèbres, ou participer au progrès du monde avec une vision de pirate outillé d’un œil crevé et d’une jambe de bois. Avec Ça, le monde du travail est une usine de Ford. Une usine mobile. Le travailleur se réveille un bon matin, oups ! L’usine est fermée. Un autre se réveille, oups ! J’ai été remplacé(e) par un robot.

Savez-vous de quoi débattent nos civilisés vendeurs d’armes et de formules passagères ? Mourir dans la dignité. À voir nos vieillards bouffer des omelettes carrées, des pommes de terre floconneuses et des petits pois gros comme des billes, comme dirait l’autre : ça craint. Surtout quand on les voit ravinés  de veines, tremblotants, les articulations tordues par les os qui semblent se recroqueviller pour rentrer dans un tombeau, ça nous émeut. Bizarrement, on a les moyens de les bouffir de médicaments, mais pas de nourriture… Une seule pilule peut coûter tous les repas de la semaine. Oui, une seule ! Alors, pourquoi ne pas les nourrir convenablement et avec amour ?  C’est que maintenant, nous sommes tellement avancés dans le progrès que l’on nourrit davantage les industries pharmaceutiques en format subventions.

L’apogée du cynisme et du risible est contenu dans une vieille formule : on est ce qu’on mange. À force de vivre dans ces poisons sociaux et de déni du recul de notre qualité de vie par l’énorme outil du capitalisme mondialiste  qui échappe auxdites surveillance des États, nous sommes dans une bizarroïde matrice remplie  d’incultes élus fugaces qui se tordent les neurones et leur pseudo morale sur le mourir pendant qu’ils en font mourir une multitude.

Gaëtan Pelletier

Covidofan

C’est là que veulent aller les zaméricains. Armés, sans doute. De peur de rencontrer un martien aussi malotrus qu’eux. On ne sais pas pourquoi les américains veulent aller sur Mars puisqu’ils ne savent pas aller simplement ici, sur Terre.

Depuis le Covid, tout le monde croit que la vie n’est plus belle comme avant. Errare. Erreur. C’est qu’avant, elle pouvait être laide à souhait à travers les quelques dévergondés qui avaient tout le loisir de la chimifier, nous empoisonner, et nous faire scier à trois heures du matin. Nous étions partis pour la destruction la plus rapide possible dans un monde merveilleux d’écrans raseurs. On disait la vie belle! Elle nous faisait crever.

Le virus nous fait voir jusqu’à quel point nous vivions sur le petit nuage écumant avec des écervelés, conducteurs de précipices. On a seulement ralenti la vitesse vers laquelle nous allions frapper le mur.

Les bullés du cerveau commencent à nous parler de l’après-avant… Les oiseaux de bonheur devraient cesser leur petit chant nasilleur et menteur.

Mauvaise nouvelle: on en a pour une décennie, minium. Et il ne restera qu’un siècle de vie normale. Le reste sera une cacophonie étrange entre le grand point d’interrogation des propriétaires abuseurs et la classe dite moyenne. Peut-être que nous cesserons de dormir sur la belle balançoire de l’avoir. Alors, on finira par comprendre qu’il faut aller vers l’être. et l’être c’est la vie et la Vie. Couper les pays et refaire de petits villages gaulois. Ce sera la seule manière de survivre en une certaine quiétude à ce monde de partouze planétaire.

Je ne demande à personne de « me » croire. Soyez simplement vigilant à ce qui se passe et à ce que vous ne voyez pas ce qui se passe. Nous avons vécu longtemps sur de de l’invisible, de l’intangible, et nous voilà piégé dans le regret du monde d’avant.

Le déni est la plus grande qualité de l’humain. Et nous sommes au cœur de celui-ci. Chacun de nous est une mort à venir. Et la planète mourra ou sera une remis à neuf qui durera des millénaires. Car elle est une vie… matérielle.

Ce qui meure en ce moment est ce qui n’est pas du domaine de la nécessité. C’est le prix que nous payons pour ne pas avoir appliqué cette simple loi avant: vivre avec la mère nature.

Gaëtan Pelletier