Hausser le salaire des enseignants
Le programme de M. Legault veut faire de l’éducation la priorité absolue des années à venir. À cette fin, le groupe suggère un nouveau pacte avec les enseignants à qui il propose une hausse de salaire en échange de davantage de responsabilités pour favoriser la réussite scolaire de leurs élèves.
Le groupe de Francois Legault propose aussi que les enseignants soient évalués sur leurs résultats. Contrairement aux rumeurs qui circulaient, le document ne fait aucune mention d’une abolition éventuelle des commissions scolaires. Canoe
Aucune abolition des commissions scolaires.
Voilà un nouveau tourniquet de Beauce-Carnaval. La foire qui passe tous les étés en vendant sa barbe à papa.
Porter la responsabilité des enseignants sur toute une société en mal de vivre. Plus d’argent, plus de…
On veut réparer la paire de ciseaux en allongeant les lames, mais en oubliant le pivot qui est la charnière en ratage.
Le plan Legault, l’action (sic) Legault est encore une « luciennerie » qui ne débouchera sur rien. Le problème étant que la politique est dépassée dans son action, les citoyens étant inondés, et les politiciens devenus complètement inefficaces dans leurs recettes de calfeutrage à petites cuillères sur un Titanic, il ne reste que les grands croyants des images et des leurres.
La raison est simple : le politique a perdu tout contrôle de par les vomis des approches économiques qui, dans la mondialisation, les moyens de contrôles manipulateurs ont fait des États des sans-abris.
Le plan Legault, c’est comme mettre 250 ml de chlore dans un Océan pour le purifier.
Trop tard.
Trop peu.
Des frivolités à la soupe…
Les agenouillés
Remarquez que dans la paire de ciseaux, on ne touche pas au mécanisme. On aiguise, on aiguise en pensant que le tranchant finira par être efficace… Pendant que le rouage est foutu.
La politique a le charme du dentiste… Ça ne fera pas mal. C’est bien là l’erreur, car pour avancer dans la vie, il faut briser pour reconstruire.
M. Legault a du charisme… Tous les politiciens savent qu’il ne faut pas craindre le « programme » Legault, mais l’image Legault.
Séduisant. Articulé. Calme.
Il y a un peu de gourou dans Legault. Mais, hélas!, c’est un montage de blocs de couleurs, toutes de mêmes formes, avec pour seule action des ajouts, des retraits, des peaufinages adoucis, de l’enlevage de tartre.
De l’aiguisage à la meule aux fins grains.
Il y a si peu de saints bien couillés en politique que les agenouillés sont déjà des balbutiements en grain de chapelets pour les « preachers » à flancs blancs, comme les roues des voitures des années 50.
La crème
Les politiciens ont tellement peur qu’ils utilisent de la crème pour un genou brisé.
De la médecine douce pour des pays qui vivent le grand traumatisme de la mondialisation, des compagnies qui dévorent les politiciens à grosses bouchées et des multinationales qui rongent les terres, le dessous des terres, et qui s’envolent comme des oiseaux vers des paradis fiscaux.
Et dans un monde où on veut cultiver des Mozart, tout le monde peut jouer du piano à quatre ans.
La culture du génie.
Pour ce qui est de l’éducation, on ne tape pas trois ou quatre notes pour faire un Mozart.
L’effort.
On a tout donné avec la recette de la crème qui cache le gâteau.
La politique est un plat congelé : que vous achetez du poulet, du bœuf, de la dinde, du porc, la sauce a le même goût et les dizaines de particules qui la forment ne changent rien.
Le plat donne mal au cœur.
On a tous le mal de mère et de ses petites recette secrètes.
Le mot « écoeurement » n’est pas un mot : c’est que l’ensemble des facteurs, si infimes et invisibles soient-ils, finissent par surpasser l’authenticité et le centre cherché du plat.
Le plan Legault c’est une sauce congelée.
Achetez et mangez… Ceci est mon corps, ceci est mon sans…
Ce n’est qu’une annonce classée pour la recherche d’un Christ dans un monde qui n’a pas compris le message.
Tous à genoux, la crème est une image à douze ingrédients qui cache le gâteau.
La Dernière Scène Lego.
Pour les simplets qui creusent encore le code Da Vinci.
Le sourire de la Joconde n’a jamais été éclairci. Certains ont prétendu qu’elle était enceinte et heureuse…
Voilà Legault, la peinture qui va accoucher d’une autre peinture.