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Archives de Catégorie: Peuple VS politiciens
ImageUne maison qui chante…
Vous avez une vieille guitare? Faites-en un nid d’oiseaux. La guitare aura des chants de musique de chambre.
Cachez l’arbre… L’Homme est traître.
Il est en train de bâtir le chant des autos.
D’asphalte, de briques, de plastique.
Un jour, les oiseaux n’auront plus de maison.
Les Hommes aussi…
Dans de nombreuses traditions, Gaïa est perçue comme la mère de toutes les créatures vivantes qui se nourrissent, se reproduisent et prospèrent en son sein.
Il me semble que les innombrables créatures qu’elle héberge ne pourraient être vivantes si elle ne l’était pas elle-même. Son cœur de feu m’évoque notre propre organe cardiaque, animé d’ondes et de vibrations telluriques. Sa croûte est comme une peau protectrice et féconde. Ses fleuves, océans et nappes phréatiques s’apparentent aux flux sanguins qui irriguent l’organisme. Sa végétation est semblable à une pilosité folle et variée habitée d’innombrables êtres vivants. Et ne dit-on pas de ses grandes forêts qu’elles agissent comme un poumon qui inspire et expire ?
Mes promenades intérieures sur les sentiers de mes songes m’incitent à considérer Gaïa comme une sphère pensante. Peut-être est-ce l’absence douloureuse de ma propre mère, décédée lorsque mon frère et moi étions si jeunes, qui me prédispose à entendre les murmures de cette Terre-Mère, impérissable quant à elle, dont l’expression universelle, réconfortante, semble résonner en chacune de mes cellules.Pierre Rabhi, La tristesse de Gaïa
Publié dans ENVIRONNEMENT, GLOBALISATION, LIVRES, Mondialisation, Peuple VS politiciens, Philosophie, POLLUTION, TERRE, VIE
Covid’auto 2032 avec option auto-nettoyant
jésus aurait changé l’eau en vin. Le grand bazar terrien des blattes métalliques est en train de changer les voitures fossiles en voitures électriques. Nous serons tous branchés et il faudra semer de l’asphalte partout, encore et encore. Il n’y a pas que les arbres que l’on coupera, que l’on abattra , mais les humains également.
En 2032, l’auto pour faire face au variant Comengo, pendant la 44 ième vague, sera équipée d’un système auto nettoyant. Comme les fours domestiques actuels. En actionnant l’auto-nettoyant, la température à l’intérieur de l’auto grimpera à 500 degrés. Les portes se fermeront pour 20 minutes. Vous n’aurez aucun accès à l’intérieur de votre voiture. Certains humains, préoccupés, avalés par leur téléphone intelligent, oublieront sans doute leur bébé à l’intérieur.
Vous sortirez la jeune momie et vous pleurerez.
Mais, le gouvernement, dans son grand élan d’empathie vous remboursera pour la perte d’un « travailleur futur ». Car il faudra de la main-d’œuvre pour enrichir les capitalopiranhas qui vous aurons bâti un monde à leur mesure. Mais il vous nécessitera un avocat pour défendre votre cause: un « gens » qui parle…
En attendant la fin des faux-cils, du maquillage-promesse de vos gouvernements, prenez soin d’aller pancarter pour vous plaindre de l’air, de l’eau, des salaires, des chaussettes et des hauts. Il se pourrait que l’avenir soit le four sans auto-nettoyant qui se pointe à l’horizon.
On vous dira que l’État les forcera à produire des autos électriques.
Vous verrez que le pouvoir de l’État n’est pas Total.
Que Dieu vous prothèse!
Gaëtan Pelletier
Anticipologue
( la preuve, écrit le 3 décembre 2021)
L’odeur du sportif de la cravate
Nous vivons dans un monde dans lequel nous rencontrons souvent « personne »: nous rencontrons des feuilles de papiers, des règlements, ou bien des robots… On traite les différents humains à travers des murs de paperasse. Le sport le plus en vogue passe par « le concept ». Il faut créer dans sa « tête »… Pas question de faire du terrain. Les « concepteurs » travaillent à établir un nouveau pont, à élaborer des stratégies sur la manière d’aborder un estropié du travail, au lieu d’aller le rencontrer.
Le paperassier est un assis sur son QI, boit de l’eau Nestlé, et ne s’approche de personne, sauf de lui de temps en temps. C’est un barbare rose qui a appris l’art de « s’éloigner de proche » (sic). Il garde ses distances comme les banques gardent leur argent. Il garde ses biens avec des chiens cravatés.
La Terre est un grand restaurant à saveur du « MOI ». Plus le paperassier « travaille » à gérer le monde de par ses neurones « stéroïdés » aux concepts qui gonflent et qui gonflent, plus il raffermit sa conviction au point d’en être le porte-bât aux yeux bandés. Il se se voit que de l’intérieur dans son petit miroir trafiqué , caviardant les autres. Il est le texte et les autres les maux…
Pendant ce temps, sur le terrain de la vie, notre esclave suinte pour ces nouveaux dieux échevelés du progrès. Le progrès à détérioration continue. Comme une lente aseptisation de tout ce qui vit au profit de tout ce qui s’encoffre. Au profit de ce qui ne dure pas… Et, pour cette raison, il créera les formules creuses qui se perpétueront à travers la lignée suivante.
Le paperassier est une sorte de papier humide qui absorbe les concepts et les lois des diktats de l’État. C’est une gaufre perdue dans une boîte de gaufres congelées. À travers ces cristaux de glace, de la culture de la distance, il finit par agrandir la prison de l’esclave au point de le rendre aveugle: il sait reculer tous les murs et accusera l’œil du citoyen d’être affaibli. Ou de n’être pas suffisamment intelligent pour absorber le génial cryptage du moi-vapeur. Notre abuseur public, employé d’État ou de INC invisibilus s’adonne au sport le plus répandu et tout aussi nocif que les produits de Monsanto: le conformisme, cette religion laïque issue de la robotisation humaine.
Pour ce charlatant Aqua-Velva, au menton lustré, l’esclave est responsable de la désintégration du monde, des sociétés, de la disparition du tigre de Sibérie, des grillons du Québec, bref, de tout. Il vous enverra tailler les feuilles d’un arbre pour sauver l’arbre. Car, pas question d’abattre la racine dont il fait partie. Si l’arbre meurt, vous serez l’incompétent. Et avec le bassin de chômeurs apeurés, il trouvera bien un autre esclave vidé, prêt à courir le cent maîtres…
Ses émotions restent à la maison. C’est un tendre aux valeurs « familiales »… C’est un animalcule, une larve de société. Il a l’ambition de LUI, et il sort de sa bouche une sorte de putrescence centenaire, toute malodorante de stagnation. C’est son progrès, pas le nôtre. Un étang ne coule pas…
Il ne coule que de l’encre et l’encre devrait gérer le monde.
Gaëtan Pelletier
Chanson pour le trio, Trump Macron Trudeau
Non certe’, elle n’est pas bâtie
Non certe’, elle n’est pas bâtie
Sur du sable, sa dynastie
Sur du sable, sa dynastie
Non certe’, elle n’est pas bâtie
Sur du sable, sa dynastie
Sur du sable, sa dynastie
Il y a peu de chances qu’on
Détrône le roi des cons
Détrône le roi des cons
Il peut dormir, ce souverain
Il peut dormir, ce souverain
Il peut dormir, ce souverain
Sur ses deux oreilles, serein
Sur ses deux oreilles, serein
Sur ses deux oreilles, serein
Il y a peu de chances qu’on
Détrône le roi des cons
Détrône le roi des cons
Je, tu, il, elle, nous, vous, ils
Je, tu, il, elle, nous, vous, ils
Tout le monde le suit, docil’
Tout le monde le suit, docil’
Je, tu, il, elle, nous, vous, ils
Tout le monde le suit, docil’
Tout le monde le suit, docil’
Il y a peu de chances qu’on
Détrône le roi des cons
Détrône le roi des cons
Il est possible, au demeurant
Il est possible, au demeurant
Qu’on déloge le shah d’Iran
Qu’on déloge le shah d’Iran
Il est possible, au demeurant
Qu’on déloge le shah d’Iran
Qu’on déloge le shah d’Iran
Mais il y a peu de chances qu’on
Détrône le roi des cons
Détrône le roi des cons
Qu’un jour on dise: »C’est fini »
Qu’un jour on dise: »C’est fini »
Au petit roi de Jordani’
Au petit roi de Jordani’
Qu’un jour on dise: »C’est fini »
Au petit roi de Jordani’
Au petit roi de Jordani’
Mais il y a peu de chances qu’on
Détrône le roi des cons
Détrône le roi des cons
Qu’en Abyssinie on récus’
Qu’en Abyssinie on récus’
Le roi des rois, le bon Négus
Le roi des rois, le bon Négus
Qu’en Abyssinie on récus’
Le roi des rois, le bon Négus
Le roi des rois, le bon Négus
Mais il y a peu de chances qu’on
Détrône le roi des cons
Détrône le roi des cons
Que, sur un air de fandango
Que, sur un air de fandango
On congédi’ le vieux Franco
On congédi’ le vieux Franco
Que, sur un air de fandango
On congédi’ le vieux Franco
On congédi’ le vieux Franco
Mais il y a peu de chances qu’on
Détrône le roi des cons
Détrône le roi des cons
Que la couronne d’Angleterre
Que la couronne d’Angleterre
Ce soir, demain, roule par terre
Ce soir, demain, roule par terre
Que la couronne d’Angleterre
Ce soir, demain, roule par terre
Ce soir, demain, roule par terre
Mais il y a peu de chances qu’on
Détrône le roi des cons
Détrône le roi des cons
Que, ça c’est vu dans le passé
Que, ça c’est vu dans le passe
Marianne soit renversé’
Marianne soit renversé’
Que, ça c’est vu dans le passe
Marianne soit renversé’
Marianne soit renversé’
Mais il y a peu de chances qu’on
Détrône le roi des cons
Détrône le roi des cons
Georges Charles Brassens
Publié dans CHANSONS, Peuple VS politiciens, POLITIQUE
L’art de la délogique
Le 21 ième siècle est l’art de la délogique et du mensonge: On vous dira que c’est l’Océan ( les banques et les énormes entreprises) qui nourrissent les rivières ( les travailleurs, les citoyens, les « petits »). Comme si les rivières et les fleuves avalaient l’eau des lacs. Que les océans remontaient vers les fleuves. Et que l’argent, finalement, façonne les humains…
Gaëtan Pelletier, Entrepreneur en reconstruction de la réalité
Publié dans CAPITALISME, Mondialisation, Peuple VS politiciens
Tagué Gaëtan Pelletier, Philosophie, société
Les pauvres chassés à la courre
Image: Wikipedia
***
En 2007, le gouvernement travailliste a adopté une loi prévoyant des sanctions contre les personnes handicapées et en longue maladie, considérant que beaucoup n’étaient pas vraiment en incapacité de travailler », rappelle Anita Bellows. Bastamag
Qui ne se souvient pas des élégantes scènes de la chasse à la courre de la noblesse anglaise ou française? Ah! À cors et à jappements de chiens emballés d’aller fouiner les bois pour un lapin, un porc ou autre animal afin de dissiper l’ennui de la gente fortunée. Les états modernes ont toute une panoplie de chasseurs pour ressource pour « éteindre » cette race d’avortons. On se croirait au moyen-âge avec une nouvelle aristocratie munie de chiens-kapos pour exterminer les pauvres. On entendra dire que le gouvernement lutte contre la pauvreté en même temps qu’il veut se débarrasser des « non productifs » qui, de fait, sont incapables de participer à l’engrangement des capitaux énormes des transnationales qui râpent les biens de États.
Et les riches?
Ce n’est là qu’une partie de cette sinistre et dégoûtante déshumanisation dévoilée dans La violence des riches. Les riches ont leur paradis fiscaux mais les pauvres ont leur enfer quotidien de la misère.
« La fraude à la Sécurité sociale, c’est la plus terrible et la plus insidieuse des trahisons de l’esprit de 1945. C’est la faute qui ruine les fondements mêmes de la République sociale. » Nicolas Sarkozy, 2011
Avec les sommes énormes des riches et de la multitude des paradis fiscaux, la trahison est du côté d’un ensemble d’individus sans morale et sans cœur… et sans pays. Même certains dirigeants n’en ont pas… Au Canada, d’anciens dirigeants se sont enrichis en investissant dans le marché de la marijuana devenue légale. Le Cannabis – ou Canadabis (sic) a désormais des investisseurs de renom issues de la classe politique. L’actualité.
Le parfum du totalitarisme
C’est un acte de harcèlement, avec une légère odeur de totalitarisme qui rappelle la cruauté de la chasse aux juifs par les nazis. Comme si le pauvre était d’une race inférieure à « abattre », alors qu’il n’est que victime d’un système patenté, dépouilleurs de richesses collectives. Il faut maintenant chapeler le pauvre jusqu’à l’os sous prétexte ( ou accusation infondée) qu’il est coupable de sa pauvreté. Il faut l’accuser, le harceler, le ramener au travail pour réduire les chiffres, les manipuler concernant le chômage.
Pour ce faire, la classe dirigeante est équipée d’une armée de fonctionnaires-kapos au service de l’État. « Je n’ai fait qu’obéir aux ordres ». Beau leitmotiv pour une société inconsciente et, surtout, malhonnête dans sa mission de « servir » ses citoyens.
Gaëtan Pelletier
Publié dans Peuple VS politiciens, SOCIÉTÉ, TOTALITARISME
Tagué chasse, chômeurs, Peuple VS politiciens, SOCIÉTÉ, Totalitarisme
Le cartel de la marijuana au Canada
Publié dans Canada, CAPITALISME, Peuple VS politiciens, SOCIÉTÉ
Tagué business, cannabis, Parti Libéral du Canada
L’homme laxativé
« Sans les masses, le chef n’existe pas » Hanna Arendt
***
La purge
« Les robots ne font pas de dépression… »
La globalisation est en train de purger les travailleurs par délocalisation et robotisation. On ne sait plus quelle place peut avoir l’humain dans ce chavirement du monde du travail. En gros, c’est la production pour le produit le moins cher possible. Alors, notre travailleurs est de trop dans l’énorme engrenage de la globalisation: on dirait des Charlie Chaplin dans Les temps modernes , , agrippés à une chaîne de montage, les yeux agrandis de peur de perdre leur boulot. Et cette peur paralyse… Et nous voilà des paralysés devant l’énorme pouvoir invisible issue d’une lignée tricotée des banques et des affairistes libres de circulation. Les salaires rapetissent comme les miches de pain de 50 grammes par jour dans les camps de concentration.
À la recherche du bonheur perdu
« T’as de beaux gueux, tu sais… «
Longtemps, je me suis levé de bonne heure… Pour aller rejoindre les usines prometteuses qui nous sortiraient de la misère des petits champs à défricher. Maintenant, le bonheur est ce qu’il vous reste après le passage des violeurs mondialistes. C’est-à-dire, à peu près rien. Il ne peut y avoir de liberté dans un peuple à l’état de survie. Et pourtant, on vous dira que les temps sont durs, et qu’il est impossible de faire autrement. Mais, il y a des médicaments pour les anxieux, un peu d’argent pour les démunis – ce qui sauve la face- , et, ma foi, des jobs dans les services. Au Canada, et sans doute ailleurs, on s’appauvrit maintenant en travaillant.
Le totalitarisme « élégant » des gants blancs…
Mais les peuples marchent au pas de lois. Et, comme disait, l’auteur québécois, Richard Desjardins: « On ne peut pas être hors-la-loi quand on est la loi ».
On ne purge plus comme au temps de Staline ou d’Hitler. On purge en décapitant des têtes qui ne sont plus dignes de vivre dans « leur monde ». Car le nôtre, maintenant, leur appartient. Par chance qu’on a des dettes pour se maquiller le rôle social!
C’est cela un esclave: il fait marcher le bateau, mais il n’est pas propriétaire du bateau . En plus, il n’a pas le droit de savoir où se dirige ce grand navire. Ceux qui ne rament pas sont jetés à l’amer. Au moins, les gueux sont mieux habillés… Il reste qu’ils sont en mode survie.
Quand un peuple doit lutter contre son « propre » gouvernement, c’est qu’il est lessivé sans qu’il ne s’en rende vraiment compte. Le « chef », c’est comme une pub pour les compagnies transnationales. Une pub emballée…
Le beau cadeau!
Gaëtan Pelletier
Qu’aurons-nous fait?
La question n’est pas de savoir ce que nous aurions pu faire. La question est de savoir ce que nous pouvons être, seulement être pour arriver à « faire vraiment ». Le monde actuel se « fabrique » par la notion de ce que l’on peut faire… Alors, c’est une ère de robots. Puisque maintenant tout est pointé vers ce que nous devons fournir en terme de « travail », et non en terme d’être, nous assistons à la disparition des êtres par ceux que n’ont jamais su être mais ont cru que le « savoir faire » valait mieux que le savoir être.
La belle bâtisse de notre être est désormais vendue à une machine à faire.
Nous ne pouvons abouter l’être et le faire que dans les petites communautés. Sur le plan planétaire, dans la discorde et le tressage invisible des êtres au profit d’un « un-numéro », nous somme désormais à la construction d’un espace aussi invisible et inutile que le virtuel. Nous sommes l’octet virtuel d’une mondialisation en train de fabriquer des agités sociaux-économiques. Que ça! Des agités! Sorte de combattant sans but réel, n’ayant que des ennemis invisibles…
Nous nous sommes détruits en laissant aux spécialistes du « faire » notre destin. Ladite compétence des structures éducationnelles est désormais orientée vers ce but ultime et mécanique de faire, de fabriquer, de travailler, de payer, de trahir, et d’accepter un modèle inconscient d’agir.
On ne peut pas « être » dans cet univers mécanique et lambrissé de papiers, distants les uns les autres.
Le seul et unique message du monde, des sociétés, est désormais de perpétrer dans une inconscience engloutissante toute possibilité de réflexion, de rapprochement, et d’une indignité répandue semblable à une Shoah planétaire.
D’un meurtre global…
Gaëtan Pelletier