Archives de Catégorie: VACCINS

Vaccination aux USA: les opinions dérapent

Un journaliste de « USA Today » demande l’arrestation et l’emprisonnement des sceptiques

Medical-Obedience-1.jpg

« Quand l’industrie du vaccin ne parvient plus à obtenir la soumission par la propagande et la censure, elle se tourne inévitablement vers la coercition, les menaces et la violence. Les sceptiques (par rapport aux vaccins) devront être réduits au silence sous la menace des armes, car la meilleure façon d’avoir le dernier mot est de mettre en prison ceux qui ont des raisons de ne pas être d’accord. Bienvenue à la montée d’une véritable tyrannie médicale en Amérique ». – Mike ADAMS

(Natural News) Nous découvrons enfin le véritable programme de l’industrie du vaccin. Après qu’il ait, à de nombreuses reprises, été documenté par le laboratoire de Natural News que les vaccins contenaient des produits chimiques neurotoxiques comme le mercure, le formaldéhyde et le glutamate monodique (MSG), après qu’il ait été régulièrement montré que les vaccins tuaient des personnes qui se faisaient vacciner ; après qu’il ait été clairement démontré que les vaccins contre la grippe ne reposaient sur aucune science digne de ce nom ; après que les fabricants de vaccins aient ouvertement admis qu’aucun essai clinique n’avait pu démontrer qu’ils marchaient vraiment– les promoteurs enragés des vaccins révèlent la phase finale de leur jeu : jeter les objecteurs en prison.

C’est là le sens de l’appel lancé par le journaliste, Alex Berezow de « USA Today » : « Les parents qui ne font pas vacciner leurs enfants doivent aller en prison », écrit-il dans l’article de USA Today

Et pour être vraiment très clair, ce que Berezow veut dire c’est que les parents qui ne vaccinent pas leurs enfants, quelle que soit la toxicité du vaccin, devraient être jetés en prison. On ne parle d’aucune exemption qui pourrait être discutée ou recommandée qui permettrait aux parents de s’abstenir de vacciner leurs enfants en raison des produits chimiques neurotoxiques qu’ils contiennent (comme le mercure, un métal lourd que l’on retrouve encore dans des vaccins contre la grippe administrés aux enfants en Amérique). Il n’y a non plus aucune discussion sur le fait que des parents informés pourraient s’opposer aux vaccins en raison de la récente confession d’un lanceur d’alerte, haut responsable du CDC qui a révélé comment le CDC a commis une fraude scientifique en dissimulant les preuves scientifiques établissant un lien entre les vaccins et l’autisme.

Mais si nous réfléchissons à la proposition d’emprisonnement proposée avec insistance par « USA Today », il nous faut nous poser la question suivante : que devrait-il se produire après que les parents aient été jetés en prison ? Eh bien évidemment, c’est l’Etat qui va prendre la garde des enfants du fait qu’ils sont désormais qualifiés d’orphelins.

Donc, le fait de suggérer que les parents qui cherchent à protéger leurs enfants des ingrédients toxiques des vaccins soient jetés en prison est en même temps une sorte d’appel du pied à l’Etat pour qu’il prenne la garde de tous les enfants qui n’ont pas reçu les vaccins toxiques de Big Pharma.

Suite sur Cent Papiers

Adriana KOLBECHER, victime du Gardasil?

adriana.jpg

Notre fille Adriana KOLBECHER est décédée le 20 octobre 2010, elle n’avait que 17 ans et 5 mois.

La multitude d’examens, de recherches en tous genres ne décèlera rien. Un rapport de l’hôpital Rangueil de Toulouse suite à un prélèvement post-mortem conclura un an plus tard à une méningo-encéphalite auto-immune.

Anéantis par la douleur et l’incompréhension nous avons dû accepter ce verdict sans pouvoir obtenir plus d’explications sur les causes réelles de son décès.

C’est à la même époque en octobre 2011 que nous avons découvert par hasard sur une revue un article rapportant les effets indésirables du vaccin GARDASIL. Par la suite en consultant internet de nombreux témoignages accablants nous en apportaient la confirmation. Ce fut un choc pour nous car certains effets décrits étaient similaires à ceux qu’avait ressentis ADRIANA depuis sa vaccination au GARDASIL (24.10.2008).

En effet à cette période divers maux sont apparus : maux de tête, de ventre… rien de vraiment alarmant pour une adolescente, mais ceux-ci sont devenus progressivement beaucoup plus marquants après la deuxième injection (19 /12/2008) : anxiété, bouffées de chaleur, fourmillements dans les jambes, douleurs musculaires, difficulté à marcher…, jusqu’à une importante syncope le 18/04/2009. Après la troisième injection (24/04/2009) les effets indésirables se sont poursuivis par intermittence et d’autres sont apparus : grande fatigue, évanouissements, sauts d’humeur, perte d’appétit…

L’état de santé d’Adriana s’est ensuite brusquement aggravé fin juillet 2010 : amaigrissement, perte de repères, trous de mémoire, troubles du comportement… Hospitalisée début août 2010 dans trois hôpitaux successifs, Adriana a été mise en coma artificiel et n’a pu être réveillée en proie à des convulsions irréversibles.

Nous avons répondu aux nombreuses questions des médecins désorientés mais la piste du GARDASIL n’a jamais été abordée, on ignore d’ailleurs si des recherches ont été faites dans ce sens.

Les causes et les facteurs qui ont déclenché cette maladie auto-immune demeurent à ce jour sans réponse. Bien évidemment la médecine ne fait pas le lien avec le GARDASIL invoquant un délai trop long entre la vaccination et le début des symptômes graves. Pour nous il n’y a pas de doute et jusqu’à preuve du contraire ce vaccin est bien à l’origine du décès d’ADRIANA. Avant cette vaccination notre fille était en bonne santé elle n’avait pas d’antécédent médical.

ADRIANA était active, rieuse, enjouée avec beaucoup de projets, elle voulait mordre la vie à pleine dents,  le destin ou plutôt un vaccin en a décidé autrement.

***************************************************

Le Gardasil : un vaccin controversé

 

Pour de nombreux témoignages, consultez le site:

http://www.lesfillesetlegardasil.com/pages/temoignages-des-filles-htlm.html

Alexis, 2 ans: encéphalopathie épileptogène après 4 vaccins faits le même jour

Que donne l’aveuglement idéologique de professionnels de santé ayant perdu leur bon sens?

Que donnent le ROR + le Prevenar + le Varivax (varicelle) + encore le Meningitec faits le même jour sur un enfant de 1 an? Une encéphalopathie épileptogène etune vie foutue à jamais!

 

Piqué avec 4 vaccins le même jour, un dans chaque bras et un dans chaque jambe, voilà Alexis à l’âge de 2 ans, voilà toute cette souffrance inutile….

Alexis--apres-4-vaccins-le-meme-jour-

Image tirée du documentaire Silence on vaccine de la réalisatrice Lina Moreco

Mais selon des gens considérés comme experts mondiaux en vaccins, comme le Dr Paul Offit, un enfant pourrait recevoir sans problème jusqu’à 10 000 vaccins par jour!!

Au vu des résultats possibles avec « seulement » 4 vaccins par jour, ce qui est déjà énorme, la place de pareils experts n’est-elle pas, en prison, dans le meilleur intérêts de nos enfants??

Ce carnage vaccinal ne doit-il pas cesser au plus vite, là encore dans le meilleur intérêt de nos enfants??

Tout parent respectueux de son enfant ne se doit-il pas de savoir et de connaître ces choses-là avant de prendre une décision dont les résultats désastreux pourraient devoir être assumés toute leur vie par ces enfants au nom desquels ils décident? Car les parents du petit Alexis pensaient sûrement que cela ne pouvait pas arriver ou que « cela n’arriverait qu’aux autres ».

 Initiative Citoyenne 

LES ANIMAUX SURDOUÉS

CouvAnimauxSurdoues-e9297

$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$

Cette semaine, à la télé, on a présenté un chien qui sait lire. On lui montrait un carton : SIT. Il s’asseyait. On lui montrait un autre carton : BARK. Il jappait.

Bon! Tout ça, c’est de l’entraînement. Répéter! Répéter! Répéter! Ce n’est pas nécessairement de «l’intelligence», c’est un réflexe appris. Suffit de taper sur le dos du chien pendant 100 fois, de lui donner un biscuit et, bien sûr, la carte. Si vous lui présentez le mot : VACCINE ( Bon! Tout est américain, ricain), il vous faudra de bon biscuits pour le convaincre, surtout si vous le piquez vraiment. Et s’il se met à vomir, vous risqueZ de ne pas aller à « USA Got Talent» … Genre!…

Faites une recherche : des chiens savent lire, d’autres savent peindre, certains ne peuvent pas rester seuls, plusieurs savent compter, etc. Allez sur Rue 89… J’apprends à lire avec mon chien

J’ai vu une femme coupé en deux dans un numéro de magie. La question que je me pose est pourquoi on coupe toujours des femmes en deux? Pourquoi pas des hommes? Ils ne sont pas coupables?

La brouette des surdoués

Ce midi, au journal télévisé, que je regarde religieusement, à genoux, en mangeant, nous avons eu droit à un essaim de docteurs venus nous sonner les oreilles.

«Faites-vous vacciner, vous mettez en danger vos enfants, vos proches».

Vous savez que le premier critère en médecine est … être surdoué. De grosses notes, de beaux travaux, bref, un Q.I. juste en haut du nombril de celui de Leonardo Da Vinci. Comme le code crétin…

Le problème avec les gros Q.I. c’est que parfois ils sont comme les brouettes à une roue : fort sur la vitesse, mais pas de bac pour ramasser et aller jeter. Pourvu qu’on roule. Et on roule!

Comme des Stradivarius! Le vibrato dans la voix, l’œil dans la colère, et le reste dans le ministère. J’étais ému…

Sur les billets américains, c’est écrit : «In God We Trust». Dans la bible que j’ai volée à l’école et que je remettrai juste avant de mourir, Jésus a jeté  hors du temple les marchants. Si Jésus était en Irak, en Afghanistan, ou ailleurs?

J’ignore comment on a fait pour réunir et faire  un 3 minutes de Titanic avec ces gens, mais c’était éprouvant.

J’avais l’impression de retourner en enfance pour me faire dire : «Fini ton assiette, sinon tu ne deviendras jamais grand.»

Tous les nains du monde on fini  leur assiette.

Même qu’à certains moments, pour les faire grandir, on a rempli des brouettes d’aliments.

Tous les nains du monde sont restés petits.

Ça fait cent ans minimum qu’on vaccine : finissez votre assiette!

Comme l’économie,  la médecine vient de crasher…

A/H1N1: DOCTEURE TERESA FORCADES

TERESA FORCADES

 

UNE BENEDICTINE SUR LE H1N1 (ru, 7.11.2009). Soeur Teresa Forcades i Vila OSB, Bénédictine au célèbre monastère de Montserrat près de Madrid, docteur en médecine, parle de la grippe A (H1N1) dans une interview où elle lance un appel pour une approche sereine de la maladie en insistant sur le droit des citoyens de refuser de se faire vacciner contre celle-ci.
Voici une transcription du texte, selon El Periódico de Catalunya du 7 oct. 2009 :
»Que fait une religieuse qui parle sur l’Internet des dangers du vaccin de la grippe A ? –
Notre règlement impose cinq heures de prière et six heures de travail. Ora et labora.
Je consacre une partie de mes heures de travail à la recherche médicale. Je suis docteur en médecine et j’ai publié en 2006 un essai, ‘Crimes and Abuses of the Pharmaceutical Industry.’
Quand avez-vous décidé qu’il vous fallait parler de la grippe A ? – En mai de cette année on m’a demandé de faire une conférence sur le vaccin du papillomavirus et j’ai été très frappée par l’absence de références scientifiques dans les recommandations officielles. Quelques jours plus tard, j’ai parlé sur TV-3 de ce vaccin et depuis j’ai des demandes pour m’exprimer sur le vaccin de la grippe A.
L’Organisation Mondiale de la Santé n’est pas digne de confiance ? – Je ne comprends pas les motifs qui ont conduit l’OMS à agir d’une façon aussi absurde.
Absurde ? – Oui. En mai dernier, l’OMS a changé la définition officielle d’une pandémie – elle est passée d’un définition logique (une pandémie est une contagion à l’échelle mondiale avec un taux de mortalité élevé) à une définition illogique (une pandémie est une contagion à l’échelle mondiale).
Quelles sont les conséquences de ce changement ? – Sous cette nouvelle définition de la « pandémie », la grippe annuelle (saisonnière) correspond largement à ces conditions. Allons-nous lancer une alerte sanitaire mondiale à chaque retour de l’automne ? En plus de cette absurdité d’un point de vue scientifique, cela implique de graves conséquences financières et politiques.
Vous ne faites pas confiance à ce vaccin. Pourquoi ? – Ce vaccin contient des adjuvants si puissants qu’ils peuvent amener la réponse immunitaire normale à s’accroître d’un facteur 10. De plus, deux doses sont recommandées, à prendre après l’injection contre la grippe saisonnière qui elle aussi contient des adjuvants, certes moins puissants. Jamais ces substances n’ont été auparavant injectées trois fois de suite dans la population, en commençant par les enfants, les malades chroniques et les femmes enceintes.
Quels effets peuvent en résulter ? – La stimulation artificielle du système immunitaire peut provoquer des maladies auto-immunes.
C’est-à-dire ? – La même conception de deux des vaccins qui ont déjà été approuvés en Europe (Pandemrix et Focetra) indique que l’on peut s’attendre que pour chaque million de personnes vaccinées, 99 feront l’expérience d’une paralysie évolutive connue sous le nom de syndrome de Guillain-Barré.
Si cela se produit, les compagnies pharmaceutiques seront poursuivies… – Mais aux U.S.A un décret déjà approuvé exempte les politiciens et les compagnies de toute poursuite.
Suggérez-vous que l’action des cartels pharmaceutiques est irresponsable ? – Ils n’ont œuvré que pour leurs intérêts.
Quelqu’un peut-il être forcé de se vacciner ? – En 2007 l’OMS a pris un arrêté qui établit l’exception. Dans tous les cas l’OMS ne donne que des recommandations, sauf dans un seul cas où elle peut alors donner des ordres qui outrepassent la souveraineté des pays membres.
Dans le cas d’une pandémie ? – Exactement. En 2007, l’OMS a pris un arrêté qui en cas de pandémie lui donne légalement la possibilité de contraindre les pays membres de vacciner entièrement ou en partie leur population. Les gouvernements de ces pays seraient obligés alors d’imposer des amendes ou autres pénalités aux individus qui refuseraient de se faire vacciner.
Croyez-vous aux conspirations? – Je pense qu’il y a des intérêts en jeu qui ne sont pas bons pour la population. Comment peut-on justifier l’argent investi dans l’achat des vaccins de la grippe A quand celle-ci est moins virulente que la grippe saisonnière ? Dépenser autant d’argent pour des vaccins et d’autres mesures préventives sans références scientifiques suffisantes est un scandale et nous devrions réclamer des comptes.
Que pensent vos consoeurs religieuses de votre site et de vos déclarations? – Une sœur âgée de près de 90 ans a formulé une objection, disant que la grippe A était un sujet très grave et que je ne pouvais pas me prononcer contre le vaccin sans avoir de très solides arguments.
Et alors? – Je lui ai passé mon rapport. Après l’avoir lu, elle s’est approchée de moi après les Vêpres et m’a juste dit : « Compris ».
Avez-vous peur? – Parfois.
Priez-vous beaucoup? – Autant que je peux. »
Voir aussi le nouveau site de Sœur Teresa OSB http://www.catalunyareligio.cat, avec une vidéo remarquable du 23.9.2009 concernant tous les aspects de cette soi-dite ‘pandémie’, médicaux et politiques (en espagnol, sous-titré en anglais). Cette Bénédictine n’a pas froid aux yeux.

http://www.leforumcatholique.org/message.php?num=515748

A (H1N1), SOEUR TERESA FORCADES

Des questions sans réponses

Dans ce document, qui est la traduction anglaise d’une réflexion rationnelle et objective basée que sur des faits vérifiables de la Docteure  Teresa Forcades i Vila, vous trouverez ce qui constitue selon moi les questions auxquelles la Société Radio-Canada aurait avantage à ne pas ignorer afin de faire cesser « les théories de conspiration », selon leur définition.

Docteure  Teresa Forcades explique que la grippe A n’est pas nouvelle, qu’il existe trois types de virus, le A, B, C.  Le virus C, qui infecte peu de personnes,  n’est pas utilisé dans les vaccins.  Chaque année,  les vaccins comportent un mélange de virus de type A et B.  Donc cette grippe A H1N1 n’est pas nouvelle puisque le type A est déjà connu. Ce virus a déjà existé au début du siècle passé de 1918 à 1957 environ. Vers 1957, le virus disparaît puis réapparaît de nouveau en 1977 re-synthétisé par un laboratoire a partir du corps d’une femme Inuit morte de la grippe « espagnole » au début du siècle dernier.

Toute cette information se retrouve dans The New England Journal of Medecine.  Depuis 1977, le virus A H1N1 fait partie des virus de chaque année. Ce qui est nouveau dans cette grippe, c’est la souche S-OIV qui a été découverte le 17 avril 2009 sur 2 cas en Californie.

Bernard Debré, du comité National d’éthique en France et le Président de toutes les organisations de médecins espagnols, Rodriguez Sandrin, affirment qu’avec les données actuelles, ce nouveau virus a un taux de mortalité inférieur a celui de la grippe saisonnière . Voilà pour l’explication vulgarisée de ce qu’est ce nouveau virus.

Il y aurait deux irrégularités pour lesquelles il faut s’interroger . La première est la présence du virus vivant H5N1 dans les 72kg de vaccins de grippe saisonnière livrés par Baxter dans quatre pays en Europe, soit 16 laboratoires différents. Pour elle, il est évident que ce mélange de virus vivant dans le vaccin de Baxter n’est pas une erreur de manipulation.  Baxter a reconnu le problème officiellement, mais sans plus.  Elle dit aussi qu’elle ne se fera pas vacciner par un vaccin de la firme Baxter pour le manque de sûreté. La deuxième irrégularité est a propos de l’alerte à la pandémie décrétée par Margaret Chan de l’OMS, alerte mondiale déclarée 15 jours seulement après les premiers cas de grippes en Californie et du  passage au niveau 5 sans raison apparente.

Comment ont-ils pu déclarer un mois et demi plus tard le niveau 6 de la pandémie ? Pourquoi ont-ils déclaré une telle pandémie avec un virus aussi peu mortel? S’ils l’ont fait pour celui-ci,  alors chaque année il y aurait pandémie avec la simple grippe saisonnière qui est plus dangereuse que la grippe A H1N1. La raison est qu’au mois de mai 2009,  l’OMS a changé la définition d’une pandémie. Au lieu de l’ancienne version qui définissait une pandémie comme une maladie qui infecte une grande partie de la population avec un taux de mortalité importante, ils ont supprimé le risque de mortalité et laissé le début de la définition, c’est-à-dire un agent infectieux nouveau qui affecte une grande partie de la population dans divers endroits du monde, avec des doutes sur l’immunité des personnes affectées.

Avec cette nouvelle définition et l’élimination du risque de mortalité, qu’est ce qui empêche que chaque année il y ait une nouvelle pandémie de grippe, par exemple ? Avec cette nouvelle définition, rien ne l’empêche. Tout cela peut être vérifié par tout un chacun en allant voir sur le site  l’OMS. Je voudrais rajouter que tout ce dont elle parle, ne vient pas des médias alternatifs, mais bien de la presse « main stream » ou encore de revues scientifiques officielles.

Ce que je viens de vous présenter n’est qu’un bref aperçu. Je vous suggère fortement de lire le document en anglais pour celles et ceux qui maîtrise la langue de Shakespeare, mais aussi à visionner la vidéo (qui se trouve ici) dans laquelle la docteure Teresa Forcades présente son analyse en espagnol, vidéo contenant un sous-titrage en anglais.

Dimanche le 8 novembre 2009, l’émission Découverte, à Radio-Canada, prétend faire le tour de la question concernant le virus A H1N1.  Je vous invite donc à regarder cette émission et à juger par vous-même de l’objectivité de Radio-Canada.

Sylvain Racine

Canoe – Infos – Quelques questions à propos de la grippe A (H1N1)

Canoe – Infos – Quelques questions à propos de la grippe A (H1N1).

H1N1: un climat éthique inquiétant

Daniel Weinstock, Directeur du Centre de recherche en éthique de l’Université de Montréal

 

Édition du mercredi 04 novembre 2009 lE Devoir

Mots clés : Grippe A(H1N1), santé, Éthique, Canada (Pays)

Les gestes et messages émanant des autorités de la santé concernant la campagne de vaccination contre la grippe H1N1 ont de quoi semer la confusion et soulever des questionnements légitimes dans la population.

// On nous dit d’une part qu’il est essentiel de se faire vacciner, car cette grippe peut être mortelle. Mais pour les individus qui ne correspondent pas à une catégorie de risque identifiée, il faudra attendre la semaine du 7 décembre à Montréal. Or, selon certains spécialistes, il se pourrait que l’utilité de recevoir la vaccination à la deuxième semaine de décembre, sachant que l’immunité met du temps à se développer après l’administration du vaccin, soit limitée, le virus étant déjà sur notre territoire au moment où j’écris ces lignes.

Jeunes à risques?

On nous dit par ailleurs que ce qu’il y a de particulier à propos de ce virus, c’est que contrairement à la grippe saisonnière, il attaque des personnes jeunes et en santé plutôt que les personnes habituellement à risque. Or, ce sont justement ces jeunes personnes en santé qui devront attendre le plus longtemps avant de recevoir le vaccin.

Mais les jeunes personnes sont-elles vraiment le plus à risque? C’est ce que rapportait avec véhémence le docteur Gaétan Barrette lors de son intervention à l’émission de Christiane Charrette la semaine dernière. Or, le document officiel du gouvernement du Québec identifie les catégories de personnes à risque comme étant les catégories «habituelles», soit les très jeunes enfants, les personnes très âgées, immunosupprimées, atteintes de maladies chroniques, etc.

Bref, il y a une certaine confusion. Et cette confusion, il faut le reconnaître, ne vient pas, comme certains officiels de notre système de santé voudraient le faire croire, de l’«extérieur» du système de santé, de cow-boys de l’opinion qui se servent d’Internet et des autres possibilités médiatiques qui leur sont offertes pour dire n’importe quoi. Elle provient de l’intérieur, de ces messages et gestes en apparence contradictoires émanant de l’intérieur du système lui-même.

Climat éthique

Il ne s’agit pas ici de condamner les officiels de notre système de santé pour cette confusion. Ils sont en situation de crise appréhendée et font du mieux qu’ils peuvent avec des ressources limitées, des pressions de temps, et des données dont il semble encore possible de tirer des conclusions contradictoires quant aux groupes le plus à risque. Je respecte et admire le dévouement et la ténacité avec lesquels ils tentent de protéger la population.

Je m’inquiète cependant du climat éthique et intellectuel que de nombreux porte-parole du système de santé québécois installent au sein de cette même population. Il est clair que devant les nombreux messages contradictoires qu’il reçoit, le citoyen ordinaire se doit d’être vigilant et critique pour pouvoir s’y retrouver. Et de manière générale, cela a toujours été un truisme de la santé publique de penser que nous ne sommes jamais mieux armés contre des problèmes de santé sociétaux que par une population informée et lucide.

C’est par ailleurs une règle d’or de l’éthique biomédicale de penser qu’il en va de la responsabilité du corps médical d’aider la population à s’informer, même lorsque l’information qu’elle reçoit est incertaine, fragmentaire et ambivalente. L’éthique médicale exige que l’on traite les gens comme des adultes plutôt que comme des enfants. C’est la raison pour laquelle on exige des médecins qu’ils exposent le pour et le contre de différentes options thérapeutiques, plutôt que de tenter d’imposer leur point de vue par la peur ou l’intimidation.

Des énormités

Les stratégies argumentatives de certains porte-parole du système de santé québécois ne respectent à l’évidence pas toujours cette exigence dans la présente campagne de vaccination. Ceux qui remettent en question l’utilité d’une campagne de vaccination en utilisant des arguments qui à première vue méritent d’être discutés se font dire qu’ils seront responsables de morts si leurs propos devaient venir à convaincre quiconque de ne pas se faire vacciner. Il s’agit là d’une énormité qu’il convient de signaler.

On démonise ceux qui posent des questions. On préfère les assimiler faussement aux charlatans qui opposent tout vaccin en toute circonstance plutôt que de répondre calmement, dans le respect mutuel, et au profit de la population québécoise dans son ensemble, à leurs arguments concernant cette campagne de vaccination. Et surtout, on fait comprendre à ceux qui voudraient poser des questions, qui voudraient y voir clair, comme il est du droit de tous de le faire dans une démocratie, qu’ils ont intérêt à garder le silence. Plutôt se taire et emboîter le pas que se faire dire qu’on sera responsable de morts.

Climat de peur

Que l’on me comprenne bien: je ne cherche pas à avaliser les propos de ceux qui doutent de la pertinence de faire vacciner la population. Je suis père de trois enfants, et je me soucie comme tout père de leur santé. Si nous n’avons pas été infectés lorsqu’arrivera notre tour en décembre, nous finirons probablement par faire la queue et retrousser nos manches.

Il est cependant essentiel que personne dans notre société ne cède devant la tentation de taire le débat public en installant un climat de peur. Nous avons à long terme plus à perdre de cette peur que de la grippe qui s’installe actuellement au sein de la population.

VACCINATION 1901…

vactination

SOURCE: GRANDQUÉBEC.COM

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$

A la séance du Conseil de ville, hier, l’échevin Bumbray a créé toute une sensation, en disant que, dimanche dernier, le curé d’Hochelaga avait annoncé en chaire, que tous ceux qui ne se feront pas vacciner seront passibles d’une amende de $10.00.

$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$

Cette nouvelle a été annoncé le 3 janvier 1901 par le quotidien La Presse. La campagne de la vaccination visait à stopper d’innombrables épidémies à Montréal. En ce qui concerne M. le curé d’Hochelaga, il se serait trompé de bonne foi. En réalité, certains politiciens ont proposé payer 10 dollars à tous qui se vaccineraient dans un délai de quelques semaines.

Monsieur le Curé d’Hochelaga encourage la vaccination en menaçant les paroissiens!

Depuis la dernière proclamation il y a une grande affluence de personnes à l’Hôtel de Ville.

Les bureaux d’hygiène sont encombrés.

La vaccination bat son plein, de ce temps-ci, à l’Hôtel de ville. Il est vrai que tous les moyens ont été pris par le Bureau de santé, pour encourager la chose; à part le fait regrettable que l’on charge le prix du vaccin aux médecins, qui se font payer pour vacciner leurs clients.

N’empêche que la population semble à tout prix décidée à renoncer aux vieux préjugés et à s’immuniser au moyen de la vaccine. Il se fait, dans ce sens, un mouvement très sérieux. On remarque surtout la chose depuis les dernières proclamations du bureau de santé. Les maîtresses d’écoles amènent leurs élèves en bloc, à l’hôtel de ville, depuis samedi, et les trois médecins vaccinateurs sont sur les dents. Ils sont réellement encombrés. Il a fallu mettre des bancs dans le couloir, près du bureau de santé, pour faire asseoir la foule.

 

Comme l’a dit, samedi, le médecin de la cité, si ce bon mouvement continue, dans un mois nous n’aurons plus de variole parmi nous. Pour nous sauver du fléau, il n’y a qu’une chose, la vaccination. Qu’on se le tienne pour dit, et que chaque père de famille agisse.

A la séance du Conseil de ville, hier, l’échevin Bumbray a créé toute une sensation, en disant que, dimanche dernier, le curé d’Hochelaga avait annoncé en chaire, que tous ceux qui ne se feront pas vacciner seront passibles d’une amende de $10.00.

Le président de la commission d’hygiène, M. Ames, a déclaré en réponse à la question qui lui a été posée à ce sujet, qu’il n’y a ni loi, ni règlement à l’heure qu’il est, qui autorise l’abbé en question de faire une semblable menace. Cela n’empêche pas, bien entendu, que la vaccination ne soit grandement recommandée.

Illustration : La vaccination à l’hôtel de ville: l’une des scènes multiples que présentait l’intérieur du Bureau d’hygiène (d’après un croquis de l’un dessinateur inconnu de l’époque).

http://grandquebec.com/montreal-histoire/vaccination-montreal/

Terrorisme médical et complicité médiatique

41386325infirmieres008-gif

Permettez-moi de vous proposer la lecture de cet article de Nicole Hébert, sur la Tribune libre de Vigile. Lisez-le pour la réflexion qu’elle suggère sur tout ce pouvoir abusif qui nous prive de notre droit de penser à force de culpabilité. Inutile de vous dire que je partage entièrement son opinion.

Nicole Hébert – Tribune libre de Vigile
lundi 26 octobre 2009

Terrorisme médical et complicité médiatique

Ce midi – 26 octobre 09 – aux Nouvelles de Radio-Canada, qui portent, comme aux autres chaînes depuis une éternité maintenant, en majeure partie sur la fameuse grippe AH1N1 avec plein d’images de seringues, de bras abandonnés, de visages en pleurs d’enfants piqués, de files d’attente et, ce midi, la seringue jouxtant la Fleur de Lys ( !), voilà-ti pas que j’entends Anne-Marie Dussault déclarer qu’elle et sa famille se feront vacciner… Un peu plus tard dans le Bulletin, j’apprends que Bernard Drainville, avec le « bon » Ministre Bolduc de la Santé et Amir Khadir, solidaire, le feront aussi. Tous ces bons spécimens d’humanité s’avançant pour, à leurs corps défendant peut-être… « donner l’exemple » !!!

LA SUITE SUR VIGILE

Nicole Hébert – Tribune libre de Vigile

http://www.vigile.net/Terrorisme-medical-et-complicite