Archives mensuelles : octobre 2009

Terrorisme médical et complicité médiatique

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Permettez-moi de vous proposer la lecture de cet article de Nicole Hébert, sur la Tribune libre de Vigile. Lisez-le pour la réflexion qu’elle suggère sur tout ce pouvoir abusif qui nous prive de notre droit de penser à force de culpabilité. Inutile de vous dire que je partage entièrement son opinion.

Nicole Hébert – Tribune libre de Vigile
lundi 26 octobre 2009

Terrorisme médical et complicité médiatique

Ce midi – 26 octobre 09 – aux Nouvelles de Radio-Canada, qui portent, comme aux autres chaînes depuis une éternité maintenant, en majeure partie sur la fameuse grippe AH1N1 avec plein d’images de seringues, de bras abandonnés, de visages en pleurs d’enfants piqués, de files d’attente et, ce midi, la seringue jouxtant la Fleur de Lys ( !), voilà-ti pas que j’entends Anne-Marie Dussault déclarer qu’elle et sa famille se feront vacciner… Un peu plus tard dans le Bulletin, j’apprends que Bernard Drainville, avec le « bon » Ministre Bolduc de la Santé et Amir Khadir, solidaire, le feront aussi. Tous ces bons spécimens d’humanité s’avançant pour, à leurs corps défendant peut-être… « donner l’exemple » !!!

LA SUITE SUR VIGILE

Nicole Hébert – Tribune libre de Vigile

http://www.vigile.net/Terrorisme-medical-et-complicite

A/H1N1

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Caricature de Dominique Frappier

Vous pouvez admirer les caricatures-montages de Dominique, qui sont absolument superbes à l’adresse suivante.

Dominique Frappier , caricatures


A/H1N1: un virus qui fait débat 4/4

A/H1N1:un virus qui fait débat 3/4

A/H1N1: un virus qui fait débat 2/4

A/H1N1: un virus qui fait débat 1/4

VIOLENCE

violences

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De toutes petites larme

Coulent sur mes joues

couleur flamme

Pourquoi?

Pout toi

Tu prétends m’aimer

Mais tu ne fais rien pour le prouver

Je me suis jamais correcte

Dois-je être parfaite?

Je ne suis pas à ton goût

Paf!sur la joue

Il ne faut surtout pas en parler

Sinon…ça va barder

Les blessures

Sur ma figure

Ne sont pas des accicdents

Comme je le prétends

Elle viennent malheureusement

De celui que j’aime tant

Ève Bolieu

2000

A/H1N1: TROIS SPÉCIALISTES, DONT LE DR MARC GIRARD

C’est ce qu’il y a de meilleur… On a ici probablement toute l’information nécessaire par trois médecins.

La vidéo a été effacée partout. Sans doute pour les droits d’auteur de la télé française. Madame Bissonnette (Site, RESTER EN VIE) va tenter d’avoir a permission de le placer sur son site.

Vendredi, 30 octobre 2009

A/H1N1: le contenu du vaccin dévoilé

Merci au Dr Yves Robert, secrétaire du Collège des médecins. Les informations s’adressent aux médecins, mais sont fort utiles pour ceux qui hésitent à se faire vacciner. Nous avons au moins certaines informations que nous désirions  avoir et transmettre.

Vaccin monovalent: AH1N1 ( une seule souche)

Adjuvant: ASO3, de la vitamine E. Permet de faire plus de vaccins.

Virus inclus: Virus tué et fragmenté . ( «Ne donnerait pas l’influenza)( Si vous étiez tué et fragmenté,vous ne pourriez pas vous reproduire»  ).

Thimérosal: Agent de protection et de conservation . «On met du mercure pour permettre d’éviter de contaminer la fiole avec des bactéries en insérant l’aiguille plusieurs fois…)

«Le thimérosal se transforme en éthyl-mercure, un produit rapidement éliminé, contrairement au méthyl-mercure que l’on retrouve dans l’environnement. »

«Un vaccin, une fois, en 76, a été associé à une légère augmentation du syndrôme de Guillain-Barré, c’était un vaccin complet, sans adjuvant et non fragmenté.

Syndrome de Guillain-Barré: une paralysie ascendante généralement réversible. Toute infection peu causer le syndrome de Gillain-Barré. L’influenza lui-même peut causer le syndrome de Guillain-Barré.


Face au questionnements soulevés par la campagne de vaccination contre la grippe A (H1N1), le secrétaire du Collège des médecins du Québec a créé une vidéo informative. Si le clip peut être visionné par le grand public, il s’adresse d’abord aux médecins. L’objectif: les inciter à se faire vacciner.

Bien en évidence depuis cet après-midi sur la page d’accueil du site internet du Collège des mésecins, la vidéo présente le Dr Yves Robert, secrétaire du Collège et un des membres fondateurs du Comité sur l’immunisation du Québec. Assis derrière un bureau, il explique pendant huit minutes en quoi consiste le vaccin.

«C’est notre devoir de médecin de nous faire vacciner», rappelle-t-il à ses collègues. Il souligne les risques de contamination accrus pour les travailleurs de la santé.

«Je pense qu’ils sont favorables à l’immunisation, mais je pense que pour toutes sortes de raisons – parfois parce que ce n’est pas dans leurs priorités, parfois parce qu’ils sont occupés – ils ont moins tendance à faire un effort pour aller se faire vacciner eux-mêmes, a-t-il expliqué à La Presse. C’est un peu pour les motiver qu’on leur dit écoutez, c’est important.»     Cyberpresse, Isabelle Audet

SANTÉ CANADA, EXPLICATIONS SUR LE VACCIN

ArepanrixMC H1N1 est contre-indiqué chez les patients ayant des antécédents de réaction anaphylactique potentiellement mortelle à l’un des constituants du vaccin ou à un des résidus présents à l’état de trace, énumérés dans le feuillet d’information du produit. (Note de l’auteur : renseignez-vous auprès de votre médecin qui connaît votre dossier).

LE CONTENU DU VACCIN

Chaque dose de 0,5 mL du vaccin ArepanrixMC H1N1 contient 3,75 µg d’hémagglutinine (HA) dérivée de la souche A/California/07/2009 (H1N1)v. L’adjuvant AS03 est constitué d’une phase huileuse, contenant une huile naturelle et biodégradable, soit le squalène (10,69 mg par dose), et du DL-α-tocophérol (huile de vitamine E; 11,86 mg par dose), mélangée à une phase aqueuse composée d’un tampon phosphate isotonique. On a recours au polysorbate 80 (Tween 80; 4,86 mg par dose), un émulsifiant, pour stabiliser l’interface huile/eau. Chaque dose contient également 5 µg de thimérosal, un agent de conservation. Avant l’administration, il faut prélever le contenu du flacon renfermant l’adjuvant et le mélanger, selon un ratio de 1:1, avec le contenu du flacon renfermant l’antigène. ( SANTÉ Canada)

Thimerosal ou thiomersal ( même chose)

TOXICOLOGIE

A doses significatives, le thiomersal est très toxique par inhalation, par ingestion et par contact avec la peau (CE symbole de danger T +), avec un danger d’effet cumulatif.
Il est également très toxique pour les organismes aquatiques. Le mercure n’étant pas biodégradable, il peut causer à long terme des effets néfastes dans les milieux aquatiques (CE symbole de danger N) [14]

Dans le corps, il est métabolisé ou dégradé en éthylmercure (C2 H 5 Hg + ) et thiosalicylate[4]

Il semble que peu d’études de la toxicité du thiomersal aient été faites chez l’Homme.
Concernant ses effets après inoculation, des expériences sur le modèle animal suggèrent que le thiomersal se dissocie rapidement en libérant de l’éthylmercure, peu après le moment de l’injection ; et que la biodisponibilité du mercure soit alors comparable à ce qu’elle est après une exposition à des doses équivalentes de chlorure d’éthylmercure ; c’est à dire que le système nerveux central et les reins sont alors les cibles des composés mercuriels, avec au delà d’une certaine dose des symptômes de défaut de coordination motrice. Des signes et symptômes similaires ont été observés chez l’homme au cours d’intoxications accidentelles.
Les mécanismes précis d’action toxique de ce produit sont encore inconnus.

L’élimination de cette forme de mercure par l’organisme passerait essentiellement par l’excrétion fécale (avec donc contamination des effluents et eaux usées, pour des quantités qui peuvent commencer à paraitre écotoxicologiquement significatives dans le cas d’une vaccination massives de cheptels animaux ou d’une ville ou d’un pays).
L’éthylmercure aurait une « durée de demie-vie » dans le sang d’environ 18 jours, et de 14 jours environ dans le cerveau.
Le mercure inorganique métabolisé à partir de l’éthylmercure a une clairance beaucoup plus longue ; d’au moins 120 jours, cette forme du mercure semble bien moins toxique que le mercure sous forme inorganique produit à partir de vapeur de mercure et inhalé, pour des raisons encore mal comprises. [15] [16].

L’évaluation des risques et effets sur le système nerveux humain a été faite sur la base d’extrapolation à partir de la relation dose-réponse pour méthylmercure [15] lequel (comme l’éthylmercure) – après injection – circule dans tout le corps et se distribue dans tous les tissus de l’organisme, sans être bloqué ni freiné par la barrière hémato-encéphalique ni par la barrière placentaire [17].
Ces extrapolations faites à partir du méthylmercure ont incité les autorités sanitaires à faire retirer le thiomersal des vaccins pour enfants aux États-Unis (à partir de 1999). Depuis, il a été constaté que l’éthylmercure est métabolisé et éliminé du corps et du cerveau beaucoup plus rapidement que ne l’est le méthylmercure ; ce qui a fait dire à certains à la fin des années 1990, que les évaluations des risques ont peut-être été trop prudentes [15]. Selon une étude publiée en 2008, la durée de demie-vie du mercure (sous cette forme) dans le sang, serait après la vaccination en moyenne de 3,7 jours pour les nouveaux nés et les nourrissons, soit beaucoup plus courte que les 44 jours nécessaire à l’élimination de la moitié d’une dose inoculée ou ingérée de méthylmercure [18

DANS LE MONDE

Aux États-Unis, et dans les pays européens, et dans quelques autres pays, le thiomersal n’est plus utilisé comme adjuvant dans les vaccins utilisés en routine pour la vaccination des enfants [3] avec une seule exception aux USA, pour quelques formulations de vaccins anti-grippaux saisonniers à virus inactivés destinés à des enfants de plus de deux ans [7].
D’autres vaccins (non-utilisés en routine) peuvent dans ces pays contenir du Thiomersal, même pour de jeunes enfants aux USA (dont le DT (diphtérie et tétanos), le Td (tétanos et diphthérie), et le TT (tétanos toxoid) ;

D’autres vaccins peuvent en contenir des traces issues de différentes étapes du processus de fabrication [4]

Et des traitements rares (et devant donc être longtemps conservés) contre les morsures de vipères, serpent corail ou d’autres espèces venimeuses en contiennent aussi[8].

Hors de l’Amérique du Nord et de l’Europe, de nombreux vaccins contiennent encore du thiomersal, l’OMS ayant en 2006 estimé ne pas avoir de preuves de toxicité du thiomersal aux doses utilisées dans les vaccins et à l’absence de raisons de changer les seuils de sécurité pour ce produit [9].

En France, par précaution, depuis 2000, l’AFSAPSS a demandé le retrait du thiomersal dans tous les vaccins [10]. En 2009, on ne trouve de thiomersal dans aucun vaccin en France, à part pour le Vaccin contre l’encéphalite japonaise Vaccin Jevax (vaccin en ATU) [11].

Toutefois, le thiomersal doit être réintroduit dans les vaccins multidoses de la grippe A(H1N1) pandémique de 2008/2009. La dose utiliséE devrait être « infime » selon l’AFSSAPS qui estime qu’un risque neurotoxique n’est pas établi à ces doses [12

SOURCE : WIKIPEDIA

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Squalène : le sale petit secret contre la grippe porcine est exposé ! Par le Dr Mercola

Voici un article incontournable du docteur américain J. Mercola, qui expose clairement pourquoi il ne faut surtout pas accepter , ni surtout laisser injecter aux enfants, des vaccins contenant du squalène. The2share.org ( août 2009)

Note de l’auteur. Cet article semble bien fait. Néanmoins, que ceux qui ont des connaissances sur   le squalene infirment ou confirment ces faits et ces études.

Le but d’un adjuvant immunitaire qui est ajouté à un vaccin est de renforcer (munir d’un turbo) votre réponse immunitaire à la vaccination. Les adjuvants pour effet de faire sur-réagir votre système immunitaire face à l’introduction de l’organisme contre lequel vous êtes vacciné.
Les adjuvants sont censés faire en sorte que le travail soit effectué plus rapidement (mais certainement pas de façon plus sûre) , ce qui réduit la quantité du vaccin requise pour chaque dose administrée par individu.  Moins de vaccin requis par personne signifie davantage de doses individuelles pour les campagnes de vaccination de masse . Et comme par hasard, c’est exactement l’objectif du gouvernement et des compagnies pharmaceutiques qui sont prêts à tirer des millions de leurs vaccins.
Y aurait-il des adjuvants immunitaires dans les vaccins contre la grippe porcine ?
Le gouvernement américain a conclu des contrats avec plusieurs sociétés pharmaceutiques afin de développer et de produire des vaccins contre la grippe porcine. Au moins deux de ces entreprises : Novartis (cf. http://articles.mercola.com/si…-marketing.aspx ) et GlaxoSmithKline (cf. http://articles.mercola.com/si…d-flu-scam.aspx ), utilisent un adjuvant dans leurs vaccins contre le H1N1.
Quel est cet adjuvant ? Le Squalène
Selon Meryl Nass, MD (medical director), qui est une autorité sur le vaccin contre l’anthrax !
« Une nouvelle caractéristique de ces deux vaccins contre le H1N1 qui sont en train d’être élaborés par les sociétés Novartis et GlaxoSmithKline est l’ajout d’adjuvants contenant du squalène afin d’accroître l’immunogénicité et de réduire considérablement la quantité d’antigène viral nécessaire. Ceci se traduit par une production beaucoup plus rapide des quantités de vaccin désirées. »[V]
L’adjuvant au squalène propre à Novartis contre le  H1N1 se nomme le MF59 . Celui de Glaxo l’ ASO3. Le MF59 doit encore être approuvé par la FDA pour son utilisation dans tout vaccin américain, malgré ses antécédents d’utilisation dans d’autres pays.
Selon le Dr. Nass, il n’existe que trois vaccins utilisant un adjuvant au squalène approuvés. Aucun de ces trois vaccins n’est approuvé pour une utilisation aux Etats-Unis.
Ce que le squalène fait aux rats
Il a été prouvé que la vaccination d’adjuvants à base d’huile comme le squalène génère des réponses immunitaires concentrées et soutenues au cours de longues périodes de temps. [VI]
Une étude datant de l’an 2000 et publiée dans l’American Journal of Pathology (journal américain des pathologies) a démontré qu’une seule injections de l’adjuvant squalène chez les rats déclenchait « une inflammation chronique du système immunitaire, liée à l’immunité et spécifique aux articulations », aussi connue sous le nom de polyarthite rhumatoïde [VII]
Les chercheurs ont conclu que l’étude soulevait des questions concernant le rôle des adjuvants dans les maladies inflammatoires chroniques.
Ce que le squalène fait aux humains
Votre système immunitaire reconnaît le squalène comme une molécule d’huile native de votre corps. On le trouve dans votre système nerveux et dans votre cerveau. En fait, vous pouvez consommer du squalène dans l’huile d’olive (cf. http://articles.mercola.com/si…lon-cancer.aspx ) et non seulement votre système immunitaire reconnaîtra celui-ci, mais vous profiterez aussi des avantages de ses propriétés antioxydantes.
La différence entre le « bon » et le « mauvais » squalène est la voie par laquelle il entre dans votre corps. L’injection est une voie d’entrée anormale qui incite votre système immunitaire à attaquer tout le squalène qui se trouve dans votre corps et pas seulement l’adjuvant du vaccin. Votre système immunitaire tentera de détruire la molécule partout où il la trouve, y compris dans les endroits où elle se rencontre naturellement, et où elle est vitale à la santé de votre système nerveux. [VIII]
Les anciens combattants de la guerre du golfe souffrant du syndrome de la guerre du golfe (Gulf War Syndrome ou GWS) avaient reçu des vaccins contre l’anthrax qui contenaient du squalène. [IX]  Le MF59 (l’adjuvant au squalène de Novartis) était un ingrédient non autorisé dans les vaccins expérimentaux contre l’anthrax et a depuis été lié aux maladies auto-immunes dévastatrices dont souffrent d’innombrables vétérans de la guerre du golfe.  [X]
Le Département de la défense a fait toutes les tentatives possibles afin de nier que le squalène était en effet un contaminant ajouté dans le vaccin contre l’anthrax administré au personnel militaire – déployé et non déployé – durant la guerre du golfe Persique -, ainsi qu’aux participants au plus récent Anthrax Vaccine Immunization Program (programme d’immunisation contre l’anthrax via un vaccin ou AVIP).
Toutefois, la FDA découvrit la présence de squalène dans certains lots de produits de l’AVIP.Un test fut développé pour détecter des anti-corps anti-squalène auprès de patients atteinst du syndrome de la guerre du golfe, et un lien  clair a été établi entre le produit contaminé et tous ceux qui souffrent du syndrome de la guerre du golfe avaient été injectés avec le vaccin contenant du squalène.
Une étude menée à la Tulane Medical School et publiée dans le numéro de Février 2000 de la revue Experimental Molecular Pathology (pathologie moléculaire expérimentale) inclut ces étonnantes statistiques:
« … La grande majorité (95%) des patients ouvertement malades et qui ont déployé le syndrome de la guerre du Golfe GWS possédaient des anticorps anti-squalène. Tous (100%) les patients atteints du syndrome de la guerre du Golfe vaccinés pour leur service durant les opérations Desert Shield/Desert Storm (Bouclier du désert/Tempête du désert), qui n’ont pas été déployés, mais qui montraient les mêmes signes et symptômes que ceux qui ont été déployés, avaient des anticorps anti-squalène.
En revanche, aucun (0%) des anciens combattants déployés durant la guerre du Golfe Persique et ne présentant pas de signes et symptômes du syndrome de la guerre du Golfe ne possède d’anticorps anti-squalène. Ni les patients ayant une maladie idiopathique auto-immune ni ceux présentant des contrôles sains n’avaient dans leur sérum sanguin des anticorps anti-squalène détectables. La majorité des patients présentant des symptômes du syndrome de la guerre du Golfe avaient dans leur sérum sanguin des anticorps anti-squalène. » [XI]
Selon le Dr Viera Scheibner, Ph.D., un ancien scientifique en recherche fondamentale pour le gouvernement de l’Australie:
« … cet adjuvant, le squalène,  a contribué à la cascade de réactions appelée « Syndrome de la geurre du golfe », documentée chez les soldats impliqués dans la guerre du golfe. Les symptômes qu’ils ont développés comprenaient de l’arthrite, de la fibromyalgie, de la lymphadenopathie, des éruptions cutanées photosensibles (…) de la fatigue chronique, des maux de tête chroniques, des pertes de poils corporels anormales, des lésions cutanées ne guérissant pas, des ulcères aphteux, des étourdissements, de la faiblesse, des pertes de mémoire, des convulsions, des changements  d’humeur, des problèmes neuropsychiatriques, des effets anti-thyroïde, de l’anémie, une élévation de l’ESR (Erythrocytes), du lupus erythemateux disséminé, de la sclérose en plaques, de la SLA (sclérose latérale amyotrophique), le phénomène de Raynaud, le syndrôme de Sjorgreen, de la diarrhée chronique, des sueurs nocturnes et des fièvres de bas grade ».  [XII]
Le suivi post- vaccination pourrait aussi bien être non-existant.
Il n’y a pratiquement  pas d’élément scientifique pour soutenir la sécurité des injections de vaccin sur votre santé  à long terme ou sur la santé de vos enfants.
Les études de suivi durent moyenne deux semaines, et cherchent seulement les blessures et les maladies flagrantes.
Les troubles de l’auto-immunité, comme ceux qui ont été observés dans le syndrome de la guerre du Golfe prennent souvent des années à diagnostiquer en raison de l’imprécision des premiers symptômes. Des plaintes comme des maux de tête, de la fatigue et des douleurs chroniques sont les symptômes de différents maux et les maladies.
Ne retenez pas votre souffle en attendant que les fournisseurs et les promoteurs des vaccins se penchent sérieusement sur les conséquences que leurs campagnes de vaccination causent sur la santé à long terme.

NOTES DE L’AUTEUR :

On comprend alors pourquoi il est important de distinguer un vaccin avec adjuvant et un autre sans adjuvant.

LOGIQUEMENT, un vaccin sans adjuvant provoque  une réponse moindre, mais plus sûre en terme de santé à long terme.

Serais-ce là une réponse à un «scandale» paru en Allemagne? Les AUTORITÉS reçoivent-elles un vaccin sans adjuvant parce qu’il est plus sûr?

Mais il coûte plus cher….

CONCLUSION

Le message adressé aux médecins est assez conservateur. Pour ma part, ayant été victime du virus, je ne minimise pas les effets : j’ai eu grande peine à m’en remettre. Je dois vous dire qu’il frappe fort. Ma dernière grippe date de 1995. J’ai eu des «états grippaux», mais sans cette faiblesse et douleurs musculaires caractéristiques d’une invasion virale sévère.

LE H1N1 EST SÉVÈRE. Le problème, toutefois, réside dans le long terme.

La médecine considère les bienfaits, mais à court terme. Sur nos vies, à long terme, c’est un choix à faire pour ceux d’entre vous, dans vos vies devront décider. Car la décision vous appartient…

L’approche médicale ne considère que la part immédiate. À long terme, nous devons nous questionner sur les bienfaits d’une société, avec tout ce que cela a pour conséquences.

C’est le questionnement que je me proposais dans l’article :

Crash d’une médecine en vol plané

Nous remettons en question certaines approches de la médecine, parce que nous avons droit de savoir, de connaître, et de DÉCIDER.

Ce n’est pas à la médecine de DICTER vos vies. Ni la mienne…

Car dans l’approche proposée, on avantage une société plus qu’un individu pour des intérêts que je soupçonne «économiques». Je ne parle pas de l’argent que font les compagnies, je parle de problèmes de productions qui sont – pour les gens de la santé – plus préoccupantes.

Vos proches? C’est là l’argument… Sauf que vos proches de demain, s’ils sont malades, ne seront pas plus heureux et en santé.

La vie est un risque . Et à chaque jour…

Helen Keller disait : «Ou la vie est une aventure, ou elle n’est rien».

Nous ne sommes pas éternels. Personnellement je préfère une vie plus dense mais moins … longue. J’ai vu trop de vieillards «mourir» pendant des années…

Apprendre à vivre, c’est apprendre et ACCEPTER ses risques…

Nous n’avons même pas le choix.

Sauf que nous croyons l’avoir, par désir d’éternité.

Fred Vargas: nous y sommes!

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Il arrive comme ça, des jours, où des gens vous envoient des réflexions, des textes, des liens. Peut-être parce qu’ils commencent à vous connaître un peu et qu’ils dénichent des perles. De vraies…

Le moteur de l’histoire terrestre c’est la connerie avec un grand C. Idéalement ça serait bien que tout le monde soit sinon riche, ou du moins à l’aise, qu’on préserve notre biotope, qu’on partage équitablement les richesses, le savoir et l’énergie, qu’on contrôle la natalité, qu’on maintienne les êtres humains en santé, qu’on leur donne à tous des conditions de vie et de développement décent, qu’on édicte des lois qui préservent les hommes, les femmes et les enfants, qu’on abolisse les divers esclavages. Il y a belle lurette que nous en avons les moyens, économiques, techniques, scientifiques. Cela pourrait se faire si notre planète n’était pas dominée par l’égoïsme le plus primaire, fondé sur des idéologies ou des croyances de tous ordres, et n’était pas le siège d’un immense gâchis dans tous les domaines, dont ces sommes phénoménales que nous engloutissons dans les projets militaires.   Alorie Gilbert, blog

Voilà que se retrouve dans ma boîte à malle une réflexion. Un envoie de Catherine sur une auteure que je ne connaissais pas.

Nous y sommes !

Un texte choc de Fred Vargas, l’une des écrivaines les plus lues actuellement en France.

Depuis cinquante ans que cette tourmente menace dans les hauts-fourneaux de l’incurie de l’humanité, nous y sommes. Dans le mur, au bord du gouffre, comme seul l’homme sait le faire avec brio, qui ne perçoit la réalité que lorsqu’elle lui fait mal. Telle notre bonne vieille cigale à qui nous prêtons nos qualités d’insouciance. Nous avons chanté, dansé. Quand je dis « nous », entendons un quart de l’humanité tandis que le reste était à la peine. Nous avons construit la vie meilleure, nous avons jeté nos pesticides à l’eau, nos fumées dans l’air, nous avons conduit trois voitures, nous avons vidé les mines, nous avons mangé des fraises du bout monde, nous avons voyagé en tous sens, nous avons éclairé les nuits, nous avons chaussé des tennis qui clignotent quand on marche, nous avons grossi, nous avons mouillé le désert, acidifié la pluie, créé des clones, franchement on peut dire qu’on s’est bien amusés. On a réussi des trucs carrément épatants, très difficiles : faire fondre la banquise, glisser des bestioles génétiquement modifiées sous la terre, déplacer le Gulf Stream, détruire un tiers des espèces vivantes, faire péter l’atome, enfoncer des déchets radioactifs dans le sol, ni vu ni connu.

Franchement on s’est marrés. Franchement on en a bien profité. Et on aimerait bien continuer, tant il va de soi qu’il est plus rigolo de sauter dans un avion avec des tennis lumineuses que de biner des pommes de terre. Certes. Mais nous y sommes. A la Troisième Révolution.
Qui a ceci de très différent des deux premières (la Révolution néolithique et la Révolution industrielle, pour mémoire) qu’on ne l’a pas choisie. « On est obligés de la faire, la Troisième Révolution? » demanderont quelques esprits réticents et chagrins. Oui. On n’a pas le choix, elle a déjà commencé, elle ne nous a pas demandé notre avis.

C’est la mère Nature qui l’a décidé, après nous avoir aimablement laissés jouer avec elle depuis des décennies. La mère Nature, épuisée, souillée, exsangue, nous ferme les robinets. De pétrole, de gaz, d’uranium, d’air, d’eau. Son ultimatum est clair et sans pitié : Sauvez-moi, ou crevez avec moi (à l’exception des fourmis et des araignées    qui nous survivront, car très résistantes, et d’ailleurs peu portées  sur la danse). Sauvez-moi, ou crevez avec moi. Évidemment, dit comme ça, on comprend qu’on n’a pas le choix. On s’exécute illico et, même, si on a le temps, on s’excuse, affolés et honteux. D’aucuns, un brin rêveurs, tentent d’obtenir un délai, de s’amuser encore avec la croissance. Peine perdue. Il y a du boulot, plus que l’humanité n’en eut jamais.

Nettoyer le ciel, laver l’eau, décrasser la terre, abandonner sa voiture, figer le nucléaire, ramasser les ours blancs, éteindre en partant, veiller à la paix, contenir l’avidité, trouver des fraises à côté de chez soi, ne pas sortir la nuit pour les cueillir toutes, en laisser au voisin, relancer la marine à voile, laisser le charbon là où il est, attention, ne nous laissons pas tenter, laissons ce charbon tranquille, récupérer le crottin, pisser dans les champs (pour le phosphore, on n’en a plus, on a tout pris dans les mines, on s’est quand même bien marrés). S’efforcer. Réfléchir, même. Et, sans vouloir offenser avec un terme tombé en désuétude, être solidaire. Avec le voisin, avec l’Europe, avec le monde. Colossal programme que celui de la Troisième Révolution. Pas d’échappatoire, allons-y. Encore qu’il faut noter que récupérer du crottin, et tous ceux qui l’ont fait le savent, est une activité foncièrement satisfaisante. Qui n’empêche en rien de danser le soir venu, ce n’est pas incompatible. A condition que la paix soit là, à condition que nous contenions le retour de la barbarie une  autre des grandes spécialités de l’homme, sa plus aboutie peut être.

A ce prix, nous réussirons la Troisième révolution. A ce prix nous danserons, autrement sans doute, mais nous danserons encore.

— Fred Vargas

Fred Vargas est née à Paris en 1957. Fred est le diminutif de Frédérique. Vargas est son nom de plume pour les romans policiers. Sa sœur jumelle, Jo, peintre, a également adopté ce pseudonyme de Vargas, et c’est même elle qui la première le trouva, l’empruntant au personnage joué par Ava Gardner dans La Comtesse aux Pieds Nus. Pendant toute sa scolarité Fred Vargas ne cesse d’effectuer des fouilles archéologiques ; après le bac elle choisit de faire des études d’Histoire. Elle s’intéresse à la préhistoire, puis choisit de concentrer ses efforts sur le Moyen Âge. Actuellement ses recherches d’historienne-archéologue portent sur les ossements animaux du Moyen Âge. Elle a débuté sa « carrière » d’écrivain de romans policiers par un coup de maître. Son premier roman Les Jeux de l’Amour et de la Mort, sélectionné sur manuscrit, reçut le Prix du roman policier du Festival de Cognac en 1986 et fut publié aux éditions du Masque. Fred Vargas vit à Paris.

Merci à Catherine Wells