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Archives de Tag: pollution
Le tueur de forêts
Publié dans AFRIQUE, AGRICULTURE, CAPITALISME, ENVIRONNEMENT, POLLUTION
Tagué Afrique, agriculture, cacao, capitalisme, ENVIRONNEMENT, pollution
L’horreur du pétrole des sables bitumineux
Des échantillons d’air prélevés dans le nord de l’Alberta indiquent que les sables bitumineux sont plus polluants qu’on ne le pense, affirment des chercheurs.
Une nouvelle étude, menée par des scientifiques fédéraux, montre que les sables bitumineux émettent plus de gaz carbonique (CO2) que ce qu’ont indiqué les entreprises pétrolières. Selon les chercheurs, cette découverte pourrait avoir de profondes conséquences sur les stratégies du gouvernement fédéral en matière de changements climatiques.
Les scientifiques, qui travaillent principalement pour Environnement Canada, ont calculé les taux d’émission de quatre principales mines à ciel ouvert. Ils ont utilisé des échantillons d’air recueillis en 2013 à l’aide de 17 déplacements en avion au-dessus de la région.
Les résultats, publiés mardi dans le journal Nature Communications, montrent que les émissions seraient plus élevées de 64 % que ce que déclarent les entreprises pétrolières. Celles-ci se basent sur la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC).
D’après les chercheurs, cela signifie que les émissions de gaz à effet de serre au Canada seraient plus élevées 2,3 % que celles qui étaient estimées initialement, et ce chiffre pourrait même monter jusqu’à 6 %, s’il s’avère que d’autres sites de sables bitumineux ont également déclaré des chiffres inférieurs aux émissions réelles. Radio-Canada
2019
Publié dans BILLETS DE BIAIS, CAPITALISME, POLLUTION
Tagué Alberta, Amérindiens, Canada, eau, pollution, sables bitumineux
Les rêveurs décarbonisateurs
Les députés ont voté vendredi soir en commission la fin de la vente des véhicules à carburants fossiles (essence, diesel et gaz naturel) d’ici à 2040, lors de l’examen du projet de loi d’orientation des mobilités (LOM). L’OBS
Voté? Jusqu’à maintenant, voter n’est pas une action, c’est une prière de parlement. Pas un de ces siégeants ne sera là en 2040, ou alors ils se déplaceront en voiture chinoise, La Wong V. Il aurait fallu en parler au délicat Donald Trump pour connaître son opinion par twitter, une autre « invention » inutile qui vaut dans les 18 milliards de dollars américain. La richesse des américains ( ou étasuniens) est dorénavant une création (sic) de vide ou d’armes réelles et sophistiquées. Ajoutons Google, Amazon, Microsoft, et ce cher Facebook, et nous voilà dans une ère de vide dont la nature a tant horreur. Vive les poirotiers, les carotiers, les patatiers, les laitueciers, etc.
Nous sommes des adolescents programmés, soumis à la virtualité. La viduité marquera le 21 ième siècle autant que la Ford-T qui s’est transformée en un vaisseau spatial sur asphalte.
Je ne sais comment on va convaincre une industrie aussi braque de fermer ses usines ou de nous vendre un produit électrique roulant de par des centrales nucléaires ou de charbons. Mais pour le moment, voter ne nous fait pas avancer…
Tous ces gens sans solutions réelles devraient avoir un siège muni d’un pédalier muni d’une dynamo… reliée à leur cerveau. Un peu d’étincelle ne leur nuirait pas.
Gaëtan Pelletier ( Inventeur du bouton à un trou)
Publié dans ÉNERGIE, INTERNATIONAL, POLLUTION
Litièrature
)
Le chat Léo
Photo: GP
Toute reproduction non interdite, sauf aux U.S.A.
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On m’a déjà dit, un jour, que je n’avais pas d’ambition. Pauvres ceux qui l’ont dit… Ils pensaient à une « ambition sociale », un titre, un diplôme, un job payant pour polluer davantage. J’en avais une: farnienter. Bref, ne rien faire, sauf m’amuser. Alors, j’ai pensé écrire des romans de gare. Mais la vie a fait en sorte que je suis devenu un sans ambition environné d’un tas de jouets et d’au moins 4 paires de pantalon. Dire qu’étudiant, j’avais presque tout dans un sac…
On ignorait à l’époque – je parle de mes censeurs et confrères étudiants- qu’on allait tous réussir à détruire une planète. Il suffisait d’être plusieurs. On peut retrouver « plusieurs » sur le site Wordometers . Un véritable film d’horreur. Voilà que je suis en train d’écrire aujourd’hui… Après une demi-heure d’aujourd’hui… Et sans pollution visible, sauf la surchauffe des serveurs alimentés par le Nord du Québec « blessé » par la main de l’homme et les centrales nucléaires en France.
Nous sommes en train de nous éteindre avec un fracas d’émissions de télévision, de youtubing, de Facebooking, et de téléphones intelligents qui nécessitent de nouveaux nègres africains pour les métaux et de nègres blancs ou autres piégés. Je ne possède pas de téléphone intelligent parce que je suis pour le progrès. On dirait une autre corde qui fait de nous des marionnettes, un cordon ombilical électronique qui nous relie, en fin de compte qu’à des miroirs. Les téléphones polluent, les voitures polluent, et voilà que les chats polluent également
À en croire Statistique Canada, il n’est pas le seul. Les dépenses des ménages pour les animaux domestiques ont explosé ces dernières années passant de 6,4 milliards $ en 2010 à 9,2 milliards $ en 2016, dont 1,7 milliard $ uniquement au Québec. TVA Nouvelles
Et la France ?
Il y a une autre façon de compter : mesurer le flux de matière… à la sortie. Chiens et chats américains produisent 5,1 millions de tonnes d’excréments par an, soit autant que 90 millions d’Américains, et probablement de plus de 180 millions d’Indiens. Okin s’est même amusé à calculer que les animaux américains consommaient autant de calories que toute la population française. Le Point.fr
Nous avons pour compagnons DEUX chats. Ils nous coûtent les yeux de la bête… Misère! Chaque matin je fais la litière et chaque soir de la litièrature parce que écrire m’amuse. Avec un clavier et une souris… J’ai mis au vidange ma vieille Underwood il y a longtemps. Elle n’avait jamais de mises à jour…
Des chats et des hommes
Du temps de mes grands parents, quand il y avait suffisamment d’espace, les terrains environnant les maisons servaient de litière aux chat…libres. Maintenant, la Terre est la litière ronde de tous les humains. On y jette tout ce que l’on consomme.
Mais tout ce qui est produit est affolant. Au point où d’ici quelques décennies, les objets pourraient avoir pris la place de l’homme, sa litière, son chat, et tout le vivant de par la nourriture réelle: la nature, n’ayant plus de terre arable pour nos réels besoins, ni d’arbres. Avec 20 millions de voitures produites par an, il faudra les nourrir d’asphalte, d’énergie fossile ou autre.
Peut-être qu’en 2100, il ne restera que des chats et quelques humains masqués. Ce doit être la raison pour laquelle on aime tant les chats. Ce sont des bêtes et comme eux on est bête.
Gaëtan Pelletier
Publié dans BILLETS DE BIAIS, ENVIRONNEMENT, Histoire, HUMANISME, Philosophie, POLLUTION
Bangalore ou l’art de s’empoisonner par la « réussite ».
Il « neige » sur Bangalore, mais d’un cocktail de produits chimiques qui met le feu au rivière. Certes la réussite économique de cette Silicon Valley indien a rendu riches certains indiens, mais a détruit l’environnement à un point que l’on ne trouve plus d’eau potable ni d’air respirable. Et nous sommes la créature « la plus intelligente » de la planète…
Deux grandes entreprises indiennes, Infosys et Wipro, ont été créées en 1980 et ont installé leur siège social dans les parcs technologiques de Bangalore. Infosys, le leader indien des prestations de service informatique, compte désormais plus de 155 000 salariés et un chiffre d’affaires annuel de 5,2 milliards de dollars. De son côté, Wipro emploie 135 000 salariés avec un chiffre d’affaires de 4,2 milliards de dollars. Avec Tata Consultancy, ces entreprises constituent les trois géants informatiques du pays. La région a pris de plus en plus d’importance et d’autres entreprises s’y sont progressivement établies.
C’est dans les années 1990 que tout s’accélère et que Bangalore s’inscrit dans une nouvelle dynamique. La première société occidentale à s’y installer en 1985 est Texas Instruments. Cette société a été rapidement rejointe par d’autres multinationales, comme Microsoft qui y a installé le Microsoft Technology Center (pôle de recherche et développement) depuis 2005. Désormais, on y trouve également les filiales locales de Google, Yahoo !, Amazon, Dell, IBM… Au total, Bangalore compte plus de 700 centres de recherche et développement. Source
Que vaut tout ce développement si nous nous détruisons dans le même temps?
Gaëtan Pelletier
Baïkal: le joyau brisé
C’est déplorable, mais cela fait partie de l’histoire. Le plus grand réservoir d’eau douce de la planète est en train ( et ce depuis les années 50) d’être pollué.
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Disparition des poissons, propagation des algues et pollution des eaux par des phosphates… Le lac Baïkal est confronté à l’une des plus graves crises écologiques de son histoire longue de 25 millions d’années.
Situé au coeur de la Sibérie, le Baïkal est le plus ancien et le plus profond (1700 m) lac du monde. Il contient à lui seul 20 % des eaux douces non gelées de la planète et «présente une valeur exceptionnelle pour la science de l’évolution», selon l’UNESCO, qui l’a inclus en 1996 au patrimoine mondial de l’Humanité.
La biodiversité du Baïkal est remarquable: près de 3600 espèces végétales et animales, en majorité endémiques, peuplent ses eaux et ses berges. Mais les signaux négatifs s’accumulent.
L’omoul, un poisson typique du lac, est en voie de disparition alors que les algues croissent de façon inquiétante et que plusieurs espèces d’éponges ont déjà disparu.
Début octobre, le gouvernement russe a ordonné l’interdiction de la pêche commerciale de l’omoul, un poisson de la famille des salmonidés, a indiqué à l’AFP l’Agence russe de la pêche. «La masse biologique de l’omoul a été plus que divisée par deux au cours des 15 dernières années», passant de 25 millions de tonnes à seulement dix millions, selon l’agence.
Parmi les causes avancées par Anatoli Mamontov, un biologiste local, la pêche braconnière et les changements climatiques sont en cause. «À cause de la sécheresse, la profondeur des rivières qui alimentent le lac diminue. La surface du Baïkal se réchauffe et l’omoul n’aime pas l’eau chaude», explique-t-il.
Algues envahissantes
Le mois dernier, l’UNESCO s’est inquiétée de la propagation catastrophique des algues Spirogyra, qui recouvrent les plages de sable du lac d’un épais tapis vert.
«Je suis à 150 % convaincu que la raison, c’est la pollution par les eaux usées» des villes et villages situés sur les côtes du Baïkal, particulièrement par des détergents contenant des phosphates, estime Oleg Timochkine, biologiste de l’Institut limnologique à Irkoutsk (Sibérie).
Suite sur La Presse
https://www.universalis.fr/encyclopedie/lac-baikal/4-des-decennies-de-pollution/
La fin d’un monde
Les scientifiques ont établi plusieurs scenario de fin du monde, de la chute d’un astéroïde géant à une invasion extraterrestre. Lequel vous semble le plus crédible?
Le plus probable, c’est celui qui est déjà là, ce qui est en train de se passer. Le réchauffement climatique, la pollution généralisée, l’érosion de la biodiversité. Nous sommes déjà plongés dedans. La question est de savoir jusqu’où cela va aller ? Ce qui est terrifiant aujourd’hui c’est l’augmentation de la température terrestre. Pourtant les gens vivent comme si tout cela n’existait pas. Si je me pose la question de savoir comment sera la Terre dans trente ans, et son habitabilité, je ne peux vous le dire.
Nous sommes dans une période de changement profond de tout ce qui touche la vie terrestre. Je crois que la vie continuera. La vie est très riche. Nous ne sommes pas en mesure d’éliminer la vie sur le globe. Mais quelles seront les adaptations, quelle sera celle de l’être humain ? C’est cela la vraie question. Les espèces qui durent sont celles qui savent s’adapter. source
– See more at: http://www.espritsciencemetaphysiques.com/astrophysicien-reeves-fin-du-monde.html#sthash.9ZUN1SIV.dpuf
La Terre: une usine en feu
«Au commencement, on croyait qu’on allait changer le monde, qu’on pourrait apporter certaines solutions. Mais les désillusions ont commencé à s’infiltrer.»Et avec elles, la peur. Notamment, celle que la machine climatique s’emballe avec la disparition des miroirs refroidisseurs que sont l’Arctique et l’Antarctique. «En 2002, nous avons fait une traversée épique du passage du Nord-Ouest entre les glaces de l’Arctique. Nous sommes retournés au même endroit, à la même période, 13 ans plus tard. Il n’y avait plus de glaces, plus de banquise, plus rien.» Autre sujet d’inquiétude pour le biologiste: le blanchiment des coraux et la santé générale des océans. « Un milliard d’humains dépendent du poisson pour survivre», rappelle-t-il.( Jean Lemire) Cyberpresse
Nous avons reçu un paradis et nous en avons fait un dépotoir.
GP
***
Le constat de Jean Lemire est sans équivoque: nous avons atteint un point de non-retour. La régulation du système climatique de la planète pourrait s’emballer et avancer l’heure du réchauffement. Dans cette ère de marchandisages à outrance, les prédateurs sophistiqués dépassent largement les capacités des politiciens figés dans leur lenteur extrême à réagir. Leur pouvoir réel est mince et leur ouverture d’esprit…filigrane ( finement ajouré).
***
Nous avons laissé, abandonné nos destins à des machines à produire de la richesse. Point. Le soi-disant intérêt humaniste n’existe plus dans le libre-échange . Déjà, il y a des millénaires, les marchands avaient contrôle sur la vie politique et les décisions. Aujourd’hui, cette marchandisation poussée à l’extrême, énergivore, a déséquilibré la vie. Ce n’est pas la fin du monde, mais la fin d’un monde et l’arrivée d’un autre étrange: le désert. Désert d’eau, désert de nourriture, désert d’emplois, et comportement erratique d’un climat affolé. Désert d’âmes…
Le nazisme planétaire
Nous voilà victime d’un nazisme planétaire. Victimes d’un banditisme systémique qui aura tout chamboulé jusqu’à la fin, stupide au point de n’avoir pas prévu sa propre fin. L’humain est depuis longtemps la matière première des troupeaux de carnivores économiques. Pour ce faire, il faut manipuler l’esprit humain: la première opération est de monter la trousse du parfait occidental,- nouvelle religion matérialliste-, de créer une descendance de carnivores vorace et efficace pour le bien du 1%.
Dans une lutte absurde et suicidaire de cette guerre économique qui prévaut depuis quelques décennies, la nouvelle race de cerveaux a déchiqueté le tissus social du monolithisme des pays. Cerveaux de dirigeants d’entreprises et cerveaux étourdis de participer aux grands projets du virage numérique en plus. On aura pris soin de robotiser au préalable l’humain fasciné par la machine. On aura sculpté une linotte pour le besoin de la « cause ». La marchandise avant l’homme… L’être humain et le soldat d’un projet mondialiste. En fait, il n’en est que l’esclave, peu importe son rang.
Personne, on dirait, n’a remarqué le beau copier-coller du règne nazi « de l’autre siècle » et celui présent d’un système fourmillant de fripouilles à tous les étages de l’immeuble Terre. Et pourtant, il est flagrant. Le projet d’un Hitler n’était pas celui de son peuple. Le projet de la mondialisation n’est pas celui des peuples… Il est celui d’une race de mégalomanes appliqués dans une discipline et un art architectural de la tromperie. Il fallait ouvrir les frontières… Nos politiciens les ont ouvertes. Pour notre bien… Et ils l’on eu…
L’arrogance du politicien et sa dégoût du populisme
A s’en tenir à l’étymologie, le populisme consisterait en une tendance politique tendant à favoriser indûment les opinions du peuple au détriment des élites. Etre populiste, dans le sens où ceux qui l’emploient cherchent à le faire comprendre, c’est user de démagogie: flatter les opinions et préjugés populaires en les suscitant et/ou les exacerbant pour mieux manipuler la foule. Faire croire au peuple qu’il a raison et est un recours. Le Figaro
On peut faire simple: le peuple s’oppose à certains développements ou directions des élus. ( Projets pour la plupart élaborés par les acteurs économiques). Alors, la classe politique accuse en quelque sorte le peuple d’incompréhension. Il n’y a pas loin de l’autoritarisme, le petit cousin du facisme. Faut-il jouer avec les mots? Le peuple est devenu stupide ? C’est sans doute un précédent dans l’histoire de la politique dite démocratique que de traiter son peuple de crétin en un mot dévié: populisme. C’est discordant, arrogant et et haineux. D’un profond irrespect. Trouvez les mots…
L’échec total
Ceux qui rêvent d’un redressement en quelques décennies, peuvent continuer de rêver. Outre la masse de mauvaises nouvelles et de l’enclenchement inéluctable du phénomène du réchauffement, il ne suffit pas de taxer les pollueurs, action d’un simplisme déconcertant et incompréhensible en terme d’efficacité. Il faudrait non seulement ralentir la locomotive emballé du supposé progrès mais remplacer les formes de production d’énergie qui sont là pour satisfaire à la demande croissante d’une surpopulation rêvant d’accéder à une richesse et un train de vie à la mode étasunienne. La robotisation est en train d’anéantir ce rêve en détruisant le monde du travail par amputation du travailleur. On sabre, pour les besoins. Et les besoins, c’est le profit.
Le monde à venir
Il n’existe qu’une seule chance de réussite: c’est l’échec et l’autodestruction du monstre économique qui pourrait se mutiler par ses propres politiques et pratiques d’une économie qui relègue l’humain au rang du simple boulon. Car le monde des travailleurs , délivrés de la terre et de la sueur, assujettis à des structures devenues incompréhensibles et incontrôlables, sans alternatives, est en train de refaire en format planétaire la crise de 1929. Dans le roman Les raisins de la colère de Steinbeck, le résumé de l’histoire est une version compressé de ce qui s’en vient.
L’intrigue se déroule pendant la Grande Dépression (crise de 1929) et le lecteur suit les aventures d’une famille pauvre de métayers, les Joad, qui est contrainte de quitter l’Oklahoma à cause de la sécheresse, des difficultés économiques et des bouleversements dans le monde agricole. Alors que la situation est quasiment désespérée, les Joad font route vers la Californie avec des milliers d’autres Okies (habitants de l’Oklahoma), à la recherche d’une terre, de travail et de dignité. Les raisins de la colère
À la recherche d’une terre, de travail et de dignité… On attendra dix ans pour la reprise économique: la guerre… On fera fondre les chaudrons qui nourrissent pour en faire des balles, des obus, dans le but d’anéantir le projet ( encore un terme à la mode) d’un mégalomane entourés de fripouilles Dans le contexte actuel d’un vieux mode de structure du monde du travail, ( le grand rêve du fordisme à salaire garanti) de reprise économique, l’illusion est parfaite, car on a au moins gardé une certaine surface glacée et miroitante pour subjuguer les peuples par le biais des politiciens.
En 2030, bonne nouvelle: pas un Titanic ne pourra couler à cause d’un Iceberg descendant du Nord. Mauvaise nouvelle: le réchauffement climatique arrimé au libre-échangisme sera chaud au point de faire fondre le « gagne-pain » des humains et par ricochet, les humains. Ce qui donne – on peut bien rigoler – un nouveau verbe amalgamé:
Je fonds,
Tu fonds
Ils font
Il existe une expression pour signifier la folie de l’Homme: perdre le nord. Eh! ben, on est en train de le perdre pour de vrai.
Gaëtan Pelletier
«L’environnement, ce n’est pas juste un titre qu’on ajoute à une fonction ministérielle. Il faut des gestes. C’est bien beau d’être populaire, de prendre des selfies et de déclarer que le Canada est de retour, mais quand on voit que le gouvernement Trudeau s’apprête à approuver le projet de pipeline, je m’interroge. On en est encore là? Les petites mesures, les petits gestes ne suffisent plus. Est-ce qu’on va finir par faire ce qu’il faut pour empêcher le pire de se produire ? Parfois, j’ai peur que non.» Jean Lemire
Publié dans GLOBALISATION, POLLUTION, TERRE
Demain, on mangera notre eau…
Coca-Cola a ainsi le droit d’extraire 33,7 millions m3 d’eau par an au Mexique, l’équivalent de la consommation annuelle minimale pour faire vivre 20 000 personnes. Le groupe américain exploite 50 nappes d’eau, dont 15 sont surexploitées [2]. À moindre échelle, la compagnie suisse Nestlé extrait 9 millions m3 d’eau par an dans le pays et exploite 16 aquifères, dont 6 sont surexploités. Le Mexique va-t-il se vider de son eau?, Mondialisation.ca
Avec toute l’eau qu’on massacre par la pollution de par de multiples formes , étant donné que le corps humain est constitué de 70% d’eau, et de 71% ( :-)) chez les politiciens le « futur » de nos enfants sera une longue lignée d’estropiés invisibles empoisonnés par l’or translucide : Tous un peu pourris en dedans. L’eau ne nous appartenant plus, il faudra un mot passe pour ouvrir les bouteilles.
Quand j’étais enfant, au temps de la Ford-T, pardon, des voitures-salon qui buvaient de l’essence comme un bon russe siphonne de la vodka, on pouvait boire l’eau dans les rivières. Maintenant, il faut qu’elle soit filtrée et chlorée, ou traitée par des moyens chimiques et bientôt électroniques.
La boire, d’un bout à l’autre…
Comme le disait le Comte de Vichy ( seigneur de L’Étang – vous pouvez vérifier sur Whiskypédia, ): » Je m’en lève le cœur moi-même, n’ayant pas le temps d’attendre que les autres le fassent ». Bien que je ne vérifiasse pas toutes mes sources, il aurait dû le dire à un certain moment de sa vie.
La science va nous sauver in « extrémiste » ( j’en viens à me décultiver afin d’écumer les mensonges qui traînent dans l’Histoire), tout porte ( de garage) à croire que demains nous boirons l’eau de l’eau qui a été filtrée par nous d’abord… Et par d’autres, en suite et à la suite… On formera un cordon d’eau tous liés… Menés par l’eauligarchie ὀλιγαρχία / oligarkhía, dérivé de ὀλίγος / olígos (« petit », « peu nombreux »). (1)
Il faut s’y préparer. Dans certaines parties du monde, les eaux usées, dont celles des chasses d’eau, sont filtrées et traitées, au point de devenir pures et claires comme de l’eau de roche. Si ce n’est plus. La perspective n’est pas réjouissante, mais l’eau recyclée est saine et a le goût de n’importe quelle eau, en bouteille ou du robinet. Comme l’explique la BBC, il faudra la boire un jour. Buvons l’eau des toilettes
Comme de l’eau de roche? S’il n’y a plus d’eau de roche, comment on fera pour savoir qu’elle est meilleure que l’eau de roche? Mais bon! Il faudra se résigner. Car nous sommes tous des résignés passifs, , scoliosés, bousillés de la colonne vertébrale. La trouille de perdre ce qu’on a quand c’est la banque qui l’a.
Les porcs dans la matrice… ( Enfin! De ce que j’en connais…)
En attendant, je viens de saisir au passage un nouveau mode d’élevage de porcs où pratiquement tout est régulé à distance à l’aide d’ordinateurs :: la nourriture, l’eau, le lavage, le repassage, etc. Pour…. bref… Pour ne pas infecter les porcs. Ce doit être la raison pour laquelle disparaîtra un jour l’argent liquide: pour ne pas que les banquiers soient infectés. S’ils en ont eu l’idée, c’est qu’il l’ont eue derrière la tête.
Pour ceux qui aiment la douce philo, comme le dit le « proverbe »: Demain est un autre joug. Un américain (US) « cultivé », dirait: Bonne apitit »! Les champions du totalitarisme à contes gouttes (sic)…
Gaëtan Pelletier
1- Whiskypédia, le savoir en bouteille
Publié dans ENVIRONNEMENT, POLLUTION, TOTALITARISME PLANÉTAIRE
Tagué eau, ENVIRONNEMENT, pollution, Science