Archives mensuelles : mai 2009

LES ÉTATS-UNIS ET LE TERRORISME INTRA-MUROS

La « guerre contre le terrorisme » s’est transformée en quadrillage de contrôle d’une population de plus en plus lucide. Le germe de ceci avait déjà été mis en place par Bush, avec le Patriot Act, le Patriot Act 2, la loi sur les commissions militaires et les nombreux décrets qui étranglent ce qui reste du Posse Comitatus et de la Constitution.  La dystopie Obama, le cauchemar américain

Le goulag de la liberté (sic)

C’est à se demander si les Etats-Unis ne sont pas en train de devenir une prison à ciel ouvert. Après le «Yes We Can», la lune de miel est en train de se transformer en lune de fiel.

Jamais avant nous n’avions vu un recours aussi accompli envers la manipulation, la propagande, la magie de l’image et de la communication, pour vendre au public un homme qui allait prendre le relais de Bush, et participer avec lui à la course à la destruction de l’économie, des droits du peuple, et aider à la naissance d’une nation entièrement contrôlée par ceux qui ont toujours été en embuscade dans l’ombre du pouvoir. Le « changement » a été promis et a été accordé sous la forme de l’aggravation d’une anomalie de développement cauchemardesque.( Andrew Hugues).

Les étasuniens se sont fait frauder de quelque 14,3 billions de dollars. Le chômage augmente, les saisies également, et l’image de l’american dream est en train de se transformer en cauchemar :

–          Villes de tentes

–          Longues files devant la soupe populaire

–          Expulsion de jeunes et de moins jeunes de leurs maisons

–          Villes prospères devenues silencieuses et ternes

Culture de la paranoïa

La « guerre contre le terrorisme » s’est transformée en quadrillage de contrôle d’une population de plus en plus lucide. Le germe de ceci avait déjà été mis en place par Bush, avec le Patriot Act, le Patriot Act 2, la loi sur les commissions militaires et les nombreux décrets qui étranglent ce qui reste du Posse Comitatus et de la Constitution.

Le ministère de la Sécurité intérieure définit désormais comme « terroristes » ceux qui croient en la Constitution, au premier, deuxième et quatrième amendements. Les anciens combattants de retour font la cible d’un déni des droits que leur accorde le deuxième amendement. Une Terrorist Watchlist (liste des terroristes sous surveillance) de plus de un million de noms, et en croissance rapide, sert de base pour refuser aux citoyens le droit de voyager et travailler.

Obama est aujourd’hui en train de songer à l’idée d’une détention indéfinie, sans jugement, pour le citoyen étasunien. Et cela de la part d’un professeur en Constitution ! Il y a au Congrès des projets de loi pour criminaliser la liberté d’expression sur Internet grâce au Cyberbullying Act, qui pénalisera la pensée criminelle humaine. Exactement comme le Patriot Act, ça se transformera en criminalisation de la liberté d’expression politique et de toute critique contre le gouvernement.

Le « cyberterrorisme » sert de prétexte pour mettre la réglementation gouvernementale dans le dernier bastion de l’information impartiale. Washington, réalisant qu’il est de plus en plus difficile de s’en tirer avec ses ordres fascistes, s’active vers le contrôle de terrain.

Le Cyberbullying Act : le blogueur criminalisé

Sorte de fascisme qui risque de clore toute critique, ouvrant la porte à des abus

Eugene Volokh à la Faculté de droit de UCLA a donné six exemples de la façon dont cette loi pourrait nuire à la liberté d’expression:

1. Un blogueur essaie de contraindre un homme politique de voter d’une certaine façon.
2. Un journal éditorial publié sur un site pour tenter de faire  la même pression sur un homme politique.
3. Un blogueur qui ridiculise un politicien de son vote.
4. Utilisation de la langue hostile dans un courrier électronique à une entreprise qui a fourni un produit de mauvaise qualité.
5. L’utilisation d’Internet pour  boycott ( intimider ) une entreprise,
6. John triche Mary. Mary envoie des emails avec l’intention de causer la détresse émotionnelle John.

L’alternative est de transformer les blogueurs et emailers en criminels. Cyberbullying Act Puts a Chill on Free Speech.

C’est dans cette anomalie de développement cauchemardesque que se trouvent les États-Unis aujourd’hui, et chaque jour amène de nouvelles atteintes contre la liberté et la raison. La structure du contrôle total de la population, de l’économie et des médias, est en cours de développement dans le cadre de l’inflation incessante du pouvoir gouvernemental. Obama est assis au sommet de son nouvel Empire, toujours souriant de manière peu sincère à en être écœurant, entouré de ses courtisans aguerris, qui travaillent depuis des décennies à faire entrer les États-Unis dans cette nouvelle ère du nouvel ordre mondial. .  La dystopie Obama, le cauchemar américain

La surpêche des banquiers: USD $ 9 000 000 000 000.

L'arnaque

« Entre le leurre et l’argent du leurre, il faut choisir »
Dicton militaire

Miroir aux alouettes :

Cette expression vient tout simplement d’un type de piège qu’utilisaient autrefois les chasseurs pour attirer certains oiseaux, dont les alouettes.
Composé de morceaux de bois garnis de miroirs, ce piège, lorsqu’il était agité, provoquait des reflets brillants qui attiraient les oiseaux que les chasseurs n’avaient plus alors qu’à capturer au filet ou à abattre au fusil.

Un oiseau à la volette…

On dirait que les masses sont devenues les proies favorites des grands chasseurs financiers. Leurs techniques pour s’emparer des richesses de pays se  sont affinées par … l’hypocrisie.   Les conquérants arrivaient dans les pays du «nouveau monde» avec une arme très dangereuse : le miroir. Il effrayait qu’en même temps il finissait par sans doute éveiller la vanité endormie du sauvage qui allait bientôt subir le buldozer évolution.

La confession

Le 3 mars 2009, j’écrivais un billet intitulé Les tueurs à gages de l’Humanité. Je croyais avoir inventé l’expression, ne connaissant pas le livre de John Perkins  Confession of an Economic Hit Man . Bien que critiqué dans certains passages ou détails, le livre demeure dans le fond véridique, et montre clairement qu’il y a eu conspiration pour extorquer des milliards de dollars aux pays pauvres à travers le monde en leur prêtant plus d’argent qu’ils ne pouvaient rembourser pour ensuite prendre le contrôle de leurs économies.

Écrit en 2004, cinq ans plus tard, la confession de Perkins semble non seulement plus plausible, mais sous certains aspects, les méthodes utilisées étaient même répandues à travers les astuces financières jusqu’au centre même des Etats-Unis, créant une crise financière que nous verrons plus loin.

Dans une entrevue livrée dans Democracy Now ! , le 9 novembre 2004, voici les grandes lignes de l’entrevue.

  • En gros, nous étions formés et notre travail consistait à construire l’empire américain. De créer des situations où le maximum de ressources étaient drainées vers ce pays, vers nos multinationales, notre gouvernement, et nous avons été très efficaces. Nous avons construit le plus grand empire de l’histoire du monde. Et nous l’avons fait au cours des 50 ans qui ont suivi la deuxième guerre mondiale, avec peu de moyens militaires en réalité. En de rares occasions, comme en Irak, les militaires interviennent mais uniquement en dernier recours. Cet empire, contrairement à tout autre empire de l’histoire du monde, a été crée d’abord par la manipulation économique, par la fraude, par la corruption de personnes avec notre mode de vie, et à travers les tueurs à gages économiques. J’en faisais partie.
  • Le premier tueur à gage économique était Kermit Roosevelt, dans les années 50, le petit-fils de Teddy [président des Etats-Unis – NDT] , qui renversa le gouvernement Iranien, un gouvernement démocratiquement élu, le gouvernement de Mossadegh qui avait été désigné « homme de l’année » par le magazine Time.(…) la décision a été prise de faire appel à des organisations comme la CIA et la NSA pour recruter des tueurs à gages économiques comme moi et nous faire travailler pour des sociétés privées, des sociétés de conseil, de construction. Ainsi, si on se faisait prendre, il n’y avait aucun lien avec le gouvernement.
  • Ces compagnies ensuite construisaient des réseaux électriques ou des ports ou des autoroutes qui ne servaient qu’aux quelques familles les plus riches de ces pays. Les pauvres de ces pays se retrouvaient en fin de compte avec une dette incroyable qu’ils ne pouvaient absolument pas payer. Un pays aujourd’hui comme l’Equateur consacre 50% de son budget national juste pour rembourser sa dette. Et il ne peut pas le faire. Ainsi nous les tenons à la gorge. Si nous avons besoin de plus de pétrole, nous allons voir l’Equateur et nous leur disons, « Bon, vous ne pouvez pas nous rembourser, alors donnez à nos compagnies les forêts d’Amazonie qui regorgent de pétrole. » C’est ce que nous faisons aujourd’hui et nous détruisons les forêts amazoniennes, obligeant l’Equateur à nous les donner à cause de cette dette. Ainsi, nous accordons ce gros prêt, et la majeure partie revient aux Etats-Unis. Le pays se retrouve avec une dette plus d’énormes intérêts et il devient notre serviteur, notre esclave.
  • En Irak, nous avons essayé la même politique avec Saddam Hussein, mais Saddam n’a pas marché dans la combine. Lorsque les tueurs à gages économiques échouent, l’étape suivante est d’envoyer ce que nous appelons les chacals de la CIA, à savoir des personnes qui tentent de fomenter un coup d’état ou une révolution. Si ça ne marche pas, ils recourent aux assassinats, ou ils essaient. Dans le cas de l’Irak, ils n’ont pas réussi à atteindre Saddam Hussein. Ses gardes du corps étaient trop efficaces. Il avait des sosies. Ils n’ont pas réussi à l’atteindre. Alors la troisième ligne de défense, si les tueurs à gages économiques échouent et si les chacals échouent, c’est d’y envoyer des jeunes hommes et des jeunes femmes pour tuer et se faire tuer. Ce qui est évidemment en train de se passer en Irak.
  • AG : Quels étaient vos relations avec la Banque Mondiale ?
  • JP : Je travaillais en très étroite collaboration avec la Banque Mondiale. La Banque Mondiale fournit la majeure partie de l’argent utilisé par les tueurs à gages économiques, ainsi que le FMI. Mais après les attentats du 11 Septembre, j’ai changé. Je savais que je devais raconter l’histoire parce que les événements du 11 septembre sont le résultat direct du travail des tueurs à gages économiques. Et la seule manière pour retrouver la sécurité dans ce pays et retrouver une conscience tranquille serait d’utiliser ces mécanismes que nous avons mis en place pour apporter des changements positifs à travers le monde. Je crois réellement que nous pouvons le faire. Je crois que la Banque Mondiale et d’autres institutions peuvent être changées et être amenées à faire ce qu’elles sont censées faire, qui est de reconstruire les zones dévastées de la planète. Aider, aider réellement les pauvres. 24 000 personnes meurent de faim chaque jour. Nous pouvons changer cela.

Un petit tableau

Item

Issuer / Guarantor

Amount of Outlay or Guarantee

Commercial Paper Funding Facility Federal Reserve $1,800 billion
Fannie Mae (NYSE: FNM), Freddie Mac (NYSE: FRE), and Ginnie Mae U.S. Treasury / Federal Reserve $1,650 billion
Temporary Liquidity Guarantee Program FDIC $1,400 billion
Geithner’s Legacy Loans Program FDIC $1,000 billion
Term Asset-Backed Securities Loan Facility (TALF) Federal Reserve / U.S. Treasury $1,000 billion
Term Auction Facility (TAF) Federal Reserve $900 billion
Obama Stimulus Plan U.S. Treasury $787 billion
Earmarked within 2010 budget proposal for additional bailout U.S. Treasury $750 billion
Treasury Asset Relief Program (TARP) U.S. Treasury $700 billion
Total USD international currency swap lines Federal Reserve $688 billion
Money Market Investor Funding Facility Federal Reserve $540 billion
Line of credit to FDIC supported by Bair, Geithner, and Bernanke U.S. Treasury $500 billion
Citigroup (NYSE: C) Guarantee U.S. Treasury / FDIC $306 billion
Hope for Homeowners Act of 2008 U.S. Treasury $304 billion
Fed Purchase of Long-term Treasuries Federal Reserve $300 billion
Term Securities Lending Facility (TSLF) Federal Reserve $225 billion
Economic Stimulus Act of 2008 U.S. Treasury $168 billion
Other loans: Primary Dealer Credit, etc.* Federal Reserve $138.2 billion
Paid to JP Morgan Chase (NYSE: JPM) to settle Lehman debt Federal Reserve $138 billion
Bank of America (NYSE: BAC) guarantee U.S. Treasury / FDIC $118 billion
AIG (NYSE: AIG) Bailout (excluding TARP) Federal Reserve $110 billion
Bear Stearns brokered sale Federal Reserve $25.9 billions
I’m afraid to look … Total: $13,548,100,000,000

On a égaré USD $ 9 000 000 000 000

On a égaré 9 trillions…C’était la dette il y a quelques mois… Ça ressemble à un mode DELETE sur un clavier…

Si cette prise de contrôle avait été planifiée et était mise en vigueur calmement, parallèlement à l’émission d’une autre monnaie, ce serait une solution. Faite en catastrophe, elle ne peut être… qu’une catastrophe. Et seul pourra gérer cette catastrohe un gouvernement qui suspendra les libertés démocratiques. Nouvelle Société Pierre JC Allar, Économiste et avocat

Mignon le chat.

$44,297 pour chaque américain.

$120,000 par foyer

Quand vous écouterez un anticomplotiste ou un bulletin de nouvelles, dites-vous que le chat est dans la télé, mais que dans vos vies c’est un tigre.

On adoucit comme on a adouci l’ère hitlérienne, ce «parfait» végétarien, non fumeur, non buveur.

On connaît la suite. L’Histoire se répète par le peaufinage de l’illusion.

Welcome in OUR BRAVE NEW WORLD…

At $44,297 for every American, the sum outstrips the mean annual wage of American workers. At more than $120,000 per household, the sum could have placed us well along the path to energy independence by providing a hybrid vehicle from Ford (NYSE: F), an 8 kW solar panel installation, and a small wind-powered generator to every single American household.

$10.2 Trillion? A Mere Drop in the Bucket

http://www.fool.com/investing/international/2009/03/24/102-trillion-a-mere-drop-in-the-bucket.aspx


Le phoque au coeur de la «reine»

Michaelle Jean coeur de phoque

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Le premier jour de son voyage en Arctique, la gouverneure générale Michaëlle Jean a posé un geste de solidarité envers les chasseurs de phoques en éviscérant un phoque fraîchement abattu avant d’en retirer le coeur, qu’elle a ensuite mangé cru. Cyberpresse

«Ne vous demandez pas ce que le pays peut faire pour vous…»

La représentante de la reine au Canada est  née à Port-au-Prince en Haïti, sa famille a fui Haïti en 1968, alors que Françoi Duvalier était au pouvoir. Sa famille s’est établie à Thetford Mines, au Québec, alors qu’elle avait 11 ans.

Après un baccalauréat en langues et littératures hispaniques et italiennes, elle a obtenu une maîtrise en littérature comparée à l’Université de Montréal. Polyglotte, elle parle cinq langues (français, anglais, espagnol, italien et créole). Après ses études, elle enseigne, puis travaille pour un groupe qui aide les femmes victimes de violences conjugales.

C’est pendant cette période qu’elle apparaît dans un documentaire produit par l’ONF. Des gens de Radio-Canada la remarquent et la société l’embauche en 1988. Puis, CB Television (l’homologue anglophone de la Télévision de Radio-Canada) l’engage en 1989 grâce à son bilinguisme français-anglais. Elle a animé différentes émissions, tant en français qu’en anglais : journal télévisé et entrevues, entre autres.  Michaëlle Jean.

Elle est nommée gouverneure générale le 4 août 2005.

La chasse aux phoques : du cœur au ventre

Michaëlle Jean a qualifié la chasse d’ancien rituel culturel qui, a-t-elle précisé, est pratiqué avec humanité.

Par un geste de solidarité envers les chasseurs Inuits de la région, elle n’a pas hésité à découper à  la chair de l’animal.

C’est la «reine» qui a demandé à une femme près de lui si elle pouvait «essayer le cœur».

Elle l’a dégusté, et a ensuite  essuyé,  à l’aide d’un mouchoir, le sang.

Le débat : qui veut la peau de… ?

Il y a longtemps que le débat est soulevé. Madame Bardot, on le sait, s’oppose vivement à ce massacre. Les images de Brigitte Bardot, en 1977, tenant un petit blanchon dans ses bras ont fait le tour du monde, et les campagnes pour sauver les phoques ont mis à mal toute une industrie et ses travailleurs. Afin d’apaiser l’opinion internationale, le Canada établit des règlements et des quotas stricts.

Même Paul McCartney est venu «s’étendre» sur les banquises canadiennes avec son épouse pour protester.

Le documentaire : désastre économique ou écologique?

Un documentaire produit par André Fleury, et diffusé sur la chaîne Radio-Canada, Les Grands Phoques de la banquise  Les Grands Phoques de la banquise avait soulevé un tollé.

Les images diffusées le 17 mai 1964 à Radio-Canada sont bouleversantes : on y voit un chasseur dépecer un bébé phoque vivant qui continue de se trémousser alors que le couteau l’ouvre de part en part.
Les Grands Phoques de la banquise lance le débat sur la chasse au phoque aux Îles-de-la-Madeleine et à Terre-Neuve. Quelques années plus tard, Gustave Poirier, un chasseur des Îles-de-la-Madeleine, aurait reconnu avoir été payé par l’équipe de tournage pour dépecer un blanchon vivant.

La chasse au phoque se pratique depuis des millénaires par les autochtones de la région. Les Innus récupéraient la peau, la chair et l’huile des bêtes pour leurs besoins. La chasse massive au blanchon débute à la fin des années 1950, avec l’engouement de l’industrie européenne de la mode pour la peau blanche des bébés phoques. Les méthodes de chasse se transforment, les barques des chasseurs faisant place à des chalutiers européens dont les méthodes ne sont aucunement contrôlées.

La chasse est cruelle. L’économie, on dirait, l’est également.

Le geste de notre «reine» soulèvera certainement des débats…

Ou des haut-le-cœur…

Au petit jardin de la peur

LA SOLUTION CARICATURE

100% moins…Jésus

Le bon docteur( Nortin M. HadleR,, Le dernier des biens portants)  démontre que la peur de la maladie camoufle en fait le refus du vieillissement et de la mort. C’est ce qu’il appelle le «complexe de Mathusalem». Or, rappelle-t-il, «le taux de mortalité est de 100 % pour tout le monde». Toutes les générations précédentes étaient parvenues à appréhender avec une certaine sérénité cet inéluctable destin. Nous n’en sommes plus capables.

À la place, nous tremblons de peur. Mario Roy, La Presse, La culture de la peur

Vous êtes sûrement malade…

La médecine et leurs représentants  sont devenus une sorte de Big Brother qui vous surveille au cas où vous seriez malade. À force de vous afouiller on finit toujours par trouver des grenailles de «non santé». Une surveillance incessante que l’on nomme «suivi», qui hélas se transforme peu à peu de peu à peur…

On vous suit. Et de près…

Après quarante ans de vie, on vous fabrique une brochette de «possibilités» parce que vous boitez, ou bien que vous avez mal à un rein après avoir soulevé votre plat de céréales.

En fait, vous n’êtes pas vraiment malade, mais vous finissez par avoir tellement peur de l’être que vous devenez malade de…peur.

La culture des étiquettes de produits

Dans un autre livre non traduit Worried Sick, l’auteur souligne que même manger devient une corvée… Tout est cancérigène.

De sorte que lorsque vient le moment de manger, quasiment à chaque jour, chacun d’entre nous se met à la «culture des étiquettes de produits». Et les fabricants de nourriture, avec leurs injections de d’oméga 3, sabrent dans le sel et dans le gras leurs produits usinés.

Parfois en trichant…

C’est ainsi que j’ai découvert que pour attirer le «malade en devenir» certains affichent des taux de sel inférieurs en réduisant la dimension du biscuit. Ou bien on sabre dans le gras en… ajoutant du sel. Ou bien du sucre camouflé…

Quant aux   additifs alimentaires, la liste est longue et  «interrogeante» : édulcorant, émulsifiants, enzymes, gélifiants, stabilisants, etc. Et je vous passe les noms scientifiques qui font loucher. Ascorbate de sodium, etc. Toute la famille de ces additifs écrits en si petites lettres, qu’après la quarantaine vous ne pouvez plus les lire.

Vous êtes malade…

Courez chez l’optométriste, mais pas trop vite, vous pourriez être poursuivi par un cardiologue.

Le rat de cabinet : le commerce de la vulnérabilité

Quand un patient entre dans un cabinet, il a l’impression de descendre au rang des rats de laboratoire. Vous n’avez plus aucun droit : ni de ballonner de l’estomac, ni de présenter une ossature infidèle à la «parfaite».

Du nez croche à la scoliose, il en dépend du savant devant vous, qui vous parlera en latin, une langue morte… Comme vous plus tard…

Vous êtes un mort en puissance.

Ou un puits à creuser pour la curiosité du disciple d’Esculape

Nous sommes tous agressivement  médicalisés.  Des milliards de dollars sont dépensés dans la commercialisation de la vulnérabilité. Insomnie, tremblement des jambes,  fatigue, tristesse, rots,  éructations, un , et bien plus médicalisé , afin que la prise de la pilule devienne nécessaire. La vie en général est médicalisée, c’est un champ de mines. Le poisson est bon pour vous, sauf si il ya trop de mercure. Cette année, si vous nourrissez votre enfant margarine vous êtes un criminel, l’année dernière, c’était le beurre. Les milliards sont  dépensés sur des produits «neutralisants» biologiques  sans véritable avantage pour le consommateur. C’est sans fin, à moins que vous appreniez  à poser la question critique. Est-ce la preuve fondée sur la promotion de la santé ou le marketing? Interview, Dr Hadler (Traduction de l’auteur)

Les trois 20

Le système de santé fonctionne ainsi : il faut 20 secondes pour écrire une prescription, et 20 minutes pour faire un diagnostic.

Sinon le médecin serait pénalisé financièrement, et les autres patients aussi : ceux en attente après la longue file pour avoir les résultats de multiples tests… Au cas ou…

Toutes les maladies on une cause… Même celle que vous n’avez pas encore.

Alors – par expérience – nous savons tous qu’on épluche notre «mode de vie» jusqu’à découvrir le noyau de votre conduite malsaine.

Que celui qui n’en a pas lance la première pilule…

On en rajoute : la culpabilité.

On vous a dit qu’un verre de vin était bon chaque jour. Alors là, ce n’est plus vrai. On ne vous demande pas le plaisir que vous avez eu à le prendre…

Tous les plaisirs sont devenus dangereux.

Dans quelques années on vous obligera à porter un casque pour faire l’amour… Au cas où dans vos ébats vous tomberiez en bas du lit.

Surtout, si dans cette période ou le temps c’est de l’argent, vous n’avez que 20 minutes pour … le plaisir.

L’aventure de la vie

«Ou la vie est une aventure, ou elle n’est rien» disait Helen  Keller.

Helen Keller est née en 1880 dans une petite ville rurale d’Alabama. Fille du capitaine Arthur Keller, militaire en retraite, éditeur de journaux, et de sa femme Kate, Helen fut victime, vers l’âge de 19 mois, d’une maladie infantile diagnostiquée à l’époque comme « fièvre cérébrale » (plus probablement une scarlatine) qui la laissa sourde, muette et aveugle. Helen décrira plus tard cette période comme un « no world » (non-monde), un univers noir et silencieux dénué de toute communication

humaine. Ce fut en avril que Helen comprit, pour la toute première fois de sa vie, le sens d’un mot. Annie, tout en versant de l’eau froide dans la main de son élève, épela sur la paume de cette dernière le code alphabétique « water » (eau). Helen comprit enfin que ce code nommait la chose froide qui coulait entre ses doigts : le « no world » venait de voler en éclats.  Helen Keller

Helen Keller étudia à la faculté de Radcliff College et devint la première personne handicapée à obtenir un diplôme.

Elle ne pouvait  pas lire les étiquettes et ignorait que le poisson contenait de l’Oméga 3…

Elle a pourtant vécu presque 88 ans.

Elle eut une rencontre avec le président John F. Kennedy juste avant sa mort et déclara alors ne pas se souvenir du nombre de présidents qu’elle avait rencontrés au cours de sa carrière.

Elle était probablement malade…

Henri-Paul Rousseau et les gros Cul-I

PIERRE FOLGIA

Je ne sais pas si vous lisez la section insolite de La Presse. Hier, ou avant, il y avait un gros tas qui a été acquitté d’avoir tué  sa femme en l’écrasant. Il était bègue et gros. Il s’est disputé avec sa douce  parce qu’il l’empêchait d’écouter une chanson d’amour.

Alors! Plouf! En tombant sur la fragile, il l’a  tout simplement désossée en lui faisant craquer sa masse osseuse comme un craquelin de calcium.

Triste!

Elle est décédée un peu plus tard. Fragmentée comme le cerveau d’un financier.

Le «gros», un allemand, a été acquitté.

Le H.P.R. Horse Power Rousseau

On dit qu’il a passé six heures sur la sellette.

C’est un costaud M. Rousseau.

Il a passé beaucoup de temps à choisir son fauteuil.

Il devait expliquer la perte de 40 milliards de Pipi Caca. Ou PCAA.. Je ne sais connais pas la grosseur du tuyau des égouts de Montréal, mais disons que certaines gens ont dû pomper leur toilettes après le spectacle.

Six heures assis.

Moi, j’ai le temps de lire À la recherche du temps perdu. Quand on en aura fini de guatanamiser le monsieur, il n’en restera rien.

Rien parce que le cirque est un show où les éléphants tournent en rond pendant que les souris tentent   de lui mordiller les mollets.

Le vélo arabe

Qu’on questionne où qu’on réponde, ils sont tous sur des bicyclettes stationnaires.

Les PCAA c’est comme vendre un vélo que l’on a acheté à crédit et que l’on revend très vite à un amateur de vélos.

Après 10 ventes, on ne sait plus trop d’où vient le vélo.

Alors on demande à la banque qui a prêté l’argent.

Réponse : on l’a acheté d’un conseiller en placements de vélo.

Alors, la banque dans le rouge, demande de l’argent aux gouvernements.

Nous.

Comment voulez-vous que Gertrude qui s’est acheté un trois roues pour aller à l’épicerie connaisse la provenance de son vélo?

Même P.H.R. ne le sait pas.

La grippe

J’ai reçu un email d’une dame qui me demande comment soigner sa grippe avec le tamiflu.

Si vous êtes à même qui avez acheté la bicyclette, n’avalez pas ce produit. Parce qu’après dix recherches, je me suis rendu compte que le Tamiflu était la propriété d’un certain Donald Rumsfield.

C’est ça le problème des gros Cul-I : ils nous font chier.

LA CULTURE DU MARAIS-CHIÉ

Maraîchers :

Nom donné aux jardiniers qui font spécialement la culture des légumes.

L’éducation :

Quand elle ne génère pas de pouvoir pour celui qui s’éduque,

elle n’est rien d’autre que du colonianisme intellectuel et technique.

Marcel d’Amboise, L’arbre et L’écorce, 1988

Je me demandais pourquoi j’avais un petit sourire en coin  en lisant des commentaires sur   Agoravox – là où le plaisir décroît avec l’usage – là où la culture des marais côtoie celle des  terres fermes. Là où plusieurs font leur marque en avatars, cette nouvelle pisse qui circonscrit un territoire intellectuel, par une image empruntée.

M. Pierre JC Allard, dans son billet Et alors, ces subprimes? Essayait de défendre son article et quasiment son œuvre.

Avec raison.

Nouvelle Société, n’est pas l’œuvre d’un hurluberlu.

Il est toutefois difficile, dans un contexte où le baffle et le risible se côtoient,  d’avoir des discussions sérieuses.

Les «intellectuels» d’aujourd’hui sont nés d’un marais…

Les dirigeants se rallient à créer des barrages pour endiguer les courants et donner – je dis bien donner- à tous les récipiendaires sortis des universités ou de nulle part, une prolongation de crédits à critiquer.

De sorte que la critique l’emporte sur l’observation et le raisonnement. Qui plus est, liée à un esprit latin un peu fiévreux, risque de se liquidifier davantage.

On ne peut critiquer une idée si on ne l’a pas lue, ou bien si on en a fait un survol.

Et encore…

Si l’auteur dit que le capitalisme est mort, il reçoit un commentaire style : le capitalisme est mort, vive le capitalisme.

Il vient de créer la pensée en mp3.

Utopia : l’hydroponie en serre

Qualifié d’utopisme par un intellectuel qui se dit d’avoir écrit deux ouvrages, le terme utopisme lui-même a perdu son sens : il étouffe l’action.

Mais d’où vient cette bulle d’intellectuels soudains, grand défendeurs d’idées?

De la société des marais.

Celle qui distribue les diplômes, les idées, aux fins  babelliques : pendant que le peuple se divise, l’État totalitaire sophistiqué fait sa culture hydroponique  C’est une eau sale, où baignent les crapauds de la finance et  du pouvoir. En même temps que cette verdure diplômée et vaniteuse fume de ces exhalaisons qui les gonflent. Elle a la certitude d’agir… En fait, cet aristocratique diluant se livre à une mission inconsciente :

Elle dilue.

Elle tue même toute idée qui pourrait faire progresser l’Humanité.

Un moulin à vent qui fonctionne à l’eau.

Belle brassée!

La bulle du «savons»

Ce ne serait pas trop dangereux si notre citoyen était au parfum des odeurs écœurantes de ce pseudo javellisé à col blanc.

Non.

Il est «savanté» de ces rubicubes  qui ont fait le délice des intellectuels des années 70.

Essayer d’être intelligent en plusieurs dimensions.

h

Le contrôle et la manipulation économiques ne sont rien à côté de celles des connaissances et de leur organisation.

On nous a bernés en nous disant que c’est la somme qui compte. Or, ce n’est pas la somme, c’est le dépouillement et la clarté.

On a contrôlé notre citoyen par le crédit, on l’a manipulé, mais pis encore, on l’a clouté en manipulant son savoir.

La culture a été confondue avec compréhension. Avoir un bagage de connaissances ne signifie pas savoir : il faut l’organiser. On nous a appris à l’organiser, mais on ne nous apprend pas à nous dépouiller et à sabrer. On nous apprend à additionner les couches…

Un autre problème…

Une fois qu’on a organisé ses connaissances, et qu’on leur a attribué une forme et des agencements de couleurs, on pense avoir passé le test.

C’est bien là le drame : Elvis et Staline finissent par se rejoindre.

On peut tout faire avec le «mode intellectuel».

Il n’y a pas de limites.

Le cerveau est un organisateur fabuleux.

Et l’égo est un jouisseur dangereux.

Sortir du rubicube

Pour se dépêtrer et sortir de ce marais visqueux – ou le cerveau prend plaisir à nager – il faut se défaire de l’idée de notre doute n’est pas confondu avec la foi.

Sinon, on risque d’être un chié du marais, hautain et prétentieux.

Le but de la vie n’est que le bonheur. Si relatif soit-il. Mais également de la paix de jouir de ce monde où les oiseaux se promènent en bancs dans le ciel.

Poésie que tout cela?

Le rubicube n’est qu’une puce bien logée dans votre nombril.

Il vous a même appris à tuer les ouvriers à l’œuvre du Pays de l’Utopie.

Si vous persister à les tuer, c’est que vous êtes bel et bien «déjà dead». Car ils n’existent pas pour un monde parfait, mais un monde meilleur.

Et cela passe par  vous. Vos racines, la graine de ce que vous êtes.

C’est la graine qu’il faut traiter, et non pas arroser la culture malade  de produits chimiques.

IL ÉJACULE SOUS SES AISSELLES

Les engins de recherche n’ont peut-être pas servi à faire évoluer l’Humanité, sauf qu’on se rend compte que les gens fouillent pour toutes sortes de raisons. Pas toujours élégante, mais c’est plus drôle que l’assemblée nationale.

Voici ce que j’ai découvert dans mon panneau de blog. Comment les gens ont atterris sur mes «articles» avec des recherches étranges, voire osées.

Pour leur donner un coup de pouces, je vais essayer de fouiner avec les mêmes formules, tout en espérant ne pas atterrir sur mon site.

Cette fois-ci, images et mots.

1. Recherche : la prière dans les toilettes humour

Voilà. J’ai trouvé ça. Une interrogation dans un  forum de discussion. On peut faire sa prière dans les toilettes… Mais sans ablutions…

Interrogé par Abû Dharr, l’Envoyé de Dieu désigna la mosquée sacrée comme le lieu privilégié de la prière et ensuite la mosquée de Jérusalem (al-masjid l-aqçâ). Ensuite, il a dit: “Là où vous surprend l’heure de la prière, priez car toute la terre est une mosquée”.

En se basant sur le fait que tout lieux est potentiellement un lieu de priere , il est toute a fait licite de priere dans les toilettes comme dans n’importe quel autre lieux ( église , cimetiere etc etc ).
Je préciserais pas qu’il est préférable de prier ailleurs , car evidemment les gens qui doivent faire salat a l’église ou dans les toilettes il est évident que c pas par fégnantise d’aller a la mosquée qui est a 5 min…
Donc crois moi akh , tu est tout a fait dans ton droit de faire la salat dans les toilettes , et ce d’autant plus que ce lieu est propre d’apres ce que tu dis.Il est mille fois préférable de les faire a l’heure dans les toilettes plutot que
rentrer chez toi le soir et rattraper dohr asr et maghreb.
N’écoute pas les pseudo cheikh de mejliss…
Par contre , je me mouillerais pas pour ce que tu a dis  » même sans ablutions « .
Je me suis permi de répondre concernant la réponse de faire salat dans les toilettes car j’en conaissais la réponse , mais faire la salat dans les toilettes sans ablutions ( tout comme faire la salat sans ablutions d’ailleurs ) ca c’est une question de Fiqh qui me dépasse.

2. Recherche : faut t’il laver notre rat ?

Quelqu’un veut laver son rat : c’est bien, mais juste assez d’eau pour ne pas le noyer.

Un rat se lave en DERNIER recours…
Que tes rats sentent très mauvais et se grattent tout le temps n’est pas normal du tout, tu devrais aller voir un véto.

Par ailleurs, en attendant d’aller voir le véto, pour un bain, tu peux utiliser du shampoing pour chiot ou chaton, ou sinon du shampoing pour bébé.
Moi maintenant perso, j’utiliserai du savon d’Alep car c’est naturel et puis j’utilise ça pour moi aussi.
Pense à bien bien bien rincer après le bain.
Ne mouille PAS la tête de tes rats.
Fait couler de l’eau tiède dans ta baignoire, assez pour qu’ils gardent bien pied. Je te conseille de mettre des gants de vaisselle (pour te protéger les avants bras, car ils vont pas aimer).
Seche les bien.
Par ailleurs il est completement déconseillé d’acheter en animalerie les poudres et les lingettes lavantes qu’ils disent adaptées à nos louloux, ces produits pouvant s’avérer dangereux..

Sur un autre blog, je vois qu’on se lève la nuit pour nourrir la bête.

Même qu’en soignant son rat contre des tumeurs possibles, on se soigne en même temps. Aux petits soins les rats :

Voici la recette de la soupe aux rats…

Vous pouvez même en manger… Pas les rats, la soupe…

Au milieu de la nuit je prépare la soupe de midi avec des tiges d’oignons de printemps, des endives, des pommes de terres et un morceau de cou de porc. S’il en reste un peu j’en donnerai à mes rats. Les rats adorent la soupe.

Depuis que des rongeurs sont entrés dans ma vie, nous mangeons davantage de légumes. Obligée d’en avoir dans mon frigo pour mes cochons d’Inde, un légume sur deux part dans nos estomacs. Les rats en ont moins besoin, cependant je leur en donne tous les jours pour les éloigner des tumeurs, l’un de leurs points faibles, en particulier chez les femelles. Au supermarché, mettre des légumes dans mon panier est devenu un réflexe, de même que couper des légumes et des fruits en julienne pour mes rats tous les soirs. Je ne manque jamais ni de carottes ni d’endives pour mes animaux. Pour nous je varie la palette de saveurs et de couleurs, mais je leur donne les parties que nous ne mangeons pas. Avant ça m’ennuyait de laver, d’éplucher et de couper des légumes. Maintenant que j’ai pris l’habitude de le faire pour mes protégés, c’est devenu facile de le faire pour nous. Et puis après réflexion, j’en ai conclu que c’était con de vouloir préserver mes rats des tumeurs et de ne pas penser à nous en protéger nous.

3. Recherche : il éjacule sous ses aisselles

Bon! Je ne suis tout de même pas né de la dernière petite ondée… Sauf que là, j’ai le cerveau qui tombe dans le vide. Je vais demander à ma douce, demain, si je peux éjaculer sous ses aisselles… Elle va me sortir des yeux de poissons nageant dans le grand gooooooooooogle de la raison. À prime abord, c’est d’un intérêt plutôt mitigé… Sauf qu’étant une personne dite «ouverte d’esprit», je suis curieux des bienfaits de la «position».

Let’s go…. Gooooooooooooogle!

Ça alors, je suis pantois, déconfit, coi, ébahi, pétrifié…

En langage «savant» on nomme cela le «sexe axillaire»

aisselle

C’est une activité sexuelle non pénétrative, sexualité extérieure ou outercourse selon le terme américain. Une sexualité sans pénétration vaginale ou orale.

Les synonymes utilisés sont : axilisme, ou coitus-in-axilla. Un terme anglais amusant décrit cette pratique de « sexe en cornemuse » Le terme français est baiser ou foutre en aisselle.  Axilisme

Les raisons?

Les motivations de cette pratique

Les adeptes de cette pratique décrivent plusieurs sortes de motivations :

  • L’aisselle est considérée par certains hommes et certaines femmes comme une zone érogène, certains hommes trouvent dans le creux axillaire les odeurs « naturels » du corps féminin.
  • L’aisselle peut représenter une demi cavité, permettant aux hommes d’avoir de sensations nouvelles pendant la masturbation mutuelle avec leur partenaire
  • La proximité des seins féminins séduit certains hommes d’appliquer ce genre de masturbation.
  • C’est une masturbation sans risque sanitaire, aucun contact entre les fluides corporels de l’homme et de la femme
  • Pratique permettant d’éviter la défloration et de préserver la virginité hyménale.
  • Certains optent pour cette pratique comme un moyen naturelle de contraception.
  • Cette pratique bien que rare existe aussi dans les pratiques homosexuelles gays.

Pour ceux qui en veulent encore plus, allez sur le site pour y découvrir un passage du Marquis de Sade : Axilisme

Pour le reste, fouillez! Et pour les luteuses dans la boue nues gratuit 3x, je renonce…

On voudrait bien tout avoir pour rien… Mais là, on n’a rien…

Et les autres :

ameraman respire fumée cannabis

les cochon se mange entre eux

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dharavi èlastique1

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1 peau tanné d’un chouan

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