
P.S.: Écrit le 28 avril 2022. En train de se réaliser…
____________________________________________________________________________________
Poutine s’est fait piéger par sa colère, son ambition, sa vieillesse et ses analyses ratées à la manière du Caporal Adolf. Et comme l’autre, celui qui a donné énormément de fil à retordre à l’U.R.S.S., Poutine va ensevelir la grandeur du peuple russe.
Dommage! En Russie, un pays qui devrait être riche, perd son argent qui disparaît dans un groupe de voleurs. Le peuple est violé, violenté, volé, enguirlandé.
Ou bien monsieur Poutine avait un plan « élargi » … Ce qui est plus que probable. Intentions déclarées et intentions cachées…
Vive le roi!
Il fait la gloire des nouveaux arrivants: les complotistes 2. Comme tous ces gens qui ratent leurs analyses, ils mettent sur la balance, du côté qui les arrange, les arguments qu’ils étalent. Ça sent le « choisi »… Mais c’est loin d’être aussi simple que de vouloir annihiler le groupe nazi Azov. Faut-il le faire en anéantissant tout un peuple et de plonger le pays dans un catastrophe humaine?
Sans la justifier, loin de là, il faut selon le professeur «nuancer» la présence, marginale, d’un groupe comme Azov en Ukraine. Des groupes d’extrême droite, il y en a «partout en Europe», incluant en Ukraine, rappelle-t-il. «Il y en a autant en Russie qu’en Ukraine. La différence, c’est qu’en Russie, ces groupes-là sont tolérés sinon appuyés par l’État officieusement.»
Pour le professeur, lorsque Vladimir Poutine affirme qu’il veut «démilitariser et dénazifier» l’Ukraine, «il ne parle pas de démanteler le bataillon Azov, il nous parle de détruire l’armée, de renverser le gouvernement au complet et de scinder l’Ukraine».
«On est bien au-delà du problème d’Azov, qui est par ailleurs bien réel. […] Pour Poutine, tout nationalistes sont des nazis», résume Dominique Arel, qui rappelle au passage que le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, est… juif. Dominique Arel, titulaire de la la chaire d’études ukrainiennes, Université d’Ottawa.
Le mariage et la couchette
L’opération Z a démontré que les dirigeants, qu’ils appartiennent à n’importe lequel pays, ont profité du système « capitaliste mondial ». Dans ce système, il y a des ennemis politiques ou idéologiques, mais pas dans l’ouverture monétaire dont chacun peut se plaire à profiter aux profits mêmes des peuples.
L’homme de 40$ milliards ( minimum), participait – ainsi que ses proches – au grand cirque des vols et des placements planétaires.
On se marie avec son pays, mais on couche avec l’ennemi d’en face en des circonstances singulières qui font l’affaire de tous.
En affaires il n’y a que des ennemis, mais les îles et les sociétés de placements du système des banques internationales laisse les oligarques, les princes, les rois, les reines, les dirigeants de tout acabit jouer dans le grand casino planétaire.
Et on le sait…
Il est donc tout aussi hypocrite de la part de ce vieil ennemi qu’est l’Ouest de se gaver des fonds volés aux peuples pour eux-mêmes s’en servir.
L’argent n’a pas d’odeur? Il pue quand on veut qu’il pue… En cela, tout cette comédie politique aura au moins servi à nous empuantir et à dégager les étrons qui se prennent pour du miel.
Choisir son clan
Le jeu du citoyen qui se croit fin finaud et de choisir son clan trouver le « coupable ». Après avoir lu des dizaines et des dizaines d’articles sur la guerre en Ukraine, le mot « complotiste » tel qu’il était perçu il y a une décennie a pris un autre sens. La sur-information et les échanges à la recherche du bon et du méchant tourne au complotisme +. Pis encore : il a gagné du galon. Il s’est au point répandu que les écrivailleurs analyste ont créé eux-mêmes le C02. Ils l’ont gonflé et gonflé jusqu’à la dérision de sorte que les dirigeants eux-mêmes sont sans doute contents de les voir tenter de jouer au jeu de la guerre sur les sites de journaux citoyens.
Ils sont tous soulagés de voir le citoyen jouer dans ce jeu virtuel pendant qu’eux s’occupent du réel.
La mondialisation en délire
La couverture est levée sous le coup de l’opération Z. Les « ennuis » économiques déchirent cette toile d’araignée complexe mais bien faible. Nous nous pensions à l’abri dans notre petit monde clos de « pays » pour constater qu’en affaires il n’y a pas de pays. C’est ce que je dis depuis longtemps.
Elle fait ressortir également le peu de moyens que nos avons attachés à une planète souffrante du capitalisme à outrance qui martyrise la Terre. Elle a beau donner tout ce qu’elle peut, il n’y en a pas assez. Et quand il y en a, les prix enflent. Et quand les prix enflent, tout est bouleversé.
Alors, ils sortiront leur formule en deux mots : reprise économique.
La guerre : barbarie et inutilité
Quand des civilisations dépensent plus pour tuer et détruire, il faut s’interroger sur le sens de cette vie puisque nous sommes les seuls à la mener sur un vaisseau rond qui roule dans l’espace.
Il n’y a pas d’autres responsables que nous.
Mais nous sommes menés par des irresponsables autant sur le plan du grand raté de la « gestion » des écosystèmes que celui de la conduite humaine. Si tel est le mot…
Nous sommes devenus des animaux à claviers.
Et chacun en a un…
Sauf que certains ont des boutons rouges…
FINALE
Ce qui se passera est qu’il y aura deux perdants : les deux perdront leur pays.
Ce que Sieur Poutine voulait gagner il l’a gagné d’une certaine manière : une portion de territoire. Maintenant, il menace une planète avec ses armes secrètes.
Tiens! On dirait Adolf et son rêve de frapper New-York avec son V2.
La guerre durera longtemps. Très longtemps. Alimentée par les pays supporteurs et les masses de citoyens écœurés par le l’histoire répétée des massacre du vivant.
Il adviendra qu’en supposant une victoire des russes, elle ne sera jamais une victoire.
L’Ukraine ne deviendra qu’une « porte » de résistance et une occasion extraordinaire pour les dirigeants américains qui n’attendaient, au fond, en bons joueurs d’échecs une mince fente pour s’introduire et l’ouvrir afin de pénétrer enfin dans le ventre de l’ours.
Pauvre Poutine!
Il a oublié que la résistance qui s’ensuivra sera une nouvelle guerre qu’il ne pourra gagner de son vivant.
C’est dommage pour les citoyens de tous les pays. Ce sera une nouvelle souffrance et qui sait si la plus profonde ne touchera pas la Russie.
Encore.
Gaëtan Pelletier
La Vidure