Archives mensuelles : octobre 2012

The Be Good Tanyas – Littlest Birds

 

 

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Corruption à Montréal: La sortie du maire Tremblay suscite des réactions

De l’Empire (partie 1 : Annexer le monde)

 

De l’Empire (partie 1 : Annexer le monde)

 

Le marché fait la loi. L’expression nous est maintenant familière, pourtant elle reste relativement faible. Nous devrions dire : le marché fait le crime.
Si nous voulons amorcer une esquisse de résistance, ce marché organisé par une synarchie doit être mieux distingué et discriminé. Combien se leurrent toujours à frapper les mauvaises personnes, au mauvais endroit !

Nous entendons parler de mondialisation pour stigmatiser un fléau finalement vague qui nourrit les discours politiciens, les indignations carnavalesques et les doctrines consensuelles. Cette face abstraite de la mondialisation nous dissimule, de fait, la face réelle d’un empire. Un empire analysé, décortiqué, cartographié par une intelligentsia variée : parfois académique, parfois dissidente, mais unanime sur sa nature oligarchique et économico-financière.

Au début des années 50, l’impérialisme doit être compris, pour Hannah Arendt, « comme la première phase de la domination politique de la bourgeoisie, et naquit lorsque la classe dirigeante détentrice des instruments de production capitaliste s’insurgea contre les limitations nationalistes imposées à son expansion économique ». Pour la philosophe allemande la notion d’expansion illimitée était désormais seule capable de répondre à l’espérance d’une accumulation illimitée de capital.

« L’argent pouvait engendrer l’argent parce que le pouvoir, au total mépris de toute loi – économique aussi bien que morale – pouvait s’approprier la richesse ». La richesse devenue un moyen illimitée de s’enrichir, se substituant de la sorte à l’action politique. Ainsi constituée, la puissance impériale pouvait «balayer toutes les protections politiques qui accompagnaient les autres peuples et englober la terre entière dans sa tyrannie».

Alain Soral constate aujourd’hui une évolution de même nature :

L’oligarchie mondialiste, pas plus que le principe bancaire dont elle tire sa dynamique et son pouvoir, n’a de territoire ou de lieu. Cette aristocratie nomade et sans noblesse se niche partout où il y a de la richesse à capter et du profit à faire ». Encore mieux dit ailleurs : «La banque, intrinsèquement fondée sur l’abstraction du chiffre au détriment de l’humain, libérée de tout frein politique et social, et protégée de surcroît par son invisibilité politique et médiatique devenant progressivement – compte tenu de sa logique même – pure prédation et pure violence ».

En outre, Hannah Arendt souligne qu’un pouvoir « ne peut garantir le statu quo, seulement en gagnant plus de… pouvoir. C’est uniquement en étendant constamment son autorité par le biais du processus d’accumulation du pouvoir qu’elle peut demeurer stable ».

Des bâtiments abandonnés à faire peur…

 

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CONSOMMER POUR SE CONSUMER : DORMIR COMME UNE BÛCHE

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CONSUMER :

Détruire en usant, en réduisant à rien

SOCIÉTÉ DE CONSOMMATION

Pour les opposants à la société de consommation, l’idéologie se résume ainsi : le remède à tous les désirs est de les assouvir. Et pour assouvir ses désirs, il faut gagner suffisamment d’argent pour pouvoir se le permettre. Cela suppose que, dans cette idéologie, tout est mercantilisable. (Source)

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Du papier-cul à la poésie

La consommation est une nécessité de la vie quotidienne.

L’évolution est la libération de l’être humain de la faim, des maladies, et des besoins dits primaires.

Une fois ces besoins assouvis, une aléatoire délivrance de la maladie, des accidents, des malheurs quotidiens, il advient alors ce qu’on pourrait nommer le luxe. Mais un luxe nécessairement matériel, mais le luxe pour l’humanité de s’élever, penser, réfléchir et créer.

Et vivre en harmonie…

Dans un monde idéal.

 

L’avidité : un sport «mondialiste»

Pour le citoyen, l’offre dépasse la demande. Mais pour une élite de dictateurs, addictés au pouvoir, à la richesse démesurée, au contrôle, notre citoyen se voit perçu comme la bûche pour surchauffer ce poêle qui n’aliment plus notre Homme, mais le brûle.

Ce n’est pas le citoyen qui invente et crée la surconsommation, c’est le vendeur camouflé derrière l’État. Le grand souffleur d’idéologies dans une pièce de théâtre où la bâtisse elle-même  est en train de se consumer emportant les acteurs et les spectateurs.

Réduits  à rien.

Mais qui sont donc ces dirigeants affublés de cravates, s’octroyant un sang bleu de par leurs compétences, qui dirigent maintenant des États, des chefs d’États en marionnettes?

Le monde est plein de gens qui ne sont plus sages :
Tout bourgeois veut bâtir comme les grands seigneurs,
Tout petit prince a des ambassadeurs,
Tout marquis veut avoir des pages.

 

Le sens de la fable de La Fontaine : La grenouille et le bœuf.

La grenouille d’Adler

Je suis un fervent de l’œuvre d’Adler. Adler

Sa théorie est simple, mais pratique, et bien près de la vérité du comportement humain.

Le fait d’éprouver un fort sentiment d’infériorité (c’est chez Adler la notion de complexe d’infériorité) pouvait aboutir à une surcompensation sous la forme d’un effort exagéré de valorisation ou à ce qu’il appelait la volonté de puissance.

 

C’est souvent ce sentiment d’infériorité qui anime les «animateurs».

La chaîne de Ponzi

 

On cite souvent la chaîne de Ponzi dans les études économiques. Mais il est intéressant de la plaquer sur le comportement humain, tout simplement, en imaginant que chaque humain est une pièce au comportement gonflé par une série de comportements assimilés.

Une chaîne de Ponzi, dynamique de Ponzi, ou jeu de Ponzi, est un système de vente pyramidale, une forme d’escroquerie par cavalerie, fonctionnant par effet boule de neige, consistant en la promesse de profits très intéressants, financés par l’afflux de capitaux investis progressivement, jusqu’à l’explosion de la bulle spéculative ainsi créée. Ce système tient son nom de Charles Ponzi qui est devenu célèbre après avoir mis en place une opération immobilière frauduleuse en Californie fondée sur ce principe. Chaîne de Ponzi

Une chaîne de Ponzi humaine est un entrelacement d’idées, de convictions, de manière de faire issues d’une accumulation de faussetés par des dirigeants qui pour accélérer leur pouvoir ou leur richesse, se servent de cette façon de faire.

La preuve étayée est que l’accumulation de richesses mène au bonheur.

Leurs preuves : les réussites des états riches, tels les U.S.A.

Des façades, rien de plus.

Il advient donc que ce comportement en chaîne de Ponzi n’est qu’en réalité une sorte de structure chromosomique de manière de penser qui ne mène qu’à un modèle.

Ce que vend un dictateur ou un financier c’est tout simplement un modèle.

Lui.

Mais pour vous posséder parce qu’il veut vous faire accroire que vous deviendrez un possesseur.

Tout n’est, hélas, qu’illusions…

Le «farmer» de poules…et de coqs

 

Le financier laboure dans les terres vierges de la misère humaine. Mais il ne se promènera pas en vous vendant des brosses. Il créera des vendeurs de brosses.

I am the way…

Il cherche à créer des oeufs pour créer des poules qui créeront des oeufs.

Notre farmer a des ambitions illimitées…

Une fois son modèle vendu, il achètera le poulailler au complet : le pays.

Mais d’une façon virtuelle. Il ne veut pas se ramasser avec un poulailler invisible. Il connaît la simplicité du citoyen et l’art d’intégrer l’honnêteté dans son système.

C’est un chercheur dépisteur de grenouilles qui se veulent de devenir bœufs.

Les Pinocchio.


 

La proie idéale : les élus.

Car sous les élus se cachent les humanistes (sic) idéalistes qui ont besoin d’outils pour concrétiser leur but et leurs ambitions. L’orgueil est une mine d’or pour les financiers.

L’outil est devenu le vendeur.

Bref, un bœuf qui tire la charrette. Le financier use de du  «fort» en en connaissant la faiblesse et l’ignorance de ce dernier.

La foi

Le financier a une religion pour vous. Il n’aime pas les vrais  pauvres, il aime les proies qui veulent se sortir de la pauvreté. Les vrais pauvres sont démunis de tout. Les moyen-pauvres sont au moins nantis d’ambition.

Il vous dira que vous n’êtes jamais assez riche. Même si vous l’êtes comparativement aux pays pauvres qui n’ont pas grand intérêt pour lui.

Le citoyen dollar

Avec lui, le citoyen est devenu une retombée économique de par ses activités. Aussitôt qu’un groupe de citoyens passe par un village, une ville, une fête, il est classé dans la colonne des actifs et vu comme un enrichissement de la société.

On multiplie alors les «fêtes» pour activer et détrousser dans le plaisir le citoyen.

La «doctrine» est à ce point répandue que tous les petits villages du monde y ont adhéré.

Les fêtes s’enfilent alors à l’année, l’une n’attendant pas l’autre, pour le plaisir, ce luxe d’une humanité bien malheureuse.

Le plaisir est souvent un bonheur ramené à la grenouille.

Cette manière de faire n’est hélas qu’une nouvelle religion.

Faire le vide aux plaines…

Si on vous invite à participer aux fêtes de la bataille des Plaines, c’est qu’on vous veut festifs.

Est-ce qu’on veut votre bonheur ?

On veut sans doute vous faire oublier que vous êtes malheureux. Mais on veut surtout attiser l’économie par votre propre vide de l’existence.

La crainte s’achète comme la pauvreté  des pays d’Afrique. La crainte, la peur sont comme les 0 à la bourse. Ils sont rachetables et deviennent rentables.

Le malheur créé par les marchands de bonheur est un puits encore plus profond qui leur permettra de vous vendre des cavités qui sont comme des œufs de poisson : en pondre des milliers pour ramasser dans leurs filets quelques centaines de poissons.

Mais la récolte est toute de même bonne.

Mais la récolte des financiers n’est jamais suffisante.

Les poêles à bois

La société c’est comme le problème des poêles à bois à Montréal. Ça pollue, certes. Mais pourquoi ne pas l’avoir dit il y a dix ans ?

Probablement qu’on vous veut tranquille devant un écran de télévision avec un DVD qui simule des flammes et des crépitements.

Mais Montréal a un problème : 20 à 30 citoyens par jour apportent leur vieil appareil de télévision aux rebuts.

Alors vous aurez le poêle à bois en HD pour vous consoler du vrai feu.

Pourquoi alors un feu de cheminée dans un écran de télé ?

Le vendeur, les élus achetés par les vendeurs, ne veulent pas que vous vendre le vrai confort : ils veulent vendre l’illusion du confort et du bonheur.

Ils veulent VOUS posséder et tout contrôler.

On se contrecrisse d’une approche humaniste, pour eux vous êtes une bûche virtuelle qui ne ressent pas de douleur en se consumant.

Si oui, ben il y a la relève de l’industrie pharmaceutique qui vous fait brûler comme des lampions – chimiquement- dans une église de vendeurs du temple.

Ce n’est là qu’un infime chaînon parmi tant d’autres d’un monde de la haute finance qui s’apprête à privatiser les pays.

Essayez maintenant de dormir comme une bûche…

Après tout, on a fait de nous du bois.

Sauver le Québec? C’est artésien…

La privatisation des services de l’eau, notamment en Grèce et au Portugal, est l’une des conditions imposées dans le cadre des plans de sauvetage. Cette privatisation est vivement encouragée par la Commission européenne. Ce qu’elle reconnait explicitement dans un courrier fin septembre adressé à une large coalition de mouvements citoyens qui l’a interpellée sur le sujet. La privatisation des services hydriques peut « contribuer à la réduction de la dette (…), accroît les performances des entreprises, et, par extension, la compétitivité de l’économie, en rendant attractifs les investissements directs étrangers », répond une haut fonctionnaire de la Direction générale des Affaires économiques et financières de la Commission. Sophie Chapelle, Bastamag

Privatiser l’eau?

C’est encore donner au privé mondialiste la plus grande richesse  que possède le Québec.

On a tenté de privatiser l’eau dans certains pays… Ce fut un échec.

Au contraire, pour sortir le Québec du pétrin économique dans lequel il est « noyé », il faut nationaliser l’eau.

Bon! Le Québec n’est pas la France, mais il pourrait servir à transformer l’eau en vin. Jésus l’a fait aux noces de Cana-…Da! ( je parle russe, mais la nuit seulement). Ensuite, il a multiplié les poissons. Tellement qu’en vérité, le secret enfin dévoilé, il ne marchait pas sur l’eau, mais sur les poissons…

Les sous produits

D’ailleurs, Coca-Cola s’inquiète de son approvisionnement en eau pour remplir ses cannettes et ses bouteilles, et ses coffres…

Tout est à base d’eau :  Le pain, Einstein, Sarkozy, Harper, Madonna,  la bière, les boissons énergisantes,  les perce-oreilles, et les bouteilles d’eau…

Exemples de bouteilles d’eau parlantes :

Gérald Tremblé

Il se liche les babine pour boire la sueur qui lui coule sur le front. Manque d’eau!…  Mais en s’évaporant de nervosité, il crée des nuages qui iront vers la mer. ( Snif!). Ainsi, il sert à quelque « chose »…

L’ubiquité à portée de la soif

L’eau est un composé chimique ubiquitaire sur la Terre, essentiel pour tous les organismes vivants connus. C’est le milieu de vie de la plupart des êtres vivants. Wikiwiski

Non, ce n’est pas une paire de fesses! C’est le composé de cet or translucide que voudront nous soudoyer le néolibéralisme et la pègre.

Comme le soulignait le cégépien  élevé au nouveau système d’éducation des pays en voix de développement : « Agissons avant qu’il ne soit trop tord ».

Bush avait raison : « Notre avenir dépend du futur ».

L’eau améliore la courbe des naissances

Au début de notre mariage, ma conjointe et moi lavions la vaisselle avec une lavette et un évier. Un jour, pendant que je travaillais dans un magasin général – avalé par les Wall-Mart et Cie, depuis,  – je découvris un lave-vaisselle dans l’entrepôt.

Le propriétaire, riche, l’avait tout simplement remisé là parce que son épouse se plaignait qu’il était trop bruyant.

Je l’ai acheté. 50$.

Comme disait Proust : «  Ma femme et moi, n’ayant plus à faire la vaisselle, surpris par ce moment de travaux forcés, nous nous mîmes à l’amour. De sorte qu’il en sortit un premier enfant au bout de neuf fois. Et moi, neuf…! Nous répétâmes le coup du lave-vaisselle quelques mois plus tard. Nous eûmes l’idée saugrenue de nommer notre enfant « Lave-vaisselle ». Nous nous tordions de rires. Autant de plaisir!  Kitchen-Aid, Général Électric, Whirlpool, Indésit, Hotpoint… etc, Nous nous postillâmes de rires jusqu’à ce que la dame saisit le manuel d’instruction.

Nous nous écrièrent en cœur :

Manuel

Nous fîmes bien, car le fils est aujourd’hui épousé à une sud-américaine.

L’eau, c’est de l’amour, de l’argent et du plaisir garanti. »

Fin du Proustisme…

Nous avons de l’or sous nos pieds, sans que nous le chassions

Au lieu de tuer les cervidés l’automne, le québécois vert s’adonnerait à la chasse à l’eau. Il y penserait trois fois avant de tirer la chasse d’eau pour un pipi du cubisme d’une éprouvette en lançant son 5 litres d’eau, laisser ainsi aller une mine d’or.

Écervelés que nous sommes!

Le rôle de l’État

Eau lieu de tirer profit des vices des gens qui boivent, fument, et jouent au Casino, à la loterie…

( C’est étrange , j’avais pas remarqué que l’État avait « nationalisé » nos vices au lieu de nos vertues… La trilogie achevée : fumer, boire, et jouer.)

L’État, allais-je dire, pourrait exporter en baril de 45 gallons U.S. cette riches qui nous coule entre les doigts.

Une nouvelle forme de société québécoise  pourrait être crée : « Lavab-Eau ».

Comme dirigeant de la nouvelle société, je suggérerais Monsieur Justin Trudeau. Parce qu’il est B-Eau. Salaire : 2.2$ millions par an. C’est le salaire d’une caissière en mouvement…

***

Bref, pour sortir le Québec noyé de dettes, celui-ci étant à sec et, selon M. Béchand, dans le trou, il suffit de creuser encore plus…

C’est artésien!

Gaëtan Pelletier

30 Octobre 2012

Portraits d’Afrique

Publié par Saby Des yeux pour voir
Photographe :  Mario Gerth

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La corruption à Montréal

 

Gaëtan Pelletier , Octobre 2012

Le féroce aigle de tête fourchue

 

Les capitalistes des États-Unis, qui se sentent « élus » par un Dieu qu’ils ont créé à leur image et ressemblance, considèrent qu’ils doivent dévorer le reste de monde. C’est un establishment unique, un oiseau rapace à deux têtes. Leurs divergences internes se bornent à savoir si la planète doit être mangée en mi-crue ou lentement bouillie et avec l’assaisonnement collant de la rhétorique démocratique. Nous, les participants au festin mais en qualité d’aliments potentiels, n’avons pas beaucoup de motifs pour d’opter pour une des deux méthodes ni pour leurs cuisiniers cannibales …

Par exemple, le Prix Nobel de la Paix Barack Obama – qui partage ce Prix avec d’autres bijoux, comme Theodore Roosevelt (celui de la guerre de Cuba et des Philippines), Chamberlain (celui de Munich), Kissinger (celui du coup de Etat à Pinochet parmi tant de méfaits), Begin, Rabin et Shimon Peres (assassins de palestiniens), et l’Union Européenne, (participante à la destruction de la Yougoslavie et aux massacres en Libye) – continue de bombarder quotidiennement des cibles civiles au Pakistan et en Afghanistan sans que ne bouge même un cheveux. Pour sa part le gouverneur Mitt Romney, petit-fils d’un mormon émigré au Mexique avec toutes ses femmes à cause de la persécution religieuse, propose sans gêne une politique de rejet plus active des immigrants, un fondamentalisme religieux de croisé et une politique internationale encore plus agressive.

Les deux ailes du capitalisme étasunien coïncident totalement sur la partie stratégique bien qu’elles aient des différences tactiques. Celle du Parti Démocrate, qui défend le grand capital financier mais essaie, en même temps, de maintenir grâce à quelques allocations le marché interne, s’affronte à l’autre, celle du Parti Républicainqui nie jusqu’à l’évolution des espèces bien qu’elle soit darwiniste sur le social mais les deux défendent à mort le système capitaliste et l’impérialisme étasunien, son fer de lance.

C’est pourquoi dans le débat (pour le nommer ainsi) entre les candidats des deux partis, les deux ont seulement parlé « de la classe moyenne » (euphémisme avec celui qu’ils se réfèrent à un système qu’ils supposent qu’il soit seulement composé de chats gris où les chats obscurs d’égout – les travailleurs – ne s’opposeraient même pas en rêves aux chats blancs et fins d’angora – les grands capitalistes). C’est pourquoi ils n’ont pas parlé, non plus, de comment en finir avec le chômage, ils n’ont pas dit ce qui pourrait être fait pour les prisons remplies presque exclusivement de noirs et, dans une proportion moindre, de Latinos, ils n’ont dit mot sur les contenus réactionnaires de l’éducation, ni sur l’alimentation, dans un pays d’obèses et de diabétiques à cause d’une mauvaise nutrition et d’un niveau de culture limité, ni sur la vente libre d’armes de guerre et le commerce de la drogue le plus vastes du monde, historiquement financé par la CIA, comme en Asie, en Sicile, lors de la guerre au Nicaragua. Aucun d’eux n’a non plus mentionné les centaines de milliers de morts provoqués par les guerres impérialistes, comme celles de l’Irak, de la Yougoslavie, de l’Afghanistan. Aucun de deux ne s’est référé à la crise mondiale provoquée par le système capitaliste, mais que paient des centaines de millions de travailleurs, ni aux banques et aux grandes entreprises qui se sont fait soutenir avec l’argent des contribuables, ni ils ont offert de plan pour alléger le chômage et la pauvreté qui affectent gravement des millions de citoyens aux États-Unis.

A l’ échelle mondiale n’ont pas manqué les âmes candides qui, quand Obama fut choisi, ont cru qu’il diminuerait le racisme et que les États-Unis seraient plus démocratiques au niveau interne et qu’ils se retireraient de leurs aventures externes, où ils ont été battu. Ils sont oubliés que le Gouvernement des États-Unis, ainsi que les deux partis qui se relaient à la Maison Blanche et pour contrôler le Parlement, sont dirigés par de grands groupes capitalistes ayant des intérêts à l’échelle mondiale et qui partagent la même vision et mission impérialiste. En effet, le prix Nobel de la Paix Theodore Roosevelt a envahi le Maroc ou Cuba quand il en a eu l’envie, tandis que son descendant, le « démocrate » Franklin Delanoë Roosevelt, a permis que les japonais coulent la flotte du Pacifique à Pearl Harbour pour obliger les citoyens à participer à une guerre mondiale dont il espérait tirer un profit impérialiste et avec laquelle il espérait transformer son pays en première puissance économique mondiale grâce à une « pax américana » obtenu avec des morts européens et asiatiques et aussi le « démocrate » Harry Truman a balayé sans hésiter par des bombes nucléaires toute la population d’Hiroshima et Nagasaki et a établi ainsi les bases de l’ « ordre » de l’après-guerre que nous connaissons et dont nous souffrons.

Nous , les victimes de l’aigle à deux têtes avons, par conséquent, non seulement intérêt d’éviter les illusions stupides de certains sur Obama ou l’espoir de ce qu’aux élections des Etats-Unis triomphe un supposé moindre mal parce que, si le président est réélu, la situation économico-sociale et les efforts pour soutenir le régime capitaliste en crise pourraient le mener à recourir aux méthodes extrêmes que son adversaire propose et, vice versa, si celui-ci gagnait, il devrait prendre en compte ce qu’il se passera dans la société des Etats-Unis et, par conséquent, partiellement modifier sa politique.

Les élections en Yanquiland sont en réalité encore une preuve que la concentration de la richesse a éliminé les bases même de la démocratie formelle dans le monde et surtout dans un pays où depuis plus d’un siècle il n’y a pas de gauche anticapitaliste importante. Par conséquent, il est fondamental d’essayer d’aider par tous les moyens les travailleurs et les opprimés des États-Unis pour qu’ils en finissent avec leurs illusions sur le capitalisme et assument une position politique indépendante en donnant une forme politique au rejet des indignés et de toutes les victimes du système. Notre lutte contre les magnats de Wall Street, n’est pas seulement fondamentale pour notre libération, mais elle est aussi indispensable pour cette tache, qui pourrait changer le rapport de forces social dans le monde.

Traduit de de l’espagnol pour El Correo par  : Estelle et Carlos Debiasi.

El Correo. Paris, le 23 octobre 2012

Guerre du Vietnam… comme si ça n’avait pas été suffisant

 

1La guerre au Vietnam », dans toute sa gloire" (36 photos)

 

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