Gaëtan Pelletier
Publié dans CARICATURES, HUMOUR, pour ceux qui trouvent ça drôle...
Tagué Humour
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Tagué photographies, vie, Visages d'humains
Discours de réception du prix Nobel de Littérature, décembre 1982
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Gabriel García Márquez (1927-2014) |
Le 8 décembre 1982, Gabriel Garcia Marquez monte à la tribune de l’Académie suédoise recevoir son prix Nobel de littérature. L’auteur de Cent ans de solitude y livre un discours poignant sur son continent, dévasté par la colonisation puis déchiré par les dictatures, mais prêt à se relever. Vanity Fair vous le propose dans sa version intégrale.
Antonio Pigafetta, un navigateur florentin qui a accompagné Magellan lors du premier voyage autour du monde, a écrit lors de son passage par notre Amérique du Sud une chronique rigoureuse qui paraît cependant être une aventure de l’imagination. Il raconte qu’il a vu des cochons avec le nombril sur les hanches, des oiseaux sans griffe, dont les femelles couvaient dans le dos des mâles, et d’autres oiseaux, semblables à des pélicans sans langue au bec pareil à des cuillères. Il raconte qu’il a vu une créature animale avec une tête et des oreilles de mule, un corps de chameau, des pattes de cerf et un hennissement de cheval. Il raconte qu’ils ont mis le premier en Patagonie en face d’un miroir, et que ce géant exalté a perdu l’usage de la raison, effrayé par sa propre image.
Merci à Vanity Fair
Source:http://www.nobelprize.org/nobel_prizes/literature/laureates/1982/marquez-lecture-sp.html
Date de parution de l’article original: 20/04/2000
URL de cette page: http://www.tlaxcala-int.org/article.asp?reference=12095
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Tagué Amérique Latine, HISTOIRE, SOCIÉTÉ, vie
« Finalement, avoir une attitude scientifique c’est remplacer des sensations par des concepts, et exprimer ces concepts par des mots » Albert Jacquard
Les spécialistes
C’est au 21 ième siècle qu’est né le spécialiste: celui que nul généraliste ne peut confronter dans son domaine. C’est Jésus qui produit les vaccins et ce sont les pharisiens qui les vendent. Et surtout ne tentez pas de contredire un spécialiste. Il a son diplôme au mur et y croit comme Tom Cruise avec son abri post-apocalyptique. 10$ millions…
Même chez le garagiste, quand vous entrez avec votre automobile, ces gens-là se prennent pour des « spécialistes ». Ça fait vendre. C’est plus beau que dans la bouche d’un dentiste menteur. Il y a une procédure à suivre chez le garagiste: on a divisé les tâches, et c’est propre comme une bactérie qui vient de faire une cent mètre dans sa piscine au chlore. Voilà ta médaille et la remplissure du trou béant de ta peur de n’être pas à la hauteur. IL FAUT QUE L’ÊTRE HUMAIN AIT UNE VALEUR. Et il faut que cette « valeur » soit octroyée par un technocrate patenté.
Éperdument beau! Le métal nous froisse les yeux. À part madame toute nue, c’est le second regard de ce simiesque personnages dépoilé et qui a pour vertu cette religion nouvelle qu’est la technologie. Et technologie inclue toutes les machinations et grandeurs des organismes mondiaux qui se défilent des humains pour traiter le sort du monde dans des tours à bureaux.
Titrés.
Spécialistes.
L’art de crever
Monsieur Cravate a tous les moyens pour aller se cacher dans un souterrain pendant que les pauvres crèvent. Monsieur Cravate achète la terre des pauvres, soudoie les fonctionnaires, polit les politiciens. Monsieur Cravate travaille pour vous. Après l’invention de la roue, c’est l’invention du spécialiste, sorte de cellule sociale « travaillante » mais isolée. Il a une part de connaissances, mais est aveugle de l’entièreté de la Vie.
Les guenillés armés d’un X votent. Dieu-savant les sortira de la misère.
Monsieur-Cravate est un artiste. Il sait le dessein et la peinture de l’art de la survie et de faire crever une « race inférieure ».
Le petit jardin au fond de soi: Le Baise Pascal
Techno-ci, techno ça,nous voilà réduit à une machine huilée à la complimentation élégante et fourbe comme celle du Renard qui voulait le fromage du corbeau. Mais qui donc s’en souvient?
Nous ne sommes pas techno, nous somme humains, et c’est bien plus complexe. Et là, soudain, surgit la plus grande erreur de l’humanité: dévier le plaisir vers « l’accaparement des cerveaux ». Ou des failles dans la malléabilité des humains.
Le bonheur préfabriqué
Mon grand-père se levait à 5 heures du matin pour traire quelques vaches, semer, et mangeait de son bio ignorant que c’était bio. Car les vaches vous renvoyait votre travail en pré-compost. De quoi rire…
Aujourd’hui, nos robots se lèvent à 4h30 pour aller se glisser entre des cancrelats d’acier dans des bouchons de circulation. Ils « se réalisent » par leurs emplois sans savoir qu’ils sont piégés par le cravatus.
Je sais, vous allez me dire : « Ce n’était pas très beau « dans le temps! » Que non! Mais si on avait mis toutes les énergies à combattre la pauvreté et la misère, au lieu de fournir à l’État des armes sophistiqués nous serions en santé, bio, et Big Pharma en prison.
On n’a plus froid, on n’a plus faim. Au contraire, on grossit à vue d’oeil d’un chien de « non voyant ».
Au fond, si on veut ramener toute l’existence humaine à un seul « fait divers » de nos vies, ça se résume à ceci: quand on a vécu une maladie, on prend cette vie jour après jour. Un à un. Comme un cadeau.
Et c’est ici, dans cette ère carnassière, nous sommes à vivre une maladie en espérant que nous en sortirons vivant pour vivre « au jour le jour ». Car on ne nous apprend pas à vivre, mais à crever sans que nous le sachions. Bien vêtus, bien nourris, et à la religion de toutes les formes de sciences pour la plupart destructives.
Le spécialiste ne le sait pas. Mais le généraliste, l’homme de bon sens, lui, le sait…
Gaëtan Pelletier
P.S.: Au Brésil, on a bâti un immense barrage pour fournir de l’électricité à la population. On a ouvert les valves sans le dire: les maisons ont été noyées, les poissons sont morts… Mais il y a l’électricité. Ça éclaire, ça peut faire cuire un poisson…
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Tagué pollution, progrès, Propagande
Fillette dans un landau.
On peut avoir une peau ferme, flasque, un teint cireux,un corps brisé, il reste toujours quelque chose de mystérieux: les yeux. Le reste est brisé par la mort… Mais il y a cette lumière toujours étrange et qui semble avoir un point d’éternité. Ça reste un mystère lancinant.
Pour les athées, Dieu n’existe pas. Pour les croyants, Dieu existe. Mais quelque soit la « vision » des deux, rien ne prouve qu’il existe ou n’existe pas.
Je pense que « dieu » a laissé des traces dans les yeux de ceux qui passent. Un éclat de miroir…
L’oeil est un message que peut savent lire, trop peu attardés à ces deux points lumineux plantés parfois dans un corps trop grand.
Si l’oeil est le miroir de l’âme, l’âme est le miroir de quoi?
L’oeil est le « un » du reste de l’Univers. Le fragment de la source: la lumière.
L’oeil de l’enfant: que la lumière soit! Un commencement du monde…
Je ne crois en rien. Je regarde. Je ne crois en rien. Le corps est une maison avec deux portes. L’une pour entrer, l’autre pour sortir. Ainsi va la « connaissance ». Les limites de la « connaissance » se perdent la l’orgueil.
Autant le dire: ma vie est un échec total. Je n’arrive plus à voir les gens, les choses, les créatures étranges, les bulles de lumière dans le ciel, les miroirs des flaques d’eau qui sont comme d’infimes yeux enfermés dans l’eau à travers les analyses. Je n’arrive plus à voir tout ce qui vit comme des « créatures » fixes, arrêtées. Non. Je vois tout en vibrations.
Étrange.
J’y suis arrivé, je crois, par la méthode des deux portes: en n’enfermant rien. Le « savoir » est une maison fermée, morte. Connaître est une source vivace. Saisir une idée, une religion, un concept, c’est l’enfermer.
J’ai trop regardé de papillons…
Ils volent en couleurs et semblent ne pas avoir de plan de vol. Comme la vie… Les plans ne servent qu’à créer des boîtes.
Il en est qui arrêtent de boire, il en est qui arrêtent de trop manger, il en est qui arrêtent de fumer et il en est qui ferment les portes. Alors, on risque en regardant ces épouvantails à moineaux, de ne pas se nourrir par le mouvement constant de la Vie qui change.
Je dois être mentalement malade: j’aime les chiens, j’aime les lombrics, j’aime l’ardeur des truites, les repousses aux printemps, les petits cailloux, les ruisselets, les fleuves, les rivières, les moustiques, les brins d’herbe séchés, les petits oiseaux-Mozart, nager, marcher, rire, et tout…
Et même une certaine forme de pauvreté. Je n’ai pas dit de misère…
Je n’ai jamais voulu de carrière et j’ai réussi à ne pas en avoir.
Je me suis dit – en me rappelant de tous les ténors de ma classe qui rêvaient de devenir « quelqu’un » était une une sorte de schéma social, sans plus. Et je les voyais souffrir à s’acharner à devenir les meilleurs pour devenir les meilleurs robots des sociétés modelés à l’avoir.
J’ignore pourquoi… Je me fiais à mon instinct. Simplement. J’ai bien vu que les humains étaient répertoriés et classés en étages « sociaux ». La valeur d’un humain était réglée à la valeur de ce qu’il pouvait apporter à quelque chose et non à quelqu’un.
Ce classement en a détruit plusieurs. Et ça continue… Argent, idées, intelligence. Oui, mais cela vous sert-il? Ça continue… Les gens s’enferment dans des carrières, deviennent tout fripés du corps, avec des yeux fatigués, le cerveau surchauffé, le corps brisé.
La foi « spirituelle » a été trafiquée. La foi dans les systèmes humains a remplacé bien des religions.
C’est la grande culture du « quelqu’un ».
Pourquoi se fatiguer, se tuer, et mourir pour devenir « quelqu’un »? Il n’y a pas d’étages dans la vie, ni de « supérieurs » ni « d’inférieurs ». L’oiseau vole, le vers s’enfouit sous terre.
Où est donc cette jeune fille photographiée il y a plus de cent ans?
Je me suis dit que tout le monde est une photo qui roule à la vitesse des bobines de films.
Quand le mécanismes s’arrête, fini le cinéma!
Avec nos yeux, qui sait si nous ne sommes pas venus « ici » pour filmer un peu cette vie?
Gaëtan Pelletier
mars 2012
Les retombées économiques
Je n’ai jamais rien compris à la grande mode actuelle du secouage de l’économie par l’astuce des « retombées économiques ».
Les gouvernements fournissent de l’argent à un organisateur /ou des/d’une activité pour qu’il reçoive des « retombées économiques ». On paye quelqu’un pour que les autres « quelqu’un » dépensent plus ».
Les québécois seraient endettés à 148% de leur pouvoir d’achat…
Si on faisait une étude sur le nombre de bouffons adhérant à la création de richesse par subvention et en faire un annuaire téléphonique, on pourrait tuer un mafioso en le tabassant lors d’un interrogatoire. Pas les nouveaux, les anciens…
Je parle des interrogatoires, pas des mafiosi…
Tous les petits villages du Québec ont adhéré à ce concept comme le jujube du petit administrateur qui fini par comprendre quand faisant tourner l’argent en rond, on finissait par le gonfler jusqu’au réel.
2+2= 5
La piscine
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Et la façon dont fonctionne cette « approche fiable et rigoureuse » est plutôt simple. Imaginez un projet de construction de piscine publique d’une valeur de 100 000 $. Les deux tiers de la somme serviront aux salaires, tandis que le reste servira à l’achat de matériaux. Première étape: nier la dépense pour la transformer en revenus – 75 000 $ iront aux travailleurs, 25 000 $, aux fournisseurs. « Ainsi, les amateurs de retombées économiques ne diront plus que la piscine coûte 100 000 $, mais plutôt qu’elle génère directement et indirectement des revenus de 100 000 $. »
Mais là ne s’arrête pas la supercherie. Il faut après tout créer des retombées. Entre en jeu l’« effet induit ». Comme le projet de piscine va générer des revenus directs et indirects de 100 000 $ aux travailleurs et fournisseurs qui vont participer à sa construction, ces derniers vont ensuite dépenser leur paie de diverses façons. Après impôts, il faut donc s’attendre à ce qu’ils « se procurent des biens et services pour une valeur de 70 000 $, une somme que la méthode des retombées économiques va s’empresser de travestir en un revenu équivalent pour les commerçants. »
Ces commerçants, on s’en doute, vont à leur tour dépenser leurs sous, générant ainsi autant de nouveaux revenus qui vont s’ajouter à la rentabilité de notre piscine. « En additionnant tous les revenus gagnés, nos calculs indiqueront que la dépense initiale de 100 000 $ génère des retombées économiques de 330 000 $ et nous en concluons joyeusement que la construction de la piscine est rentable. » Québécois libre, Gilles Guénette
La F1 et les hyophiles : le festival du cochon de Sainte-Perpétue, Qc
En vous inscrivant au Club des hyophiles, vous devenez officiellement un ami du cochon. Environ dix fois par année, nous vous ferons parvenir nos découvertes sur le cochon et nous vous tiendrons au fait des dernières actualités du Festival du cochon. Soyez les premiers à recevoir des renseignements sur le Festival, tels que la nouvelle programmation, les concours et les tirages!
En tant qu’hyophile, si vous mettez la main sur de l’information intéressante concernant le cochon, n’hésitez pas à nous l’envoyer à info@festivalducochon.com.
Devenez hyophile!
* Hyophile (ami du cochon) : Du grec « hyo », qui signifie « porc », et « philos », qui signifie « ami ».
P.S. Pour les retombées économiques, tout le monde sourit. Avec la roue indiquant le mouvement circulatoire.
Bernie 2009 : retour de la F1
Selon le dernier scénario envisagé, c’est Ecclestone lui-même qui agirait à titre de promoteur de la course. Les gouvernements lui verseraient une aide financière de 75 millions. Martin Croteau
C’est un peu cochon de blackmailler les gouvernements, sachant bien qu’ils ont calculé toutes les retombées économiques d’un tel événement ainsi que les « commodités » politiques… Aux olympiques de la politique, lancers des os aux petits caniches citoyens est une discipline établie. Mais ce sont ceux qui lancent qui ont les médailles…
Si on comptait toute les gueules qui bavent pour avoir leur « retombée économique », tous ces vertueux magiciens auraient besoin d’une bavette de bébé pour les bubulles de boubouches qui leur coulent entre les lèvres.
Les guerres des points A et des points B : déplacement
Les fonds publics que l’État investit dans des festivals, s’il les laissait dans les poches des contribuables, entraîneraient autant de retombées économiques. Ils entraîneraient une activité économique répondant davantage aux attentes des principaux intéressés, parce que fondée sur une demande réelle. Lorsque l’État subventionne un festival, il ne crée pas de la richesse, il ne fait que déplacer de l’argent d’un secteur à un autre – tout en prenant bien soin d’en retenir un peu au passage. Lorsqu’on dit que la tenue de tel ou tel événement occasionne des retombées économiques de tant de milliers de dollars, il faut simplement lire que les promoteurs de tel ou tel événement ont réussi à convaincre l’État de diriger des fonds publics vers eux.Québécois libre, Gilles Guénette
Le chapeau vient de sortir du lapin
Moi qui croyais au génie des économistes, je suis en morceaux. Je pense sérieusement à réclamer de l’aide psychologique à l’État. Comme les inondés de la Montérégie qui recevaient de l’aide de l’état sous forme de support psychologique. Ils ont besoin de l’armée, on veut leur envoyer des psychologues.
Un pro-retombée-économique, c’est un gros pataud ballonné qui veut refaire les pyramides de Gizeh avant de crever. Un fanpharaon …
Bref, étant donné que le peuple est pauvre, selon la logique, il faut qu’il dépense plus pour créer plus de richesses.
Ben là, je viens de tomber sur mes hémorroïdes.
Das solution : la Teslamobile
Le programme ACI ouvre des débouchés sans précédent aux entreprises canadiennes, comme Héroux Devtek, de Dorval, qui peuvent se tailler une place dans les chaînes mondiales qui approvisionneront les secteurs de l’aérospatiale et de la défense au cours des 40 années à venir.
Au lieu d’investir pas loin de 30 milliards de dollars, il suffirait d’implanter des installations d’énergie propre en créant des centres de conditionnements physiques à travers tout le Canada.
Le projet UAP : Usines à pédales
Outil : bicyclettes stationnaires
Énergie: humaine
Chaque bicyclette étant munie d’une dynamo, le pédaleur serait payé en Kilowatt heure.
On pourrait créer des modèles personnalisé tels qu’un mini F-35 qui pourrait voler virtuellement en pédalant.
Et pour les jeunes : une dynamo sur les planches à roulettes.
L’été? Ajout d’un compteur sur les bicyclettes avec boîte de points « Road Miles ».
Vous riez?
1) Disparition de l’obésité, ou du moins dégraissement de la masse canadienne
2) Éradication, ou du moins amoindrissement des facteurs des dangers de problèmes cardiaques
3) And many others : diabète, mauvaise alimentation, humeur défectueuse, vieillissement prématuré,
4) • Amélioration de la fonction cardio vasculaire
• Amélioration de la respiration
• Diminution du mauvais cholestérol (LDL)
• Augmentation du bon cholestérol (HDL)
• Diminution du risque d’infarctus du myocarde
• Effet stimulant sur le mental
• Perte de poids par augmentation de la consommation d’énergie (à apport calorique égal)
• Diminution du risque d’ostéoporose
• Diminution de la pression artérielle
• Amélioration de l’équilibre glycémique
TOUTES les maladies transmuées en ÉLECTRICITÉ.
C’est pas beau?
Je nommerais ce projet le CHUM 2.0
Le Centre Humanitaire Unique Mondial.
P.S : Chut! Ne le dites à personne. J’ai pensé à tout. Lors de relations sexuelles, les partenaires pourraient être munis de sensors qui emmagasineraient l’énergie dépensée.
Ah! Je vous vois sourciller…
« Voyons, l’auteur! Un piston, c’est droit? »
Bien sûr! Il faut utiliser le principe du moteur à piston qui transforme le va et vient du piston en mouvements circulaires.
L’automobile n’a pas évolué : c’est la Ford T avec siège chauffant, lecteur CD, air climatisé…
( Note : Finalement, le cheval faisait la même chose, mais il produisait du compost. En plus, le prix du foin n’était pas à la pompe. )
La bicyclette stationnaire 2.0
Pour ceux qui tiennent absolument à garder et à se gargariser du principe du chapeau avalé par le lapin, il reste la vieille méthode vue d’un angle différent :
Les brûlots de Saint-Bruno-de-Kamouraska
Pas beaucoup d’information sur Wiki. La légende dit que le village fut nommé Saint-Brûlot à cause de l’abondance des moustiques en été.
Le brûlot est un insecte carnivore. C’est une sorte de piranhas en format Mp3… Mais dans l’air.
Pour revenir à notre sujet, les retombées économiques, les 560 habitants de Saint-Bruno viennent dans les villes d’alentour pour se procurer des tapettes à mouches, des onguents, de l’alcool à friction, des moustiquaires, des trucs à la citronnade, etc.
C’est donc dire que le brûlot est une retombée économique pour Rivière-du-Loup.
C’est moche…
C’est là la preuve que les retombées économiques ne sont pas des créations d’emplois et de richesse, mais de simples déplacements coûteux. Il faut investir pour aller chercher ailleurs ce qu’on n’a pas chez-soi.
En ce sens, la seule possibilité pour Saint-Brûlot serait de créer une usine en demandant des subventions aux gouvernements.
Le petit village pourrait créer quelque 20 emplois de gens qui ne vivraient pas à Saint-Brûlot étant donné le malaise causé par les moustiques.
Néanmoins, en créant un musée du brûlot, on pourrait attirer certains visiteurs qui ne lésineraient pas sur l’huile, les bouteilles d’eau, l’essence, etc.
Je vous conseillerais d’y aller à bicyclette.
Vous n’avez pas idée de la vitesse que vous allez prendre pour quitter le village – surtout en juin – avec un essaim de ces vampires volants et la côte qui descend vers le fleuve Saint-Laurent, vous allez gagner énormément de points « Road Miles ».
On parle souvent de l’effet papillon :
« Un simple battement d’ailes d’un papillon peut-il déclencher une tornade à l’autre bout du monde ? » De toutes petites bêtes peuvent créer des catastrophes énormes comme par exemple tornade, ouragan, tsunami et enfin tremblement de terre.
Pour le brûlot, c’est de l’électricité.
( Traduction : Il y aura bien un chinois pour acheter le village et l’usine. Ça fait longtemps qu’il a compris que les retombées économiques ce n’est qu’un déplacement de la richesse)
Avec appareil photo
Comment la réouverture d’un pont a-t-elle pu, il y a 70 ans, connecter le futur et le passé ?
1940, Bralorne, Colombie-Britannique.
Une violente inondation vient d’emporter le pont South Fork.
Ce pont est une artère vitale qui mène à l’une des mines d’or les plus prospères du Canada. La mine de Bralorne attire des milliers de rêveurs en quête de prospérité. Bientôt, elle attirera un rêveur d’un autre temps…
C’est en grandes pompes que le pont ouvre de nouveau, en 1941.
70 ans plus tard, une photo en noir et blanc de l’événement soulève une énorme controverse.
Ce cliché montre une foule d’hommes et de femmes qui portent des vêtements de l’époque – habits, robes, imperméables et chapeaux de feutre. Rien de surprenant.
Toutefois, en y regardant de plus près, un homme ressort du lot.
Ce qui le distingue, c’est son allure branchée, ses lunettes fumées, sa coupe de cheveux, son T-shirt à logo sous une veste à capuchon et l’appareil-photo qu’il tient. Il a l’air tellement moderne !
Surnommé le « voyageur dans le temps », ce phénomène a déclenché en 2010 un million de requêtes sur Internet. Plusieurs se demandent ce qui l’a amené à Bralorne. L’or ?
Pour voir cette photo du voyageur dans le temps, visitez museevirtuel.ca et cliquez sur « Histoire de savoir ».
Dites-nous pourquoi cette histoire est importante… histoire de savoir !
http://www.museevirtuel-virtualmuseum.ca/sgc-cms/nouvelles-news/francais-french/?p=1332
Un voyageur temporel dans un film de Chaplin ?
Un jeune cinéphile du nom de George Clarke a révélé cette information sur YouTube, après avoir étudié pendant un an quelques secondes de film trouvées dans les bonus d’une édition DVD du Cirque de Chaplin.
Cette image montrant une personne utilisant ce qui semble être un téléphone portable, provient d’un extrait du making-of du film The Circus de Charlie Chaplin tourné en 1928.
Extraite des bonus du DVD, cette vidéo montre de banals passants devant le Manns Chinese Theatre à Hollywood.En regardant de plus près (et au ralenti), on peut donc voir une personne utilisant un objet très anachronique pour l’époque, un “téléphone cellulaire”.
Dans une séquence montrant des passants déambulant dans les rues de Hollywood en 1928, on aperçoit une femme (selon Clarke mais il pourrait aussi s’agir d’un homme) marchant la main près de son oreille et bougeant les lèvres. Conclusion immédiate de monsieur Clarke : elle parle dans un téléphone portable, et est donc la preuve irréfutable que les voyages dans le temps sont possibles. Non, elle ne se grate pas l’oreille, ne se protège pas du soleil, elle est en pleine conversation téléphonique sans fil. A qui parle-t-elle ? Via quelles types d’ondes ? Peu importe, l’image est là, incontestable et c’est très surprenant !
La posture du passant, de ses gestes, de l’expression de son visage est effectivemen troublante.
De plus, pour l’époque, dans le cadrage de la figuration de film, pour la fluidité de la scène, on ne pourrait comprendre ce type de comportement où un passant s’arrête au beau milieu de la rue et le producteur aurait du envisager de refaire la scène. Il y a alors deux possibilités. Soit il ne s’en est pas aperçu. Soit il était parfaitement au courant de ce qu’il faisait et c’est un clin d’oeil de sa part mais il aurait fallu de sa part une sacré imagination ou une inspiration qui lui serait venu d’ailleurs…
Certains commentateurs ont évoqué l’explication d’un genre de dispositif d’aide auditive qui existait à l’époque, mais on
ne comprend alors pas très bien avec qui il pourrait être en conversation.
Le camp des sceptiques mentionne cet appareil portatif pour malentendants fabriqué en 1925, le Western Electric Model 34A “Audiphone” Carbon.
On évoque aussi l’invention de M.Mac Farlane de Philadelphie, dès 1918, a combiné un poste radiotéléphonique portatif qui, constitué surtout par un audion, à la fois transmetteur, récepteur, et amplificateur, se loge dans une seule boite. L’antenne portative est faite de trois cylindre de cuivre. la boite qui peut se porter en bandouliere et renferme une pile et un audion, qui est un generateur a haute frequence. dans la journée, la porté de l’appareil peut atteindre les vingt kilomètres. (source:” la science et la vie ” n°46 septembre 1919 (nom d’origine de l’actuel “Science & Vie”)
On peut également pense à un problème dentaire
D’autres crient au canular s’appuyant sur l’ombre “étrange” que projette le personnage sur le mur. Selon eux, un petit malin aurait modifié les images par ordinateur.
Dans quel but ? La piste de la publicité virale pour un fabriquant de téléphone portable est avancée, mais semble peu probable, en effet ce serait se donner beaucoup de mal pour une faible retombée.Peut-être s’agit-il d’une petite blague des techniciens ayant travaillés sur cette édition DVD.Il faudrait savoir pourquoi ces images figurent dans le bonus dvd et non dans le film lui même, savoir par exemple elles ont pu avoir été rajoutées par la production dans le but de créer le buzz ? Voici la vidéo de Georges Clarke qui commente (en Anglais) la séquence en question. La piste la plus probable dans cette direction, serait selon eux le lancement d’un festival de cinéma par le découvreur de cette vidéo.
Déplacer le curseur à 3 min 20s environ pour visionner la séquence :
La langue de l’amour est morte. Et dans la fébrilité inconsciente de la chair aux enchères, la pauvreté de plastique, de gadgets, d’immolation continue, la vie est une sorte de terre cuite derrière une vitrine astiquée où tous les pantins sont à vendre pour un job.
Les cerveaux sont moulés.
Usinés.
Pas plus « profonde » et monocolore qu’une Ford-T sociale. Machiné. À la chaîne. Figés.
« Vos enfants sont les enfants de la Vie », disait Khalil Gibran. Ils sont maintenant les enfant des états. Ils sont peut-être si affamés de leur BIG MOI qu’ils vendent leur cerveaux aux états. Fiers à bras, fiers à neurones.
Notre petit penseur ne sait pas qu’il est pensé. Il est ciselé aux doctrines martelées incessamment, abonné à tout le frelaté qu’il avale chaque jour. Il est pourrissant, mais vivant. Soutenu par les « spécialistes », cette horde de zombies calcinés au savoir scientifique, vendeurs de salades mondialistes.
Imbriqué dans toutes les formes de contrôles numérisés, se débattant dans le grand filet des technologies, – à la fois s’y baignant de plaisir -, sans savoir nager dans l’océan de la Vie.
Le petit simiesque est « écoutatif ». On ne lui parle pas de réalité, ni d’Histoire, ni de philosophie, pour décoder l’image du monde, de sa venue sur Terre, de son essence.
Plus de passé, un présent contaminé par la destruction du passage des autres, des sociétés, des guerres, etc. Non. Notre nature est désormais d’être un fonctionnaire aux mains javellisées qui a « une vision du futur ». On a barbouillé l’image de la trajectoire de l’humanité, caviardé le passé, embrumé le présent. Il ne reste que le futur incertain mais prometteur par la chimie des nouvelles molécules et l’espoir de trouver de l’eau sur Mars alors que l’Afrique en manque.
Il n’est plus inspiré… Il est respiré jusqu’à son dernier souffle. Déryhtmé. Sa vision est celle d’un aveugle guidé par des chiens.
Détêté. Le dépoisson… Issu de l’eau, on lui bouffe la tête pour qu’il ne se serve plus de la structure cachée et lumineuse de son entièreté liée à la grandeur des ondes vibratoires camouflée sous ce montage de chair.
C’est maintenant une machine, un montage plastique.
Pourvu qu’il serve!
C’est sans doute le plus étrange des nègres concocté par le besoin fourbe et matérialiste des fabulateurs à formules répétitives.
Quand on a vendu son corps, on a vendu son âme. Nous sommes dans une ère de décapités à coups de sabres roses. À coups de discours aux phrasés des langues de lames aiguisées de leur spécialité.
La vente de « certitudes » des corporations est maintenant une sorte de monoxyde de carbone hypnotique mais vraiment efficace.
Nous vivons de la mort du vivant. Les plantes, les forêts, les terres, les pays, les « idées ».
La Vie est une vente de feu…
Allumez! avant d’éteindre…
Gaëtan Pelletier
Avril 2014