CATÉGORIES
- 432 HZ (3)
- 911 (9)
- ACTUALITÉ (530)
- AFRIQUE (25)
- AGRICULTURE (13)
- AGRICULTURE INDUSTRIELLE (2)
- Alain Bésil (5)
- AMÉRINDIENS (22)
- AMÉRIQUE DU SUD (8)
- ANALYSES (36)
- ARMEMENT (31)
- Arnaque (103)
- ART VISUEL (58)
- ÉCONOMIE (364)
- ÉDUCATION (107)
- ÉNERGIE (18)
- États-Unis (68)
- BANQUIERS (26)
- Beatles, Get Back, (1)
- BILLETS DE BIAIS (46)
- BUSH (4)
- C.I.A (15)
- Canada (10)
- CAPITALISME (142)
- CARICATURES (66)
- Célébrités (23)
- CHANSONS (4)
- CHRONIQUEUR (1)
- CINÉMA (4)
- COLOMBIE (1)
- COLONIANISME 2 (19)
- CONTE DE NOËL 2008 (1)
- Conte de Noël 2011 (1)
- Contes des mille et une vies (6)
- CORRUPTION (20)
- Coups de gueule (40)
- Covid-19, Omicron, (1)
- CRIME ÉCONOMIQUE (51)
- CRISE FINANCIÈRE (39)
- DÉFINITIONS (15)
- DÉMOCRATIE (50)
- Développement inhumain… (61)
- DE DIÉGUEZ (9)
- DIVERS (176)
- ENTRETIENS (7)
- ENVIRONNEMENT (125)
- FABLES MODERNES (33)
- FASCISME (17)
- FAUSSES NOUVELLES (1)
- Fethi Gharbi (10)
- Filière (5)
- filosofía (1)
- FOI LAÏQUE (18)
- futurologie, mensonge pieux, (1)
- GLOBALISATION (89)
- GRIFONNAGE (9)
- GUERRES (196)
- Histoire (266)
- HITLER (13)
- HUMANISME (215)
- HUMOUR (36)
- HUMOUR, pour ceux qui trouvent ça drôle… (544)
- Roger ROGER (3)
- IMPÉRIALISME AMÉRICAIN (43)
- INNUS (4)
- INSOLITE (47)
- INTERNATIONAL (107)
- INTERNET (15)
- JUSTICE (21)
- L'ANTIPROPHÈTE (4)
- L'ÂMOGRAPHE (12)
- LA DERNIÈRE GUERRE MONDIALE (10)
- La route vers soi (23)
- LA VIE EN FICHIERS COMPRESSÉS (7)
- Le charme vert du vers bourgeois (45)
- LES AFFAIRES SONT LES AFFAIRES (145)
- LES CLASSIQUES 10/10 (43)
- Les désanalyses (5)
- LITTÉRATURE (161)
- LIVRES (25)
- Mondialisation (159)
- MONSANTO (8)
- MORCEAUX D'HISTOIRE (20)
- MUSIQUE (415)
- MUSIQUE 440 HZ (1)
- NÉOLIBÉRALISME (52)
- NOUVELLES (7)
- NOUVELLES…ÉTRANGES (17)
- ORWELL (43)
- PEINTURE (17)
- PENSÉES DANS RÉFLÉCHIR (6)
- Pensées sans réfléchir (13)
- Peuple VS politiciens (68)
- Philosophie (396)
- PHOTOGRAPHIES (276)
- POÉSIE (345)
- Poésie, Émilie Pelletier (1)
- Poetry (2)
- POLITIQUE (255)
- POLLUTION (41)
- PROPAGANDE (48)
- PSYCHOLOGIE (25)
- QUÉBEC (9)
- RÉFLEXIONS (167)
- RÉVOLUTION VERTE (4)
- RELIGIONS (14)
- Salauds célèbres (46)
- SANTÉ (121)
- SCIENCE (32)
- SF Nouvellettes (9)
- Short Stories (3)
- SOCIALISME (3)
- SOCIÉTÉ (980)
- SPIRITUALITÉ (537)
- TERRE (59)
- TERRORISME (48)
- TOTALITARISME (77)
- TOTALITARISME PLANÉTAIRE (62)
- Trash (10)
- Trouvaille (1)
- U.S.A (94)
- Ukraine (1)
- Univers (18)
- VACCINS (21)
- VIE (250)
- VISAGES D'HUMAINS (77)
Archives
- mars 2024
- novembre 2023
- août 2023
- juin 2023
- Mai 2023
- avril 2023
- mars 2023
- janvier 2023
- décembre 2022
- septembre 2022
- juillet 2022
- juin 2022
- Mai 2022
- mars 2022
- février 2022
- janvier 2022
- décembre 2021
- novembre 2021
- septembre 2021
- août 2021
- juillet 2021
- Mai 2021
- avril 2021
- février 2021
- janvier 2021
- décembre 2020
- octobre 2020
- septembre 2020
- août 2020
- juin 2020
- Mai 2020
- avril 2020
- mars 2020
- février 2020
- janvier 2020
- décembre 2019
- novembre 2019
- octobre 2019
- septembre 2019
- août 2019
- juillet 2019
- juin 2019
- Mai 2019
- avril 2019
- mars 2019
- février 2019
- janvier 2019
- décembre 2018
- novembre 2018
- octobre 2018
- septembre 2018
- août 2018
- juillet 2018
- juin 2018
- Mai 2018
- avril 2018
- mars 2018
- février 2018
- janvier 2018
- décembre 2017
- novembre 2017
- octobre 2017
- septembre 2017
- août 2017
- juillet 2017
- juin 2017
- Mai 2017
- avril 2017
- mars 2017
- février 2017
- janvier 2017
- décembre 2016
- novembre 2016
- octobre 2016
- septembre 2016
- août 2016
- juillet 2016
- juin 2016
- Mai 2016
- avril 2016
- mars 2016
- février 2016
- janvier 2016
- décembre 2015
- novembre 2015
- octobre 2015
- septembre 2015
- août 2015
- juillet 2015
- juin 2015
- Mai 2015
- avril 2015
- mars 2015
- février 2015
- janvier 2015
- décembre 2014
- novembre 2014
- octobre 2014
- septembre 2014
- août 2014
- juillet 2014
- juin 2014
- Mai 2014
- avril 2014
- mars 2014
- février 2014
- janvier 2014
- décembre 2013
- novembre 2013
- octobre 2013
- septembre 2013
- août 2013
- juillet 2013
- juin 2013
- Mai 2013
- avril 2013
- mars 2013
- février 2013
- janvier 2013
- décembre 2012
- novembre 2012
- octobre 2012
- septembre 2012
- août 2012
- juillet 2012
- juin 2012
- Mai 2012
- avril 2012
- mars 2012
- février 2012
- janvier 2012
- décembre 2011
- novembre 2011
- octobre 2011
- septembre 2011
- août 2011
- juillet 2011
- juin 2011
- Mai 2011
- avril 2011
- mars 2011
- février 2011
- janvier 2011
- décembre 2010
- novembre 2010
- octobre 2010
- septembre 2010
- août 2010
- juillet 2010
- juin 2010
- Mai 2010
- avril 2010
- mars 2010
- février 2010
- janvier 2010
- décembre 2009
- novembre 2009
- octobre 2009
- septembre 2009
- août 2009
- juillet 2009
- juin 2009
- Mai 2009
- avril 2009
- mars 2009
- février 2009
- janvier 2009
- décembre 2008
- novembre 2008
- octobre 2008
- septembre 2008
- juin 2008
- Mai 2008
- avril 2008
- mars 2008
- décembre 22
BLOGS
Journaux citoyen
MUSIQUE
PEINTURE
PHOTOGRAPHIE
Spiritualité
Méta
-
Rejoignez les 138 autres abonnés
Blog Stats
- 1 411 597 visites
MOTS CLEFS
Actualité affaires Afrique Amérindiens argent Arnaque art visuel banques Canada capitalisme Complotisme Crise financière Célébrités Divers démocratie ENVIRONNEMENT esclavage finance France futur Gaëtan Pelletier globalisation Guerre Guerres H1N1 Harper HISTOIRE HUMANISME Humanité Humour individu International Internet La Vidure liaisons fatales liberté LITTÉRATURE Livres maladie mondialisation Musique nature néolibéralisme Obama Ordre mondial Orwell pauvreté Philosophie PHOTOGRAPHIE photographies POLITIQUE pollution POÉSIE progrès Propagande Québec RELIGION Russie réflexion SANTÉ Science SOCIÉTÉ SPIRITUALITÉ Terre terrorisme Totalitarisme travail U.S.A USA vaccin vie Visages d'humains ÉCONOMIE ÉDUCATION États-Unis
Archives quotidiennes : 20-décembre-2012
La route vers soi, 14 : Le savoir imprimé
On peut tout savoir, ou croire tout savoir, mais la réalité des choses – vu notre condition d’apprenant par mode de copier-coller ou par intuition ( ce qui nous détache de la masse- , car la seule et unique liberté est là) , fait en sorte que nous apprenons sans doute plus par amour que par un collier de connaissances.
Il ne faut pas chercher avec ces fausses perles. C’est tentant… Mais non seulement c’est tentant par facilité, mais nous n’avons pas « idée » de ce qui nous gruge par « copie sociale ». Alors, tout au long de la vie, étrangement, il faut continuer de chercher. Ne jamais cesser de chercher par un outil fabuleux : le doute. Et cette recherche n’est pas seulement difficile, elle est douloureuse.
Et cette douleur continue, persiste. C’est la douleur de ceux qui, trop conscient, n’arrivent pas à se faire tatouer par toutes les formes imposées par ceux qui vous manipulent par le pouvoir.
Nous avons le droit d’écrire ce que l’on veut, d’être l’artisan de soi. Car après avoir échappé au moule, il faut dessiner son propre moule.
La belle délivrance, c’est la fonte des choses et des êtres, de la vie et des apparences de « mort ». Rien n’est mort. La roche est en dormance, comme l’ours. Mais il y a le contraire : certains dormeurs sculptent vos vies.
Pourquoi s’échiner à des réussites qui ne durent qu’un temps? Parce qu’on vous l’a dit. On vous l’a martelé, on a voulu faire de vous ce qui s’avale, se mange, car tout est tristement une valeur qui a source dans al vie de la Vie.
Pour vivre il faut bouffer du vivant. Et les morts dirigeants sont les plus sophistiqués bouffeurs : Ils se nourrissent de vos avoirs et sont les dictateurs de vos vies.
Pour la conduite de ce plan machiavélique, on a inventé un mot : marginal. Pendant des siècles, l’artisanat était la seule façon de produire. Ford a sans doute inventé la chaîne, mais le modèle de construction des êtres humains a été fondu par un copier-coller de cette manière de faire. On produit maintenant des citoyens sans produire d’humains.
La main humaine n’a plus de contrôle sur les objets qu’elle utilise, ni le contrôle de sa propre appellation.
Ce fut un bien que de soustraire aux tâches répétitives. Mais ce « bien », – qui fut créé pour échapper au labeur – fut intégré par la structure dirigeante aux fins de manipulations, amélioré et dirigé vers les classes « moyennes »,la meilleure main-d’œuvre. C’est l’arrivée du nègre acolore…
Nous sommes du savoir imprimé comme le sont les circuits électroniques des gadgets. Et nous sommes les gadgets de robots déshumanisé qui, pourtant, croient ne pas l’être. Le piège est habile car il passe par les voies-voix du subconscient sous forme de formule et de savantissime « réussites » qui font croire à ce qu’on a vu est « vrai ».
Mieux encore, nous répétons sans cesse, sous des formes diverses, mais seulement diverse et sans pouvoir. C’est ce que l’on nomme éducation : le pouvoir de s’exprimer sans le pouvoir de comprendre et d’agir.
Vous jouez au jeu des habiles de l’esprit. C’est bien ce dont on a voulu créer et faire de vous : des habiles de l’esprit. Vous avez accès au tissu, mais vous n’avez pas accès à la machine perverse qui tresse vos belles connaissances qui ne sont en fait qu’une boucle quasi invisible tournoyant sans cesse sur elle-même.
Comprenons que ce qui est actif et effectif est l’état actuel du monde. C’est la pauvreté que nous déclarons souvent, mais la pauvreté d’âme, elle, est invisible. En conséquence, malgré notre apparent savoir et pouvoir, nous sommes plus pauvres que les pauvres en avoir. Car c’est à l’être qu’on s’est attaqué. Et c’est l’être que l’on appauvrit. Sans cesse et sans cesse, incessamment, par martèlement. La pub, c’est l’État.
Nous trouvons ridicule les sacrifices faits aux dieux pour échapper aux calamités dans les tribus anciennes. Mais les sociétés modernes nous brûlent tous. Nous nous consumons sans trop le savoir. L’État vend les extincteurs chimiques par Big Pharma. C’est là toute la détresse de l’Occident passé au fer rouge de la capacité technique et financière- puisée à même la sueur des citoyens – que nous vivons.
L’illusion des systèmes d’éducation est de livrer des diplômes « valorisant ».
Nous voilà devenus des charbonniers d’un Titanic qui transpire, et s’adonne à trois emplois. Sale de l’intérieur, il se lave à la médication « savante » et « scientifique », également mais il a la gratitude des hautes instances d’être « quelqu’un ». Un « quelqu’un » qui trime avec un diplôme… On déguise le travailleur en le maquillant. Un charbonnier, c’est un S.P.M.A : un « spécialiste en propulsion motorisé de l’avancement « des sociétés. Il ignore les dessous camouflés des la machine, mais la fierté de son travail va finir par le faire couler.
Car nous sommes tous des « participatifs » à cette traversée de la Vie qui est de naître, de vivre, et de mourir…
Le grand recul de cet avancement est que nous construisons une épave sans trop le savoir. Mais, pire encore, nos habitons la future épave…
Gaëtan Pelletier
20 décembre 2012
Harvard : sadomaso story
Maria se définit plus comme une adepte de la soumission que comme une masochiste. « Mon truc, c’est de recevoir des ordres, ce genre de choses, explique-t-elle. Ce qui me plaît, surtout, c’est l’exhibitionnisme, les lieux semi-publics, les miroirs… » Outre les réunions éducatives sur le campus, les membres de Munch se rassemblent parfois en privé pour « jouer ». Depuis qu’elle a adhéré à ce club, Maria a pu réaliser certains de ses fantasmes. « On m’a frappée avec une cravache, une ceinture, des cannes, des martinets… ce que je préfère, c’est le martinet. »
La popularité du roman Cinquante nuances de Grey [romance érotique et best-seller mondial de la Britannique E.L. James] a accéléré la banalisation de la culture SM, déjà tendance notamment dans nos meilleurs établissements d’enseignement supérieur. L’université Columbia a son club de bondage et SM, de même que l’université Tufts, le Massachusetts Institute of Technology (MIT), Yale et l’université de Chicago. Brown, l’université de Pennsylvanie et Cornell ont accueilli des formateurs en bondage et SM pour des séminaires intitulés Le sexe coquin en liberté ou Le sexe coquin pour tous. Ces conservateurs qui depuis longtemps considèrent l’Ivy League [les huit plus grandes universités américaines] comme un repaire de dépravés n’avaient peut-être pas tort, finalement. Courrier international
L’image que j’avais de Harvard était la richesse, le savoir, et Love Story .
Un homme issu d’une famille aisée, étudiant en droit à Harvard, rencontre une jeune fille à la bibliothèque où elle travaille pour payer ses études. Malgré le fait qu’ils appartiennent à des classes sociales différentes leur amour devient plus fort que tout mais sera soumis aux épreuves de la vie…
Et il en est resté une citation célèbre, collée au dos du roman « L’amour, c’est de ne pas avoir à être désolé ».
J’ai rien compris, mais j’ai pleuré… Avant que les amoureux n’aient eu le temps de se laisser aller à de grivoiseries et à des libertés d’échanges de pets, plouf! , la dame est morte du cancer.
Cendrillon avait rencontré son prince charmant.
Aujourd’hui, Harvard et bien des universités prestigieuses, ont des clubs de sadomasochisme. Pour avoir un certain plaisir sexuel, il faut une bonne dose de douleur…
La crème des sociétés se fait fouetter…
Fini le romantisme : la décadence vient de s’infiltrer dans ce club sélect. Le fouet, et tout le reste de la gamme à douleurs.
La vie n’est pas suffisamment excitante… Il faudrait se promener avec deux chandelles sous les bras… Ou ailleurs…
Les pauvres s’achètent des croustilles, du cola, et font l’amour dans une auto au bout d’une route gravelée pour épicer un peu leur quotidien.
VE-RI-TAS
Et pourtant, ce sont de cette université que sortent les meilleurs menteurs. L’hyper grenouilleur…
Mais il y a un lien : la société étasunienne souffre d’un cancer bien profond… Comme dirait San-Antonio: « Il est en phrase terminale ». Je l’ai inventée, mais c’est sensiblement la même chose. Le Terminator est en train de se « terminer » lui-même…
Pour le reste…
C’est La belle et la bête , mais à l’envers..
Dans ce film il y a deux mondes différents, d’une part la maison bourgeoise et ordinaire du marchand, et d’autre part le château enchanté de la Bête où tout est possible. Source
Vé-ri-tas et mensongeas… On ne sait plus ce qui est « beau » aux USA. On sait ce qui est laid, mais on en sait seulement 2%. Le reste est secret d’État.
Gaëtan Pelletier
20 décembre 2012
Les cimetières de la coagulation
Il est de plus en plus difficile d’être lumineux, ou de voir la lumière dans cette ère d’ombres camouflées dans les pays, la grande folie des hommes…
On dirait que les fous sont devenus lucide en se déguisant en chiffres.
De quoi faire frémir les enfants. ..
Et les soigner ensuite.
Il n’y a pas de limite.
C’est ainsi que la lune, de temps en temps disparaît de nos vues.
La foi est une image arrêtée de la vie…
Jetez donc les dieux… Ils seront recyclables dans la lumière. Ici, ils dorment des âmes. Plus blafards que les fantômes.
Jetez les dieux…
Ils n’ont pas de nom parce que la vie n’a pas de nom ni de finitude arrêtée : elle coule.
On ne peut pas figer l’eau et la rivière.
L’illusion de la vie en arrêt, d’une éternité « calculée »…. Ce n’est qu’un nous coagulé. Car à chaque état de vie, matière brute ou plus vive, il nous faut cette illusion. Mais tout l’art de la vie consiste à la briser.
C’est la raison pour laquelle nous sommes dans une ère d’ombres…
On nous gomme aux grands crayons noirs sophistiqués.
Nous sommes une parcelle de dieu.
Nous construisons ce monde.
Et toutes nos peurs sont nos diables. Ceux que nous inventons sans le savoir. Mais ils sont de chair. Hélas!
Trop de chair…
Et nous voilà d’yeux enterrés.
La vraie révolution consiste à cesser de regarder dans la même direction.
Toutes les larmes du monde sont la création d’une sécheresse intérieure.
Parce qu’il y a trop de ces gens de sable.
Ces déserts qui ne nourrissent rien.
Le vrai chiffrier de ce monde est : plu on a plus on est heureux.
Les pauvres vivent sans doute moins longtemps…
Oui.
Mais regardez vivre les enfants…
Voyez les plus tard…
Ce ne sont que des cadavres des bonheurs assassinés…
Coagulés, mais gras…