L’austérité, c’est quand les riches vous accusent de ne pas ramer assez rapidement pour accélérer le bateau-banque de leur richesse.
On ne vous dira pas que si le niveau des mers monte et gruge les bords des océans, c’est à cause de gens qui transpirent trop à travailler pour un bateau qui n’a pas d’autre destination que les banques.
Gaëtan Pelletier
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Rusia Today
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Tagué capitalisme, corruption, Monsanto, OGM
Le sourire de la Joconde
Son sourire apparaît comme suspendu, prêt à s’éteindre : quand on le fixe directement, il semble disparaître pour réapparaître lorsque la vue se porte sur d’autres parties du visage. Le jeu des ombres accentue l’ambiguïté que produit le sourire Whisky
Les zélateurs de l’indépendance du Québec, aiment bien sortir les initiales « anglisonnantes » du PM du Québec, question de le sortir des rangs des ceintures fléchées : John James. 2011 ans après Jésus Christ, M. Charest affichait un sourire coquin, de temps en temps cabotin : tout allait bien. Dans les pièces avoisinantes, on entendait les cèdres craquer sous les batailles internes des partis pour la grande cause. Ce qui faisait bien l’affaire de M. Charest. Pas d’élections cet automne? Pourtant, on n’avait pas vu plus belle brèche depuis que la lurette était belle.
Oups!
Voilà que le tapis lui glisse en dessous des pieds. Sa cote déboule dans les sondages. C’est un monsieur sans partis qui récolte le meilleur pourcentage. Les Québécois rêvent couleur… Même à ceux qui n’en ont pas encore.
Tant mieux pour monsieur qui entre autres, veut «passer d’une économie de succursales à une véritable économie de propriétaires». La formule est belle. C’est en parlant des commissions scolaires qu’il s’est vu attribuer le prix citron et un concert de dentiers grinçants, ressemblant aux partitions de violons dans Psychose de Hitchcock.
Je suggérerais à M. Legault de se déguiser et d’aller s’asseoir dans une classe. Ensuite, faire un tour dans une CS. Et devenir administrateur stagiaire…
Brasser les pommes dans le même panier n’a jamais fait disparaître la pomme pourrie…
Bon! Son plan n’est pas tout à fait au point. On a le temps de voir venir les martiens avant que tout ça soit démantelé et « remantelé ». On passe de la roue de brouette au pneu d’hiver.
Comme dans la petite annonce de Kijiji.
Plus le plan est long, mieux ça roule.
Pendant ce temps à New York…
Jean Joconde Charest présentait son La EV20 Policy Initiative. (That really sounds french.! … )
« L’électrification des moyens de transport nous permet de réduire nos émissions de gaz à effet de serre et de stimuler l’émergence d’une nouvelle technologie propre qui créera des emplois et de la richesse. C’est un nouveau secteur qui s’inscrit parfaitement dans notre démarche de développement durable et qui diminuera notre dépendance au pétrole tout en stimulant l’essor d’une économie verte » Lit hain!
Électrifier les transports? C’est bien. Électriser les spectateurs, c’est encore mieux. Le temps des grands projets est passé. Comme la tuque de grand-maman. Le bonnet de nuit qu’elle utilisait… Elle l’avait tricoté…vert. La laine de mouton, ça repousse.
La preuve est que les Québécois se font raser chaque année…
Tant et aussi longtemps qu’on gardera cette « démocratie » de bipartisme, on aura les résultats qu’on a maintenant : des discours et du travail au noir ou à la Ponzi. Ou les deux…
Le constat vaut pour l’Europe et Les É.-U.
Les gâteaux mille-feuilles
Dans le domaine de la construction, ce qu’il nous reste après le passage de grignoteurs de gâteau, est sans doute le tiers.
Chaque souris prend sa part, gonfle un peu le gâteau :
En façade, c’était une entreprise comme les autres avec quelques employés déclarés. Mais l’activité la plus lucrative de l’entreprise était la production de fausses factures, qui permettaient à des entrepreneurs de justifier des dépenses fictives. Ce stratagème servait généralement à payer des employés au noir.
En quelques mois à peine, Construction Exékut a encaissé des millions de dollars en chèque de dizaines de compagnies de construction.
Pendant ce temps, à Ottawa…
Le gouvernement Harper verse quotidiennement 90 000 $ à une firme de consultants afin de se faire suggérer des façons d’économiser de l’argent.
Un contrat d’une valeur de 20 millions de dollars a ainsi été octroyé à la firme Deloitte pour que ses employés puissent aider les hauts fonctionnaires à trouver des façons d’atteindre l’équilibre budgétaire d’ici 2014.
Le contrat, qui prendra fin le 31 mars 2012, comprend également une option pour une année supplémentaire. RC
Le vieux truc de faire appel à des firmes privées pour régler des problèmes d’État est toujours la même résultante : la firme mange le gâteau.
C’est son but.
Le bipartisme, c’est comme le procès de la succession du boxeur Arturo Gatti : la moitié de la somme ayant été avalée par les avocasseries, on a décidé de s’entendre sur ce qui reste…afin qu’il reste quelque chose.
Il y a de la Joconde partout… Et c’est profond! Ouah!
Selon la neuroscientifique Margaret Livingstone, Léonard de Vinci a longtemps étudié l’anatomie de l’œil et la perception visuelle pour créer volontairement une confusion entre la vision périphérique sensible aux « fréquences basses spatiales » (les zones sombres) et la vision centrale sensible aux détails : en accentuant la bouche et le sourire par le renforcement des ombres sur les pommettes et la mâchoire, le sourire ne devient visible que lorsque la vision périphérique se fixe hors de la région péribucale30.
En 2005, un logiciel de reconnaissance des émotions corrèle la courbure des lèvres et les pattes d’oie autour des yeux à six émotions de base : le sourire de la Joconde traduirait à 83 % le bonheur, à 9 % le dédain, à 6 % la peur, à 2 % la colère, à 1 % la neutralité et aucun %age à la surprise31.
Tout en donnant l’impression de suivre le spectateur des yeux, le regard de Mona Lisa fixe un point situé au-delà du spectateur, légèrement à sa gauche, provoquant ainsi une mise en profondeur du dialogue entre l’œuvre et le spectateur.
Provoquant…
Ainsi une mise en profondeur.
Du dialogue entre l’œuvre et le spectateur…
Clap! Clap! Clap!
83% de bonheur ( le logiciel a sans doute été fabriqué par Microsoft…)
9% de dédain (comme les dépassements des coûts des travaux au Québec) …
1% de neutralité
C’est ce qui reste d’honnêteté chez les souris qui nous rongent…
Pause scripte homme…
Étant donné que les enquêtes sont inutiles et coûteuses, que le bipartisme est sclérosé, bien qu’il fasse l’affaire de ceux qui veulent nourrir l’avidité des pouvoirs occultes élitistes, il ne nous reste plus qu’à prier.
Je vous convie au site choix de prières , où vous pourrez trouver des solutions à tous nos maux, et sans plan Nord. J’ai choisi celle-ci :
Donne-moi le sens de l’humour, compagnon inséparable de l’amour chrétien
et signe de maturité spirituelle. Donne-moi le sens de l’équilibre et de la lucidité pour hiérarchiser les valeurs. Ça ne me fait rien d’être ridicule au regard des gens.Je veux détendre, relativiser, dédramatiser. Je veux prendre les choses au sérieux et d’une façon responsable, mais je ne veux pas confondre sérieux et tristesse, aigreur et mauvaise humeur. Que les désillusions et les frustrations de la vie ne me volent pas ma joie. Que les coups reçus ne me laissent ni fâché ni amer.
Bon! Un dernier petit tour vers le sourire de la Joconde. C’est tellement bon…
Le flou du tableau est caractéristique de la technique du sfumato. Le sfumato, qui signifie en Italien « enfumé », est un effet vaporeux, obtenu par la superposition de plusieurs couches de peinture extrêmement délicates qui donne au tableau des contours imprécis. Cette technique a été employée en particulier au niveau des yeux dans la mise en ombrage. Ouiqui
C’est bien ce que je pensais : la Joconde, comme la construction, c’est du gâteau.
Qu’est-ce qu’on attend pour arrêter Sfumato?
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Tagué Construction, corruption, Jean Charest, Québec, Rapport Duchesneau
À Québec, libéraux, péquistes et adéquistes ont condamné d’une même voix le reportage du magazine canadien Maclean’s qui profite de la commission Bastarache pour présenter la province de Québec comme la plus corrompue au Canada.
Des députés des trois camps ont dénoncé l’absence de fondements des conclusions que livrent les auteurs de l’article dans l’édition d’octobre du magazine.
Du côté du gouvernement Charest, que l’article prend à partie, la vice-première ministre Nathalie Normandeau a demandé des excuses au nom de l’ensemble des Québécois. Radio-Canada
L’image
Ça prend un anglo-faune ( comme le prononce Yvon Deschamps) pour faire la trouvaille de la corruption au Québec. Avec le Bonhomme Carnaval – à qui ne manque plus que la trompette rouge des picoleurs de la rue St-Jean – pour nous chanter… C’est à ton tour, sur l’air de Gilles Vigneault.
L’article rappelle au passage une citation du professeur de sciences politiques américain, Samuel Huntington, qui considérait en 1968 le Québec comme « la région peut-être la plus corrompue parmi l’Australie, la Grande-Bretagne, les États-Unis et le Canada ». Radio-Canada
Si on jette un œil sur la valise ( première photo) qui est une analyse de Transparency International, le Canada est 8e . Puisque l’Ontario est la province la plus populeuse du Canada (12 977 059 hab., 2008), elle devrait logiquement être un peu « participative » … Ou bien ils sont trop chiches pour se payer des commissions. Nous, on en veut à la tonne. Tellement, qu’on se demande si la commission Bastarache n’est pas une commission qui a servi à en fossoyer une sur l’industrie de la déconstruction au Québec… Supposons qu’elle aurait eu lieu… Elle aurait enterré l’autre.
Nous sommes au moins d’excellents entrepreneurs… en pompes funèbres.
Duplessis! Duplessis! Si, si, si…
Selon des analystes, cela proviendrait du régime Duplessis… À qui on doit la grande déclaration demeurée dans le répertoire québécois : le ciel est bleu est l’enfer est rouge.
Je rappelle aux gens d’une certaine génération qu’aux élections de 1960, où un certain Jean Lesage a pris le pouvoir, on barbouillait les routes en peinturant l’asphalte avec un IL FAUT QUE ÇA CHANGE.
C’est ironique… On a fait de l’asphalte, mais on n’a pas fait de chemin… On n’a pas évolué?
Actuellement, on fait même de l’asphalte keynésien… Quand on aura terminé, on fera des routes qui ne mèneront nulle part.
Le Bonhomme Carnaval
L’organisation du Carnaval de Québec va porter plainte. D’abord, on n’utilise pas une image qui appartient à l’organisation. Et le reste…
Mais l’image est tout de même signifiante :
– on fait la fête avec l’argent du peuple,
– on ne sait trop qui se cache sous le costume
– la valise déborde
Et le bonhomme est blanc…
Il a une tuque rouge?
Ah!
Vite une commission des chapeaux au Québec! Le parti libéral pourrait intenter une poursuite contre l’organisation du Carnaval…
Les commentaires
Allez lire les commentaires de M. Duceppe : xénophobie, dit-il.
Député libéral : « Québec bashing ».
Madame Sylvie Roy : « C’est déconcertant ».
Pour M. Drainville : « C’est la faute à Charest ».
Marc Garneau : « Des accusations susceptibles de diviser le pays ».
Corruption? On est peut-être un peu champions… Pour une fois qu’on est bons dans quelque chose, il faudrait en être quasiment fiers.
Disons, que nous sommes surtout les champions pour payer plus cher qu’ailleurs la même corruption.
Surtout, avec ce que je viens d’entendre aux nouvelles.
Cet été, le ministre de la Santé Yves Bolduc a annoncé le financement de 500 postes d’infirmières praticiennes spécialisées en soins de première ligne. C’est un investissement de 117 millions de dollars de la part du gouvernement du Québec.
Les infirmières praticiennes gagnent en moyenne 63 000 $ par année. Les médecins omnipraticiens gagnent 3 fois plus, soit 180 000 $ en moyenne par année.
En plus de payer les salaires des infirmières praticiennes, le gouvernement du Québec devra verser aux médecins qui travaillent en partenariat avec elle une allocation de 60 000 $ par année, par infirmière.
C’est presque autant que le salaire de l’infirmière.
La moitié de l’allocation sera versée aux médecins pour l’utilisation des locaux et du matériel de leur clinique. Les 30 000 $ restants seront versés aux médecins pour la supervision de l’infirmière praticienne. RC
Je ne sais si vous avez mis vos lunettes pour bien entendre : on a investi 117 millions de dollars. Mais on va verser 60,00$ par année aux médecins pour les…super viser. On vise super au Québec, mais pour le mil, les chasseurs d’orignaux sont meilleurs que les chasseurs d’originaux.
Je le répète, je ne suis pas économiste, mais étalez votre – pardon NOTRE – 117 millions sur dix ans et ajoutez les coûts sur dix ans du superviseur… Je ne compte pas, mais vous avez – à vue d’œil – un coût encore plus élevé par médecin…mais dans un système en manque de médecins.
Et l’Ontario?
Les « super-infirmières » sont des infirmières praticiennes qui peuvent poser des diagnostics et prescrire certains médicaments dans les CLSC et les groupes de médecine familiale. « Si vous faites une bronchite, vous allez voir cette infirmière-là, elle va vous examiner, elle va voir si votre cas est grave », explique Gyslaine Desrosiers, présidente de l’Ordre des infirmières et infirmiers du Québec.
Le Québec accuse un retard dans ce dossier par rapport aux autres provinces canadiennes. « On est très très en retard sur l’Ontario, où il y a déjà presque 800 infirmières praticiennes de première ligne », poursuit Mme Desrosiers. Au total, huit provinces font appel aux services des super-infirmières.
Geneviève Lavoie aimerait bien revenir au Québec pour pratiquer sa profession. Mais « avec des conditions qui s’apparentent à celles qu’on a en Ontario », ajoute-t-elle. Là-bas, Geneviève Lavoie gagne plus de 80 000$ par année. Fourom gouvernement ( sic ou malade)
Vous allez dire : « Ah! L’auteur s’écarte du sujet ! ». L’auteur est comme vous, écarté. Au Moyen-âge, on écartait les malfaiteurs pour les punir. Un supplice atroce.
Et encore, le Roi gracie souvent, parfois à la demande de la foule. Les Supplices « raffinés » comme l’Ecartèlement des membres par quatre chevaux qui tirent dans des directions différentes (beurk!) sont réservés aux crimes contre le Roi. Mais ils seront bien plus utilisés à partir de la Renaissance.
Selon l’article, c’est faux. Mais elle semble revenue en « vrai ».
Les quatre chevaux de l’Apocalypse sont en train d’écarter les peuples : le gouvernement, l’ordre des médecins, l’ordre des infirmières, les syndicats… Et pour affiner la vision : on les a comme des Bouddhas… Ils ont plus de mains que de portefeuilles.
On n’a même plus besoin des ontariens pour nous dire que nous sommes devenus foldingues.
On a qu’à se regarder dans un miroir.
Si vous prenez une image simple : mettez tous ces gens dans un même lit et quand ils auront tiré toutes les couvertures, il ne vous restera qu’un mouchoir de papier pour passer la nuit au chaud.
Le Québec « pète au frette… »
Tout le monde veut se glisser dans le costume du Bonhomme Carnaval et porter sa mallette.
On n’est pas seulement victimes de la corruption, on est victimes du syndrome du déchirement et du recousement infini : la courtepointe.
Une couverture faites de morceaux rapiécés, bien folklorique.
Socialement, c’est ça qui nous « marque » et nous trace le portrait de ce que nous sommes : des pièces détachées qui resteront toujours un puzzle sans image de notre réalité tant nous sommes « étroitement divisés ».
Thank you Maclean’s.
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Tagué Bastarache, corruption, Maclean's, Québec, SOCIÉTÉ
Parlement d’Ottawa et de Québec
Les Canadiens raffolent des délicieux produits Jell-O depuis plus de 90 ans. Les poudings instantanés, les poudres pour gelée et les coupes prêtes à servir Jell-O constituent en tout temps un dessert ou un goûter exquis offerts en plusieurs saveurs et variétés.
Jell-O est à l’image de son temps. En effet, les membres de votre famille peuvent encore se régaler des délicieux desserts de leur enfance, mais ils ont également à leur disposition une gamme élargie de produits qui inclut des choix de desserts plus sains. Dans les prochaines pages, vous découvrirez comment Jell-O a évolué avec le temps.
La gélatine cravatée
En visionnant le film The Young Victoria, on y apprend, entre autres, que les parlementaires sont des gamins blancs de la tête ( ou teint du chevelu) mais souffrant d’un juvenillisme prolongé. Et que rien n’a changé…
Et quand ils cherchent à se défendre, on fait appel à papa-avocat. Celui qui prolonge tout en accrochant les sociétés avec son souci de virgules et son crochet de pirate planté dans son nombril.
L’avocat est la gélatine des États. Et pour bien « prendre », ils se mettent à plusieurs.
Ces autolâtres, dans un accident d’auto, ont la même fonction que le coussin gonflable : plus on lui donne de l’argent, plus il est efficace. Plus il est gonflé, plus il y a d’air, plus il nous fabrique du « moins ».
Efficace en quoi?
Il sauve des têtes…
Se7ven years in Québec
Comme le film : luxure, colère, paresse, envie, orgueil, avarice, gourmandise.
C’est le règne de des politico-bavards, le plus souvent avocats, qui se sauvent après les grandes causes : la leur.
Sep ans et tous les péchés. Mais faut-il condamner Sir John James Charest?
Fonction publique : augmentation de 16 %.
6,000,000,000$ « d’aide aux industries ». Sans trop savoir où vont les programmes, que sont les programmes, à part la culture en serres de l’asphalte.
Tout le monde dort sur un matelas clouté…
La confrérie des faux-frères
Normalement, dans une démocratie, les élus sont au service du peuple puisqu’ils gèrent ses biens, son patrimoine, etc.
Tous politiciens confondus, combien d’entre eux deviennent des ennemis de l’État une fois élus?
Morale et éthique prennent le trou du nombril pendant que la population sue corps et âmes pour essayer de tenir à bout de bras un pays.
Du côté du château Jell-0, on gratine ses zamis. C’est le lot des sociétés dites développées.
On peut bien se passer de religion, se sculpter une laïcité accommodante, mais nul État ne peut se passer d’une certaine morale ou éthique.
En ce sens, les politiciens sont devenus des ennemis de l’État. Et leur défense est que le citoyen est un ennemi pour l’État : il fume, il mange trop, il ne dépense pas assez, il est vieillissant, etc. La morale des avocats en soutane. Le citoyen est responsable (sic) des déboires de son pays…
Peu importe pour qui on vote… Retournons 15 ans en arrière, 20 ans.
Qui donc a vidé le Québec de ses forêts?
Qui donc a permis que le sol québécois – les terres arables- puisse être « vendable » à n’importe qui? Les chinois sont ici pour acheter des terres et des porcheries. Qu’ils achètent le parlement…
Globalisation. Néolibéralisme.
Nommez si vous voulez. Le mot, le vrai, est corruption. QC comme dans Québec Corruption Inc.
Trop de Rambo et pas assez de Robin des Bois.
FTQ ou CSN, avons-nous affaire à une industrie de démolition?
Tous nos avoirs collectifs nous glissent sous le pied comme un tapis tiré par une bande de psychopathes à « névralgie contrôlée ».
Démocratie?
P.S. : Je suggère une marche sur le parlement de Québec l’automne prochain. Une marche de citoyens. 200,000 à ne rien faire sur alentour de ce nid de pierres. Les oiseaux sont trop bien plumés pour ce que nous avons à offrir. Je dis 200,000. Comme toujours, il en manquera 50%. 100,000 autour d’un feu de « quand? », c’est assez pour faire frissonner un peu ces gens « à notre service ». Une fois le processus enclenché, qui sait si on n’y prendra pas goût. Faut-il attendre qu’ils bougent vraiment?
Non.
Si on ne fait rien, ils ne feront rien.
Et pour une bonne représentation du Québec, habillez-vous de tout ce que vous avez de plus pauvre. Du linge à ramoner… La cheminée en a « bien de besoin » comme dirait Kevin Parent.
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