Les riches se cuisinent un monde à porc

Porc

 

Je vous passerai volontairement, n’ayant pas pu en avoir la certitude et la preuve par moi-même, les rumeurs très insistantes faisant état ces derniers mois d’un nombre très important de démissions de collaborateurs d’assez haut niveau dans différentes institutions américaines. Je vous passerai également le fait qu’il semblerait que ceux qui démissionnent partent se mettre au vert le plus loin possible des grandes villes et, pour certains, dans ce que l’on appelle des « enclaves survivalistes »… Bref, de cela nous ne parlerons pas vraiment même si je vous le mentionne parce que nous n’en avons pas la preuve absolue. En revanche, cela vaut la peine d’être simplement dit parce que ces rumeurs sont parfaitement compatibles avec des informations qui, elles, sont prouvées sans ambiguïté possible. Le Contrarien 

Ne rêvez pas en regardant l’image: les riches ne cuisinent pas, ils cuisinent des pauvres. Selon l’article, les riches partiraient en jet privé, s’achèteraient des terres en Nouvelle-Zélande, avec un kit de survie: de l’eau, des boîtes de conserve, du sucre, du riz, du caviar, des pâtes. Pas de chance! Manque le kérosène pour revenir en cas de « reprise économique ». Il est rassurant toutefois de voir que les riches mangeront la même nourriture que les pauvres.

L’austérité, la vraie, c’est de constater l’indigence de l’intelligence terrienne. C’est maigre à mourir. Les politiciens n’ont plus de cerveaux, mais des cages à escargot. C’est pas vite, et ça répète. Blouf! Blof! Austérité. Malheur par la  déshydratation économique et du boude-bouche de la clique nommée « entreprise privée » si chère à l’État, et encore plus chère pour le citoyen. C’est comme le poulet: le meilleur est près des os.

Le mystère de la femme voilée 

 

hqrihanna:i-D magazine. 2015. Photographed by Paolo Roversi.</p><br /><br /><br />
<p>how?

Qui sait qui se cache derrière cette image étrange que les possesseurs de la vérité occidentale ne comprend pas? Une dame toute belle, toute gentille, ou une bombe?

Aucun rapport? La beauté du monde est un poème et la femme est le poème du monde. L’électrisant mitraillage des analyses des amateurs d’internet font autant de ravages dans le complotisme délirant pour formater les cerveaux.  La classe moyenne, l’ancienne (sic) instruite lors des 30 glorieuses est en train de faire comprendre à des sourds la beauté de l’oeuvre de  Mozart.

Écho- no(t) me! 

Aujourd’hui tout est économie! Tu viens au monde par l’économie, tu vis par l’économie et tu meures dans un tombeau à 7000$. Avant on jetait les marins à l’eau. C’est tout de même mieux que les bateaux qui passent sur le fleuve Saint-Laurent et déversent leurs huiles usées, ou leurs toilettes portatives.

Nous sommes les poissons empoisonnés d’un fleuve mondialiste. Et le monde des « zidées » est en train de capoter par son pouvoir nébuleux de la liberté d’expression: en effet, plus le système de l’éducation s’appauvrit de par la « nécessité de l’austérité », – et des  intello-livresques des macchabées de la vraie vie, devenus des spécialistes en éducation -, plus le citoyen s’appauvrit et perd de sa capacité de jugement et de vision. Mais il a le droit d’écrire. Il a le droit de réclamer son infime droit à l’intellectualisme jadis réservé à un petit groupe.

Si les cochons étatistes  ont permis aux cochons affairistes de s’éclater et de tout acheter, même les directives des savoirs en couloirs, notre soumission est devenue celle d’une ignorance contrôlée. On n’a pas besoin de démarquer des idées reçues, mais simplement d’en avoir. Et ils sont en vente partout.

La malbouffe intellectuelle est en train de bouffer le peu que  les gens sérieux de l’information – même dans la presse « normale » – avait gagné il y a quelques années.

Résultat: On a tous notre kit de survie par les analyses désâmées et bêtes. Comme les riches, on pense se « sauver » de la déflagration à venir.

L’image parle par elle-même quand on …s’y penche. Le porc est-il en train de faire cuire son porcelet?

Le cannibalisme est désormais planétaire. Finie la nécessaire fraternisation. Nous avons tous nos outils, nos armes, et nous parlons au bout du monde à des étrangers avec le petit copain qui parle à des étrangers. Les miroirs d’Apple sont venu vous chercher…

BRRRR! Dans la bible il était écrit de ne pas manger de la pomme du bien et du mal. J’ai du mal à le croire…. Mais bon! Il faudrait que Jésus nous écrive en 144 caractères.

Gaëtan Pelletier

Par un soir de janvier.

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