Be Water my Friend! Bruce Lee
Si vous nous chatouillez, ne rions-nous pas ? ( Le marchand de Venise).
On parle d’environnement… On en parle comme de « quelque chose » à sauver. Les amphétamines de Walter White, qui met son génie scientifique au besoin de trouver les fonds pour qu’après son décès sa famille puisse vivre, sans doute à l’image de notre monde.
…assis sur mon divan, devant une drogue électronique, magico-imagique – le bulletin de nouvelles- , il n’y a pas de drogue plus « officielle » et non prohibitive que Les Nouvelles. Une belle ligne de poudre sonore et sèche en trois dimensions:
1. Ce qu’on nous rapporte
2. Le jeu des protagoniste « officiels »
3. Et la trame shakespearienne derrière tout ça.
On fébrile! Ukraine, Asie, Amérique Latine, You Essé. OUah! Que du stock des Shylocks mondialistes éperdus.
Nous voguons vers l’éperdu…
C’est une belle chanson! (Celle de Valls). Chiffrière, toute analytique et calculatrices pour la quadrature du cercle à venir. Les mêmes que les étasuniennes.
Des chiffres et des armes
Si les États étaient sérieux dans leur démarche de paix – celle recherchée depuis que le monde est monde, on devrait transformer les usines d’armement en crayons, pinceaux, et guitares.
La musique adoucit les meurtres…
Imaginez un monde sans chars d’assaut, sans fusil, sans drones, sans snipers! Imaginez! Imaginez un seul F-18 transformé en pain! Imaginez que vous donnez 10$ à un type qui vous demande de l’argent pour un café! Imaginez que les enfants refusent d’aller à l’école pour se faire apprendre! Se faire tailler comme des crayons sous l’aiguisoir des propagandes mensongères! Imaginez.
Imaginez que pour « changer le monde », on cesserait de travailler – et ce à grandeur de ce belle société dite « développée » – pendant UN MOIS! Voire deux…
Plus d’auto, plus d’essence, plus de bruit, rien que des feux de camps et chantement… Je chante, donc je suis… Et non pas, je dépense donc je suis!
Il faut vider son esprit, être informe, sans contours – comme de l’eau
Nous devons être en harmonie et non combattre les lois fondamentales de l’univers. Cela veux dire que nous ne devons rien faire qui n’est pas naturel ou spontané. Bruce Lee
Naturels?
Merci Mister Lee!
Nous sommes drogués, Walter a remplacé la philosophie de « water ». Le fluide s’est figé, robotisé. Dans notre crainte, nous avons peur de mourir de faim puisque tout se dirige vers des conglomérats aux kapos de bureaux.
À se demander si – avant le bonheur relatif, les choucroutes chimiques de Big Pharma – nous ne devrions pas prendre le risque de perdre un mois de salaire pour faire basculer le monde ou le remettre à l’endroit.
Personne ne met des carottes dans son moteur… Alors, pourquoi mettre de ces saletés dans notre organismes par des faux dieux qui créent « de nouvelles molécules ».???? Pourquoi ramer pour ceux qui nous mènent nulle part?
Alors, sans le savoir, nous sommes amphitaminés jusqu’à l’os, drogués, peureux, lâches, séparés pour régner. La plus belle réussite de la propagande cirée des cravatés est de vous faire croire que vous ne valez rien. Mais celui qui plante une graine de carotte ne vaut-il pas mieux que celui qui utilise de l’argent pour vous arracher les jambes de par un outil guerrier que VOUS PAYEZ. Vous payez pour vous faire détruire, insidieusement, psychologiquement, matériellement, etc.
Bref, nous payons quelqu’un pour nous entre-détruire. C’est ce que l’on nomme démocratie. Celle qui répand, à travers ses institutions, les grands savoirs sans sagesse.
Si on pouvait imaginer l’amas de cendre qui est sous nos pieds depuis des millénaires, amas de cendre issus des élus, des tyrans, des « soldats » morts pour les « bonnes causes », la Terre serait une masse cancéreuse accrochée à un autre Terre invisible.
Puisque nous mourons tous, pourquoi mourir avant d’avoir vécu, comme tous ces petits soldats accrochés à leurs fusils, la rage au coeur?
Peu importe les « versions » de l’Histoire, mais il existe un facteur commun: les gens simples ont toujours été la nourriture de ces falsificateurs abrégés, venimeux et contorsionnistes .
Nous sommes victimes d’un Cirque vicieux… Et nous tournons en rond comme des chevaux de manèges.
Gaëtan Pelletier
Avril 2012