
Ce cher Tanguy, né en 1991, ne veut pas partir.
Première mission : les intérêts des québécois.
Oui.
Sauf qu’au moment de voter pour le «pays», Ô Canada !, ça devient un parti croc-en-jambe. Pas de parti majoritaire en vue… Le NPD propose un programme bien garni, mais le Québec se refuse à retirer ses troupes et à les fusionner aux indépendantistes du Québec. Ce qui renforcerait les intérêts et la cause. Les meilleurs joueurs ont formé deux équipes. Un petit peu de lait dans la crème…
Si ce Tanguy est encore là c’est peut-être à cause de ce célèbre C-20 fièrement endossé par le maître de kyoto ( pas la ville, le chien), pour éviter de démembrer le Canada. Visant les blancs, tuant les rouges… Puisque les communautés amérindiennes, les «natives», sont sont frappées en dommages collatéraux par ledit projet.
Attendu :
que la Cour suprême du Canada a confirmé que ni l’Assemblée nationale, ni la législature, ni le gouvernement du Québec ne dispose, en droit international ou au titre de la Constitution du Canada, du droit de procéder unilatéralement à la sécession du Québec du Canada;
Le reste c’est le Canada en fauteuil roulant. Lisez le reste et vous comprendrez que ce projet de loi touche tout le monde.
Ah ! Monsieur Dion !
Le maître.
Après les élections de l’automne 2008, on le verra redevenir conseiller. Ou genre…
En attendant, Don Guichotte a bien des moulins à battre. Mauvais casting… Mais l’électorat canadien voit ses choix diminuer avec la présence d’un parti tel que le Bloc. Si toutes les provinces adoptaient la même attitude, le Canada ressemblerait à une courtepointe…
C’est déjà fait…
Une couverture de lit d’origine anglo-saxonne qui consiste à matelasser plusieurs épaisseurs pour se tenir au chaud. Eh ! ben ! Ça s’est implanté en politique… La courtepointe, c’est le Canada… Et tous les pays, finalement.
Reste aux politiciens quelques solutions… Tel que démanteler l’épaisseur de la courtepointe. Certains ont chaud, d’autres ont froid…. Les débats en chambre…C’est ça. J’ai chaud, j’ai froid.
Le Canada n’est pas le seul à être aux prises avec la problématique des pays courtepointe. Les déplacements des populations vers la richesse est en train de tresser une planète qui va avoir bientôt si chaud que les glaciers en pleurent…
Quant aux choix des «politiques»… Rien à l’horizon. À part la vieille recette américaine.
Votez money !
Le vert ? C’était des billets avant…
Voter money, c’est voter Harper. Un terre à terre… Ses grands yeux bleus ont déjà une nappe de smog. So ?
Nous vivons dans une ère de mondialisation et de revendications originant des vieilles guerres de part et d’autre de la planète. Fragmentations, éparpillement, déculturation, aplanissement. Tous à la recherche de leur identité…Tous les petits peuples, bourgades, dépaysés for the money. Québécois compris …Ou décompris…
Voter money c’est voter pour la soudure qui étanche – ou étancherait – les grandes fuites de la pauvreté dans le monde. C’est là le seul et le faux idéalisme qui guide les politiciens.
Par la peur.
Le X de tous les X : la peur.
Vous placez votre X là où il fait le moins peur.
C’est pour ça que Tanguy craignait de quitter la maison.